La Tunisie de la révolution a mis en place le système de la médiocrité et du nivellement par le bas, et puis on s'étonne que nos professeurs, ingénieurs, chercheurs, etc. émigrent vers les cieux et le mérite sont la règle: Canada, USA, Union européenne.
Le cas de Mme la Pr. Sinda Bahri est une excellente manifestation de cette chasse aux compétences, au savoir, au mérite et à l'excellence. Il s'ajoute à la cabale faite, il y a deux ans à Fadhel Abdelkefi ou encore au cas du Pr. Mohamed Salah Ben Ammar.
Aujourd'hui, la médiocrité et l'incompétence règnent un peu partout. Donnons en quelques exemples:
- Assemblée des dits représentants du peuple,
- Ministères (Jalloul, Hammami, Laadhari, Besbes, Jebali, Laarayedh), etc;
- L'éducation et l'enseignement supérieur où règnent les Yaacoubi, Mastouri et comparses.
- La santé publique où les dernier drame des bébés décédés a révélé toute l'incurie du système
- La fonction publique infestée, pléthorique et inefficace
- Les jardins d'enfants,
- Les municipalités qui croulent sous la saleté, les voies publiques défoncées, etc;
- Le sport
La liste serait très longue
Félicitation à Mme la Pr; Bahri. Son éviction est un honneur pou elle.
Finissons par évoquer ce vers du Saint e Tunis Sidi Belhassen Chedly, qui a du lui même émigrer en Egypte fuyant le pays où le savoir et le mérite ne sont pas reconnus.
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Le conflit d'intérêt est confirmé et en conséquence , quelle que soit la compétence de cette professeure, elle ne pourrait pas être la spécialiste recherché.
Il ne faudrait pas soutenir cette professeure pour des considérations de corporatisme. D'ailleurs , c'est honteux que les médecins - dans cet ordre d'idées - soient aveuglés.
C'est dramatique, au même titre que le drame vécu ces derniers jours de 12 nouveaux nés .
La plus compétente , dit-on de tout le groupe ! Il faut savoir que d'autres tunisiens détiennent des diplômes et ont des recherches très poussées dans ce sens et sans avoir des entreprises familiales qui ont des transactions avec le ministère de la santé !!!
Il suffit de faire un appel à nos tunisiens à l'étranger , si actuellement , dans nos universités , nous ne disposons pas des prof plus compétents que El Bahri !
Attention aux procédures, soyez raisonnables et ne défendez pas l'indéfendable !!!!
D'ailleurs, il n'est pas temps !!!!

La nomination de cette dame à la Commission d'enquête sur le décès des 12 nourrissons à l'hôpital La Rabta, n'a fait que révéler toute la Corruption qui existe déjà dans le secteur de la Santé publique et nous a montré que le lobby pharmaceutique protège bien ses intérêts avec un membre à la tête du Laboratoire National de Contrôle des Médicaments...

On a fait autour de cette désignation-exclusion plus de tintoin qu'autour du décès des douze nouveau-nés ! Quelle importance que la composition de la commission d'enquête ?! D'ailleurs, dans cette atmosphère chauffée à blanc, il valait bien mieux pour Mme Senda Bahri de ne pas en faire partie : ainsi, nulle suspicion ne pouvait être élevée contre elle, et elle n'en avait pas besoin !

Ces medecins savent ils ce qu est conflit d interets? et l importance de la credibilite aupres des citoyens?
Savent ils ce que ethique et morale professionelles signifient?

90% des cadres de Ben Ali etaient aussi des surdiplomes, diplome n est pas synoyme d incorruptible. Cette personne dont le role de controleur des medicaments fournis par la societe de sa mere,(ou elle est peut etre actionnaire?) n aurait jamais du etre designee a faire partie de la commission d enquete, elle aurait du elle meme a cause du conflit d interet apparent refuser d en faire parti. Le sublime est que son ministere la place dans une fonction qui fait d elle le controleur des medicaments de sa mere!!!!!!!!! Quant au soutien de ces corporations claniques de medecins quand comprendront ils que le tunisien n est plus impressionne par les surdiplomes corrompus, il veut des diplomes honnetes, transparents, fiables et credibles.

Je propose hamma hammami dans la commision une lumière dans la paresse et la fainéantise. On peut ajouter Ammar amroussina et le compte est bon. Ajoutons quelques un du CPR et de Nahdha.
Je ne sais pas dans quelle glace ils se regardent tous, je crois que c'est celle de la sorcière du conte de fée Blanche Neige. ZAF BENI HILAL

Vous pratiqué la médecine a la docteur Frankenstein

Des médecins confortablement rémunérés viennent à la rescousse de Mme Bahri qui a été très justement écartée de la commission d'enquête sur la tragédie des bébés morts. Qu'est-ce qu'il y a de scandaleux de l'avoir écarté, en raison de ses liens d'intérêt avec sa mère ? De toute évidence, il y a conflit d'intérêt et on ne peut être juge et partie. Mais cela, les confrères qui la soutiennent, ne le voient pas de cet '?il. Ainsi la bourgeoisie médicale s'auto-défend tout en ayant accepté la main mise des islamistes sur le pouvoir sans brancher.
Ces confrères ne sont pas scandalisés par la mort coupable de 12 bébés.

Ils s'acharnent contre le membre le plus spécialiste et le plus compétent de la commission pour un éventuel conflit d'interet dont elle a déjà informé les responsables de la commission dés le début.
Et pourtant la pauvre dame a bien explique au journaliste que sa mère ne vendait pas des médicaments mais des produits para pharmaceutiques comme les seringues ou pansements, et que sa compétence est dans l'analyse des médicaments donc rien à voir avec les produits vendus par sa mère.
Il est à rappeler aux ânes parlants et dansants que la mère vendait ses produits à l'ensemble des hôpitaux Tunisiens qui n'ont enregistrés aucun cas de mortalité signalé à Errabta. Donc allez chercher le coupable ailleurs bande de ****(autocensure)
On a crucifié la pauvre dame compétente de surcroît pour se prononcer sur les médicaments administrés aux victimes et ce dans l'unique but de protéger les mafias du secteur.
Un conseil: danse avec les ânes si tu ne veux pas perdre la tète.
Ah YA TOUNESS YA TOUNESS on était les meilleurs avant l'arrivée du couple batard islamo-anarchiste dans la brouette de la révolution.