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Décès des nourrissons : Polémique autour d'une membre de la commission d’enquête
11/03/2019 | 23:09
1 min
Décès des nourrissons : Polémique autour d'une membre de la commission d’enquête

 

Senda Bahri El Hichri, directrice générale du Laboratoire national de contrôle de médicaments et membre de la commission chargée d’enquêter sur le décès des nourrissons à l’hôpital La Rabta a été accusée, lors de son passage à Al Wataniya 1, ce soir du lundi 11 mars 2019, de conflit d’intérêts. Le motif étant que sa mère posséderait une société de distribution de médicaments.

 

A cela, l’invitée de la chaîne télévisée a répondu que sa mère, bien qu’elle soit propriétaire d’une société de produits pharmaceutiques, ne vendait pas de médicaments. Cependant, la société traite directement avec le ministère de la Santé.

« J’ai déclaré qu’il y a un éventuel conflit d’intérêts vu ma mission au sein de la commission d’enquête et j’en ai informé toutes les autorités impliquées. Chaque fois où il y a une affaire qui concerne ma famille, je me retire de la commission. Je fais partie de la commission en tant qu’experte en préparation pharmaceutique », a précisé Senda Bahri El Hichri.

 

B.L

 

11/03/2019 | 23:09
1 min
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Commentaires (14)

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Microbio
| 13-03-2019 14:00
Liebe TATA !
Pourquoi est-ce qu´on fait des prélèvements de sang (?) chez le patient après sa mort et non quand il est encore en vie?
C'est macabre: Au lieu de prélever des échantillons de sang lorsque le patient encore en vie, pour faire un diagnostic fiable et avoir une éventuelle thérapie de sauvetage (antibiogramme!), on l´a uniquement fait qu'après sa mort!?
Comment les échantillons de sang ont-ils été prélevés après le décès? en pathologie Les parents ont-ils été informés de ces prélèvements sanguins post mortum Cette procédure a-t-elle été appliquée à tous les nouveau-nés décédés..

TATA
| 12-03-2019 21:56
Ce que vous dites est vrai par contre ceci n'exclut pas que des prélèvements de sang ont été réalisés et conservés avant l'enterrement, ce qui pourrait aider afin de trouver certaines causalités.

Je suis persuadé que personne n'a intérêt à camoufler ce drame!

Merci pour votre commentaire qui est très informatif.

Jugurtha
| 12-03-2019 18:10
Je veux bien croire que Mad. Sendra Bahri a les competences requises par ses responsabilites. Une question toute simple s'impose: la compagnie de sa mere a-t-elle des contrats avec (1) le Laboratoire national du controle des medicaments, (2) tout organisme public affilie au dit Laboratoire? Si oui, le conflit d'interet est flagrant et inacceptable. Pourrait-on avoir ls reponses a ces questions?...

Microbio
| 12-03-2019 17:10
La vérité sur la cause de la mort des nouveau-nés est déjà MORTE et bien ENTERR'?E.

Très vite, les nouveau-nés ont été livrés, à leurs parents (dans des cartons !) et ont malheureusement été enterrés beaucoup trop vite,
j'en ai bien peur!
La seule preuve - ARGUMENT JURIDIQUE ET SCIENTIFIQUE - a été rapidement mise sous la terre: Selon les informations dont je dispose, aucune hémoculture n'a été pratiquée par les nouveau-nés pendant les septicemies!.
Donc, sans l´ isolement de bactéries dans le sang des patients, on ne peurra condamner personne et surtout pas légalement .
Maintenant, le public et la presse naïve sont nourris et constamment envoyés sur les scènes secondaires et à des commissions!
Je n'ai pas entendu parler du manque de culture de sang qui devrait être fait en URGENCE pendant la maladie des patients!
Ces investigations visant à identifier des Bacteries nosocomiales, à proximité des patients à l'hôpital sans connaître les résultats microbiologiques des hémocultures ou des sécrétions des voies respiratoires supérieures, c´est prendre toute la poupulation pour des con..
Il faut savoir que les germes environnementaux - ou les bactéries et champignons nosocomiaux - sont TOUJOURS partout, sur les tables les portables, les stetoscopes.. dans un hôpital facilement détectables.
Tout ne va, sûrement pas, servir la vérité, mais "pour ne pas admettre des fautes professionnelles!" : Les examens microbiologiques nécessaires n'ont pas été effectués et donc on a uniquement qu´une suspicion de diagnostic et pas d'antibiothérapie adéquate pour le traitement des Patients!

Au tribunal, on dois prouver que la bactérie présente dans le sang des patients et isolée au laboratoire est IDENTIQUE avec la bactérie isolée dans la zone hospitalière: Morphologiquement, sérologiquement, biochimiquement et même génétiquement.
Cette commission coûtera de l'argent mais en aucun cas elle va présenter une réponse satisfaisante pour les parents concernés et le public tunisien!

Spécialiste en microbiologie, virologie et infectiologie
Resident et encore pratiquant en Allemagne depuis 36 ans.

rayma
| 12-03-2019 16:07
Ils veulent détruire le pays et écarter toutes les compétences. Le représentant de l'ugtt dans les hôpitaux était présent sur un plateau à nesma hier et a attaqué de front Senda Bahri en parlant de lobby d'argent. Il veulent rabaisser nos hôpitaux plus bas que le tiers monde avec leur saleté leur décadence et leur inculture. Les sommités à la Senda Bahri ne les méritent pas...

Chabir
| 12-03-2019 14:56
La seule chose bien organisée dans ce beau pays est la corruption :)

Microbio
| 12-03-2019 13:04
La nomination des experts d'une commission par leur employeur (ici le ministère) est-ce différent?
Comme on le sait, les professeurs et les directeurs sont employés par l'?tat et gagnent, direct ou indirect, leur pain du ministère de la santé. Nous nous attendons à ce qu´ils vont travailler contre leur employeur, ou je me trompe? Cela ne peut pas être vu comme un conflit d'intérêts?

Moncef
| 12-03-2019 11:39
Heureusement qu'il y a eu cette commission pour découvrir que El Fassad est bien organisé chez nous, on nomme quelqu'un en tant que directrice du contrôle des médicaments au Ministère de la santé pour autoriser les médicaments produits par Maman.
Le conflit d'intérêts et l'amalgame sautent aux yeux et on est en plein dans El Fassad
Réveillez-.vous y'en a marre!!!!!!!!!!

A la Cour des Comptes de faire son travail maitenant.
Elle doit revenir sur toutes les autorisations (AMM) accordées par cette direction pour voir et rélever celles dont a bénéficié la Sté de Maman; autrement on peut facilement soupçonner que cette directrice bénéficie d'une couverture politique...........

Bab ezzira
| 12-03-2019 11:29
La dame vous dit qu'elle a informé informé toutes les autorités impliquées d'un éventuel conflit d'intérêts dans sa mission au sein de la dite commission d'enquête et que sa mère ne vendait pas des médicaments mais autres produits para pharmaceutique à tous les hôpitaux de la santé publiques ou il n'y a aucun problème signalé du meme genre . Il faut cherché du coté de l'haupital Rabta e non pas du coté de la mere de cette femme qu'on accuse à tort.
Certes il y'a un conflit d'intérêt mais le responsable est celui qui la nommée sachant qu'elle l'a informé au préalable.
SAYEB Salah et arrêtez votre BHAMA W TASTIKA digne de citoyens du pays des ânes parlants. La vrai mafia se cache ailleurs et se paye le service des politiciens, fonctionnaires et journalistes.

sarl ou suarl
| 12-03-2019 10:28
il faut voir sa participation dans la société (tabdila médicale et publicitaire) affaire de famille