Au gouvernement donc d'agir s'il veut assurer la paix sociale.
Mais il faut du courage et ça ce n'est nullement évident.
Donc il faut savoir ce qu'on veut.
Mais, chez nous, on veut la chose et son contraire.....
L’universitaire et journaliste, Abdejlil Bouguerra, a estimé que l’ancien ministre de la Fonction publique et de la Gouvernance, Abid Briki aurait dû parler des différentes formes de corruption au sein de l’UGTT. Abid Briki, ancien ministre de la Fonction publique et de la Gouvernance, avait donné, vendredi, une conférence de presse durant laquelle il st revenu sur certains dossiers de corruption.
« J’ai suivi la conférence de presse tenue par Abid Briki, et je respecte ses positions patriotiques et son refus de la corruption et de l’abus de pouvoir, mais j’aurais bien voulu qu’il parle de la corruption au sein de l’UGTT, vu qu’il connaît de près les dessous de cette organisation », indique M. Bouguerra dans un statut publié sur sa page Facebook, hier, samedi 4 mars 2017.
Il ajoute : « il aurait dû nous parler des dépenses faramineuses des membres du bureau exécutif pour leurs différentes missions. Il aurait dû nous parler des voitures de fonction de l’UGTT qui sont restées à la disposition des membres du bureau exécutif, cinq ans après leur départ, comme Mohamed Saâd ou encore Abdessalem Jrad. Il aurait dû nous parler des membres du bureau exécutif qui ont continué à bénéficier d’une prime pendant dix ans après leur départ. Il aurait dû nous parler des dirigeants de l’UGTT qui trouvaient des emplois pour leurs enfants au nom du chômage…. », conclut-t-il.
L’universitaire et journaliste, Abdejlil Bouguerra, a estimé que l’ancien ministre de la Fonction publique et de la Gouvernance, Abid Briki aurait dû parler des différentes formes de corruption au sein de l’UGTT. Abid Briki, ancien ministre de la Fonction publique et de la Gouvernance, avait donné, vendredi, une conférence de presse durant laquelle il st revenu sur certains dossiers de corruption.
« J’ai suivi la conférence de presse tenue par Abid Briki, et je respecte ses positions patriotiques et son refus de la corruption et de l’abus de pouvoir, mais j’aurais bien voulu qu’il parle de la corruption au sein de l’UGTT, vu qu’il connaît de près les dessous de cette organisation », indique M. Bouguerra dans un statut publié sur sa page Facebook, hier, samedi 4 mars 2017.
Il ajoute : « il aurait dû nous parler des dépenses faramineuses des membres du bureau exécutif pour leurs différentes missions. Il aurait dû nous parler des voitures de fonction de l’UGTT qui sont restées à la disposition des membres du bureau exécutif, cinq ans après leur départ, comme Mohamed Saâd ou encore Abdessalem Jrad. Il aurait dû nous parler des membres du bureau exécutif qui ont continué à bénéficier d’une prime pendant dix ans après leur départ. Il aurait dû nous parler des dirigeants de l’UGTT qui trouvaient des emplois pour leurs enfants au nom du chômage…. », conclut-t-il.