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Le ministère de la Santé annonce une série de mesures en faveur des pharmaciens
03/11/2016 | 21:15
1 min
Le ministère de la Santé annonce une série de mesures en faveur des pharmaciens

 

Le ministère de la Santé a annoncé, jeudi 3 novembre 2016, une série de mesures en faveur des pharmaciens qui permettront, notamment, l’ouverture de 200 nouvelles pharmacies de vente en détail sur la base des communes récemment créées.

 

Les mesures, décidées à la suite de la séance de travail, tenue le 21 octobre 2016, entre la ministre de la Santé, Samira Meraï et les membres du Conseil de l’Ordre national des pharmaciens, portent sur la révision à la baisse du numerus clausus (condition quantitative) pour l’ouverture de nouvelles pharmacies, en s’alignant sur le nombre de nouvelles communes créées en vertu des arrêtés n° 600, 601 et 602 en date du 26 mai 2016, et en se fondant sur le nombre d’habitants et le pouvoir d’achat dans ces communes.

 

Il a également été décidé de réviser le cahier des charges relatif à l’ouverture de cliniques privées, en exigeant le recrutement d’au moins un pharmacien par clinique, indépendamment du nombre de lits.

 

Le décret en date du 26 août 1993, fixant les conditions d’établissement des listes d’attente pour l’ouverture de nouvelles pharmacies (vente en détail), sera également révisé. Un statut organisant la carrière professionnelle du pharmacien assistant en officine dans les pharmacies de vente au détail sera élaboré, en homologuant son statut avec celui de pharmacien hospitalier dans le secteur public.

 

Une commission mixte regroupant des représentants du ministère de la Santé et du Conseil national de l’Ordre des pharmaciens sera formée, pour revoir la loi 55-1973 en date du 3 août 1973.

Un arrêté de pharmacie sera, par ailleurs, élaboré pour fixer la liste des produits pharmaceutiques non médicamenteux pouvant être exclusivement vendus par les pharmacies privées, et ce dans le souci de préserver la santé des Tunisiens.

 

S.H (Avec TAP)

03/11/2016 | 21:15
1 min
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Commentaires (9)

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G&G
| 05-11-2016 14:15
Non je ne me tais pas. Je parle et j'ai le droit de parler. Je n'insulte pas mais je dénonce les gourmands et les gargantuas qui s'enrichissent pendant que d'autres plus compétents crèvent.
J'ai l'impression que vous encouragez la médiocrité.Je ne vous laisserai pas faire.
Non Monsieur (ou Madame) . Si vous avez un enfant, majeur de sa promotion de 2003 de la Fac de Monastir qui se déplace à pieds et qui n'arrive pas à payer son loyer vous ne serez pas aussi égoïste.
Si vous avez une solution pour lui autre que l'abolition du Numérus clausus vous la garderez pour vous en lui cedant votre place.
Tant que vous le bloquez par le numérus clausus ce n'est pas le 7osd qui va l'envahir mais plutôt la haine pour vous, pour sa ministre et pour son pays. Ce que je n'espère pas du tout.
Rabbi fil oujoud.
G&G
rcdiste qui a travaillé pour son pays et non pas pour ses enfants. Malheureusement.

G&G
| 04-11-2016 22:39
J'ai milité et je militerai pour l'abolition totale et définitive du numerus clausus.
Ce numerus clausus est aboli dans tous les pays civilisés.
Tous les pharmaciens sont égaux et libres d'exercer là ou ils veulent.
Tous comme les médecins.
Fini la domination du lobby qui sont devenus milliardaires en monopolisant le secteur et en abandonnant nos élites de la Faculté de Monastir à leur sort parce qu'ils n'ont pas de parents pharmaciens
Finis les diplômes des enfants gâtés fils à papa qui achètent les diplômes de l'Ukraine pour bloquer nos élites.
La médiocrité doit être abolie définitivement.

kgr
| 04-11-2016 18:34
vos commentaires sont insultants..ça suffit..vous insultez toute une corporation..vos propos sont diffamatoires ..ça reflete vos petites personnalités et votre "7osd"...

bahrila
| 04-11-2016 17:30
si non pour quelle raison avoir choisi une officine non tunisienne pour illustrer l'article. Les distributeurs de préservatifs ne sont pas dehors chez nous

3ABROUD
| 04-11-2016 10:02
Certaines pharmacies n'arrivent à subsister que grâce à la vente de produits cosmétiques, provenant de marchés parallèles (commerce de la valise ou du conteneur). Mais au moment du déséquilibre financier en faveur de ceux-ci, la question cruciale va se poser.

DHEJ
| 04-11-2016 09:44
C'est bien mais c'est un PHARMACIEN DE JOUR ou UN PHARMACIEN DE NUIT???


Donc deux pharmaciens par cliniques et le weekends qui assurent le service?

Un pharmacien de WEEKEND ça fait trois PHARMACIENS!!!

lechef
| 04-11-2016 09:41
A l'instar de ce qui s'est passé dans le domaine de transport - les taxis -, à un certain moment quelques municipalités ont eu le courage d'encourager les jeunes à avoir leurs propres taxi sans tenir compte du nombre d'habitants.Ceci n'a pas des grandes influences sur le reste des taxistes puisque chacun peut gagner sa vie de façon acceptable.
Aussi pour les pharmacies semblables à des épiceries puisque les pharmaciens diplômés et propriétaires des officines sont présents le minimum de temps pour laisser place à des vendeurs et vendeuses très peu expérimentés et profanes qui font difficilement la différence entre u acide et une base.
Donc pourquoi ne pas faciliter les conditions pour que les nouveaux diplômés en pharmacie puissent lancer leurs officines puisque d'une part tout le monde peut trouver son compte et d'autres parts puisque les anciens ont élargi leurs activités à d'autres domaines de commerces privée.
D'une part on réduit fortement le chômage dans cette branche et aussi on crée la motivation et la joie de notre jeunesse diplômés et je persiste à dire que ceci n'a aucun effet sur les reste sauf - une réduction des gains des anciens qui dans la majorité ont d'autres activités commerciales.

le berbère
| 04-11-2016 08:48
personnellement j'ai remarqué à chaque visite dans une pharmacie ,je ne trouve que des enfants ouvriers de formation professionnelle alors que le diplômé est ailleurs pour un autre job qui rapporte plus .il ne me reste que voire un jour un pharmacien vent à la sauvette des cigarettes et autres produits made in china .

Selim BY
| 03-11-2016 21:34
Il faut donner un sérieux coup de balai à cette profession.
Il est urgent de réformer la profession de pharmacien, et de changer les pratiques. Les épiciers qui se font de l'argent font honte à ce métier. Pourquoi prennent-ils 30% sur chaque boite de médicaments qu'ils vendent?
Les pharmaciens de jour n'interviennent jamais dans leur officine. Ils sont absents et c'est les préparateurs qui font tout.
La loi n'est jamais respectée. Ils exposent devant les clients les médicaments. C'est interdit. Ils donnent des médicaments sans ordonnances. Ils refusent de vendre des génériques. Ils ramènent des produits de parapharmacie sans facture de l'étranger. Certains vendent les échantillons gratuits, d'autres vendent des médicaments aux libyens.
Les pharmaciens de nuit ne sont jamais dans leur pharmacie c'est juste un diplôme qu'ils accrochent.