
Malin est celui qui peut compter le nombre de batailles que mène Abir Moussi. Même si elle lâche un peu les islamistes, ces derniers temps, la présidente du PDL tire présentement sur le président de la République, les instituts de sondage, les médias, l’Union européenne, l’ONU… Une chose est certaine, c’est qu’elle sait faire du bruit. Mais pèse-t-elle réellement encore sur l’échiquier politique au point de mériter toute cette présence médiatique ? Rien n’est moins sûr.
L’élève a surpassé le maître. Introduite au RCD au milieu des années 2000 par l’ancien ambassadeur tunisien à Rome, Habib Achour, Abir Moussi a dépassé en popularité tous les RCDistes en un temps record grâce à sa verve.
Au lendemain de la révolution, elle était une des rares à défendre son parti devant les prétendus révolutionnaires (particulièrement les islamistes) qui voulaient faire taire toute voix discordante. Elle a été injuriée et agressée physiquement à l’intérieur même des tribunaux, a été suspendue de l’Ordre des avocats et a subi un nombre indéterminé d’injustices. À l’époque, très rares étaient les médias qui relayaient ses propos et encore moins ceux qui la défendaient. Bien qu’esseulée, elle a résisté et réussi à se faire une place sur l’échiquier politique en tant que militante anti-islamiste et défenseure de l’ancien régime.
Huit ans après la révolution, elle a pensé avoir une destinée nationale en récompense à ses années de militantisme. Se présentant à la magistrature suprême, elle n’a obtenu que 135.461 voix, se classant à la neuvième place. Elle a beau crier du matin au soir que le peuple a vomi les islamistes, ces derniers étaient mieux classés qu’elle. Abdelfattah Mourou est arrivé troisième et Seïf Eddine Makhlouf est arrivé huitième. À eux deux, ils récoltaient près de 582 mille voix.
Abir Moussi ne désespère pas pour autant, elle se présente avec son parti PDL aux législatives et réussit à décrocher la troisième place du scrutin avec 189.356 voix. Elle obtient, grâce à elles, 17 sièges au parlement.
Forte de cette légitimité électorale, c’est une bataille d’un autre genre que livre Mme Moussi. Avec succès. Elle était une des rares à faire front aux islamistes, majoritaires et leur président Rached Ghannouchi. Sous l’hémicycle, elle ne laisse rien passer. Elle était là pour contrer toutes leurs manœuvres politiques, leurs fraudes et leurs petites triches pour faire passer les lois.
Remake des années 2011-2014, elle est de nouveau intimidée, injuriée, harcelée, agressée verbalement (quotidiennement) et physiquement. Une nouvelle fois, elle résiste. Tout le temps munie de son téléphone portable, elle diffuse en direct ce qui se passe à l’assemblée prenant à témoin « le peuple tunisien ». Les islamistes tricheurs, les islamistes fraudeurs, les islamistes violents, les islamistes machos étaient dénudés.
Après avoir acquis le public (et une bonne partie des médias) à sa cause, Abir Moussi aurait pu se suffire de cette victoire, sauf que l’avocate-députée ne sait pas s’arrêter là où il faut et, surtout, ne sait pas limiter le nombre de ses ennemis et de ses batailles.
Après les islamistes, elle s’est attaquée aux autres blocs, aux sécuritaires et aux médias se créant gratuitement des ennemis de toutes pièces. Alors que ses vidéos étaient des témoignages vivants des abus des députés islamistes, ils sont devenus par la suite des violations de l’image de ses collègues députés. Alors qu’elle dégageait l’image d’une députée sensée défenseure des lois et de la réglementation, elle a joué la victimisation à outrance en frisant le ridicule avec un casque de motard et un gilet pare-balles. Elle pensait gagner en popularité, mais la vérité est différente de sa perception, sa popularité ne faisait que chuter, d’après les instituts de sondage. Celle-ci passe de 42% en février 2021 à 37% en juin de la même année, selon le sondage effectué par Emrhod consulting pour le compte de Business News et Attessia.
Le 25 juillet 2021, coup de théâtre du président de la République qui gèle l’assemblée, avant de la dissoudre quelques mois plus tard. Tout le travail accompli par Abir Moussi depuis 2019 est tombé à l’eau, Kaïs Saïed lui a volé la vedette et la popularité.
Abir Moussi n’a jamais retrouvé sa popularité de députée et n’avait que 33% en mai 2022 (dernier sondage à notre disposition).
Plutôt que de chercher à comprendre ces chiffres, la présidente du PDL a joué le déni. Plutôt que de chercher à séduire des pans de la société et des corps intermédiaires, elle a joué la confrontation et le spectacle se créant ainsi de nouveaux ennemis.
Un sit-in devant l’ONU par ci, une manif devant un événement de l’institut de sondage Sigma par là. Une fois elle dénigre cette radio, une autre elle décrie cette télé. Un journaliste la critique ? Il est tout de suite envoyé aux gémonies. Elle s’offre en spectacle et pense embellir son image avec ça. Ses aficionados injurient du matin au soir les adversaires et les médias dans les réseaux sociaux pensant ainsi les intimider et les faire taire.
Une chose est certaine, Abir Moussi et ses fans pensent qu’elle est la plus populaire et la plus aimée des personnalités politiques tunisiennes. À la limite, ils accepteraient bien qu’elle soit juste derrière Kaïs Saïed.
Quelle est la vérité, quelle est le véritable poids de la dame ? Loin de la perception et de la subjectivité, il faut des chiffres réalisés par des méthodes scientifiques pour répondre à la question.
En la matière, les seuls points de repère dignes de ce nom sont les derniers résultats des élections et les chiffres réalisés par les instituts de sondage. Abir Moussi peut bien les dénigrer et les discréditer du matin au soir, on ne saurait remettre en doute le travail élaboré par des instituts tunisiens et des statisticiens tunisiens. D’autant plus que ces instituts ont fait leurs preuves avec des chiffres conformes aux résultats des urnes aux élections de 2019.
En ce qui concerne les résultats des élections, le PDL n’a récolté que 189.356 voix aux élections de 2019. Abir Moussi un peu moins à la présidentielle avec 135.461 voix.
Pour des raisons tout à fait logiques, elle a choisi de boycotter et à raison, les élections de 2022. Le revers de la médaille de ce choix, certes sensé, est qu’elle se prive du chiffre de son poids réel. Concrètement, elle ne pèse plus rien, puisqu’elle n’est plus présente dans l’assemblée.
Sur le plan des sondages, Sigma la crédite de 3,8% du corps électoral. Ce qui a valu à son directeur Hassen Zargouni un nombre indéfini d’injures basses de la part du « jomhour » de la présidente du PDL. Concrètement, ces 3,8% représentent exactement 347 mille voix.
Scientifiquement, c’est le seul chiffre digne d’être cru. Il est comparable au résultat palpable obtenu dans les urnes en 2019.
Abir Moussi peut se croire populaire, peut se voir en présidente de la République ou être le porte-drapeau des mouvements anti-impérialistes de la planète, elle n’a au meilleur des cas que 347 mille personnes derrière elle. Elle peut aller manifester devant les bâtiments vides de l’Union européenne samedi prochain, elle ne convaincra que ses aficionados. Comme samedi dernier, elle ne provoquera que moqueries et antipathie, car les chiffres sont têtus quoiqu’elle dise.
À partir de là, et si elle veut vraiment être une femme politique sensée et responsable, elle devrait s’interroger pourquoi sa popularité a chuté autant en si peu de temps. La réponse n’est pas si difficile à trouver, il lui suffit de se rappeler combien elle était posée et rationnelle après la révolution de 2011 et juste après les élections de 2019.
L’injure, l’agression verbale, l’intimidation, la destruction ou encore les manifestations ne participeront en rien à sa popularité. Et elle se leurre si elle pense gagner des points en s’attaquant aux médias, bien plus crédibles qu’elle (ici aussi, c’est une histoire de chiffres). N’est pas Mélenchon ou Trump qui veut.
Nizar Bahloul
Ne soyez surtout pas élogieux quant aux médias car vous nous prendriez pour des imbéciles.
Abir Moussi a gagné haut la main, première et de très loin dans ton "magazine".
Zargouni peut avoir fait de bons "pronostics" avec le pouvoir d'Ennahdha, en les plaàant toujours en tête (ou presque), on sait parfaitement qu'il caresse dans le sens du poil le "pouvoir "en place, que ce soit celui d'Ennahdha ou bien des hypers conservateurs/populistes de Kaies Saied ou les copains Safi Said ; en conclusion, Zargouni est en "mission" pour ne pas dire "sur commande" .
Rappelez vous : pas de "sondages" depuis que le Dictateur a pris les pleins pouvoirs...et là...comme par hasard...voici voilà un "show" autorisé par les autorités dictatoriales en place.
Dernière chose : On savait que Abir Moussi, vu le manque des respect des tunisiens pour les femmes en politique et encore moins l'impensable prospective de voir un jour une femme Présidente, pourquoi le Zargouni n'a pas sorti ses "pronostics" pour les partis politiques Et bien la réponse est SIMPLE : son copain Dictateur en Place n'en veut pas.
Dernière chose : pour vous prouver que ses "pronotics" sont FAUX , il n'a mis AUCUN khwenji dans les premières places de son sondage (à part le salafiste kaies saied et le pro baath et pro arabe safi said) Les extrémistes islamistes pro Nahdha ont "disparus" du jour au lendemain? C'est ça?
Cela montre que ses "pronostics" appelés "sondages" sont FAUX et sur COMMANDE (du Pouvoir dictatorial en place)...
La vérité, vous la saurez un jour...
Voici ma réponse :
Hammamou idha ma hamma am-dha hoummoumahou
Bi ar3ana watt-ou el mawti fihi thakilou
Wa khayloune baraa-ha el rakdhou fi koula baldatine
Idha 3arassat fiha fa layssa taki-lou
Une question pour Mr Nizar Bahloul.
"Quelle est la différence entre un intellectuel éclairé engagé et un autre opportuniste banal?"
" Le premier cherche à changer la société, la bousculer, quel que soit le prix à payer à commencer par mettre sa vie en danger. (Madame Abir Moussi)
Le deuxième cherche à faire les yeux doux à cette même société, la monnayer, la duper, afin que la populace applaudisse ses idées qui ressemblent à un mille-trous el-baghrir ! "
Amin Zaoui.
El Moutannabi :
Lawala el machakatou sada el nassou koulahoum
El djoudou youfkir wa el ikdamoumou katta-lou
Wa inama yabloughou el inssanou ttakata-hou
Ma koulou machiyatine bi el rah-li chimlaoulou.
BN, un peu d'effort.
Le dictateur arrive à convaincre le peuple d'obéissance qu'il est le seul apte à 'penser'?'. Il réfléchit à la place de tout le peuple de la servitude. Par tous les moyens discursifs linguistiques ou par la répression physique, le dictateur envoie le peuple d'asservissement au sommeil. Au silence. '? la prosternation. Le peuple de soumission n'est pas fait pour réfléchir mais pour se fléchir.
Le dictateur cherche à faire germer dans les têtes des troupeaux humains de la dépendance, l'idée qu'il est, et lui seul, l'incarnation de 'l'intelligence'?' absolue. C'est lui 'le ciel'?' et c'est lui, en même temps, qui déteint le ciel afin de ne pas tomber sur les têtes du peuple de soumission.
C'est lui 'la mer'?', et le sel de la mer, c'est lui. C'est lui le pain et l'eau. Le sucré et l'amertume. La plaine et la montagne. Le sourire et le pleur. Source du bonheur et du châtiment. C'est lui qui déteint la terre plate sur ses deux cornes ! Avant lui, il n'y avait pas de patrie, c'est lui le faiseur de la patrie et du peuple de servilité qui peuple en tout bonheur cette cité. Sans lui la patrie et le peuple de cette patrie ne sont que mirage ou mensonge. Afin de régner aveuglément, le dictateur arrive à convaincre le peuple de soumission que la liberté est une lourde responsabilité à porter et à vivre.
Le dictateur glisse dans les détails de la vie quotidienne de son peuple soumis. C'est lui qui choisit la lecture pour le peuple de la soumission. C'est lui qui ordonne l'heure des toilettes. L'heure de la prière. Le jour du jeûne. Le jour de l'aide. Il programme les naissances, les morts et les circoncisions pour les garçons et les excisions pour les filles.
Le dictateur adore son peuple de soumission qui, à son tour, adore le football et zlabia du mois de ramadan. Le dictateur n'aime pas le 8 Mars, mais aime les femmes poupées qui fêtent cette fête avec des youyous et du rouge à lèvres.
Le peuple de la soumission ne sait pas prononcer le 'non'?', ni même le sens de ce mot étrange ! '? force d'avoir la tête dans la prosternation perpétuelle, le peuple de soumission finit par croire que la liberté est un égarement individuel et collectif. Un délire. Que le peuple de soumission est inapte à la liberté.
Aux yeux du dictateur, le salut du peuple de soumission est dans la soumission elle-même. Et sa satisfaction est dans la servitude.
Pour mieux régner, le dictateur profite de la culture populaire ancestrale de la soumission qui répartit le monde entre esclave et maître. Que la soumission est un destin divin et qu'on ne peut échapper à ses foudres. Que l'esclavage est une destinée fatale pour le citoyen du peuple de soumission, depuis la naissance. Que Dieu, avant sa récréation au septième jour, a partagé le pouvoir entre les gens de la terre, et chacun a eu sa part. Il y a celui qui détient le fouet et celui qui a le dos pour recevoir les coups du fouet. Ainsi, on ne peut contester la volonté du Dieu ! Aux yeux du dictateur, la religion n'est qu'un arsenal de textes qui renforcent sa puissance et justifient sa mainmise sur le peuple de soumission. Ainsi, le peuple de la soumission pleure son bourreau. Déguste avec plaisir le sang de ses blessures ! Il n'y a pas de dictateur sans une culture qui l'irrigue, qui érige son statut dans la peau de l'âme du peuple de soumission.
A. Z.
aminzaoui@yahoo.fr
https://www.liberte-algerie.com/actualite/ces-peuples-qui-adorent-leurs-dictateurs-365850
https://www.facebook.com/amin.zaoui.9
Une fois sur le trône, le dictateur commence, d'abord, par vider son entourage de toute personne qui risque de lui faire la moindre once d'ombre
1er extrait de l'article de Mr Amin Zaoui. Intellectuel. Penseur. Romancier bilingue francais-arabe. Professeur à l'Université d'Alger.
Dans nos sociétés contrôlées tout est structuré, bien ficelé : la culture, la religion et le peuple. Même l'horloge du rêve est programmée afin que personne n'ose rêver !
Il n'y a pas de dictateur sans une culture qui l'enfante, le façonne et le bouillonne sur un feu fort.
Il n'y a pas de dictateur sans un peuple soumis. La soumission est la matrice des dictateurs.
Pourquoi le peuple de soumission arabe ou nord-africain vénère-t-il son bourreau ? Pleure-t-il sa mort ?
Le dictateur cultive, avec persévérance, la psychologie du troupeau qui le représente comme une créature énigmatique ou magique se situant entre l'image du dieu et celle du père. Le dieu du peuple de soumission est capable d'effacer l'image du Dieu. Le père qui fait oublier à ses citoyens leurs pères biologiques ou sociaux. Ainsi, le dictateur est le dieu de tout un peuple et est son père, également.
Quand tout l'establishment de Ben Ali et autres affiliés au rcd se cachaient en 2011 par peur de la déferlante " révolutionnaire " elle a affronté seule à l'intérieur du tribunal une horde vindicative chauffée à blanc pour défendre son parti et ses convictions .
La bravoure et le sens de l'honneur ,c'est une femme qui les a porté seule .
Ceux qui ont vraiment profité du système Ben Ali ,par lâcheté ce sont cachés, ont prêté allégeance aux khouanjias et ce sont recyclés dans d'autres partis dits progressistes .
Abir Moussi est une femme honnête, non vénale, qui ne trahit pas et ne tourne jamais le dos à ses principes par compromission et par appât du gain .
12 années de travail politique acharné ayant mis entre parenthèses sa vie de mère et de femme sans calculs immédiats et certains osent dire dans leur confort ,taboubi ,casque et gilet pare-balles !
Le combat qu'elle mène est beaucoup plus grand et plus profond que ce que certains ont bien cru comprendre et percevoir.
Ne dit on pas que lorsque le sage pointe la lune les imbéciles regardent le doigt.
Les stratèges ne nous ont ils pas dit qu'en démocratie, les médias devaient s'affranchir de l'exécutif ?
L'une des premières de leurs décisions des en 2011 a été de supprimer ministère de l'information .
Pouvez vous me dire qui finance maintenant les instances de régulation et tous les médias confondus ?
Qui finance les différents programmes d'assistance aux medias Tunisiens ? PAMT1 et PAMT2
Connaissez vous l'organisation Britannique de l'article 19 qui finance la Haica?
Savez vous que les médias Tunisiens sont financés par des organismes PUBLICS Francais et Allemands à l'instar de France 24 et Deutsche welle ?
Savez vous que ceux qui paient imposent obligatoirement leurs lignes éditoriales ?
Un journaliste professionnel et rompu aux techniques d'investigations aurait dû apporter plus de profondeur à son article .
Analyser son discours ,sa vision aurait été plus juste" .
Qu'est-ce qui te dérange chez la Lionne? Tu n'as jamais autant sorti tes griffes? Alors qu'est-ce qui se passe? Peut-être parce qu'elle commence à s'attaquer à la source du mal qui est à l'origine de notre sacro-sainte merdolution. Aux forces atlantistes, ces criminels en puissance, au silence complice de l'ONU, ou pire encore, à l'UE, cette instance qui, non seulement, réduit les peuple libres d'Europe à l'esclavage 2.0, mais pire encore, les pousse à la pire des guerres? Au profit de qui? Je te laisse deviner!
Alors à ta question (au passage, on dit: "que pèse Abir" et non pas "combien pèse Abir"), je répondrais qu'elle pèse plus que tous les autres réunis. Rien que par le poids du parti Historique qui a fait de la Tunisie un Pays rayonnant dans le monde entier. Parti dont elle est la Digne Héritière par son militantisme formidable. Seul parti qui s'est opposé aux atlantistes qui sont venus nous "libérer", en bon peuple de naïfs et de crédules que nous sommes, mus de sales sentiments, de haines de jalousies et de régionalisme.
C'est ce que je dénonce dans les lignes de ce journal depuis 2011, résumant tout ce qui vous arrive au verset 112 de la sourate des abeilles.
Et si certains acteurs cachés pensent que le 25 juillet, qui avait pour seul but d'arrêter la fulgurante ascension de Abir (elle dérange tant? Pourquoi?), je leur dit qu'ils se trompent. Ils n'ont vu que le hors-d'oeuvre, le plat de résistance va bientôt être servi. Il tape haut, il tape fort, il tape à la source.
Protège-toi Abir, ce sont des criminels. Prends toutes tes précautions. Et ne lâche Rien. On vengera la Tunisie.
Mon cher Nizar, minimiser l'action et le poids de Abir dans le paysage politique tient de la mauvaise foi. D'ailleurs si elle ne pèse que si peu, en quoi te dérange-t-elle alors? A moins que s'attaquer à l'UE te dérange!
VIVE ABIR, La Victoire des Peuples Libres est proche (Bonne chance au passage à Asselineau).
LEON, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant.
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
No comment!!!!!!!!!!!!!!
Elle ne pèse rien ,95% des tunisiens détestent le rcd et la secte....ni ghannouchi ni moussi.....deux escrocs qui ont la traîtrise dans leur ADN.....
Elle reprend l'image qu'a voulu imprégner '? Mekki lorsqu'il a voulu s'octroyer l'image d'un Général de guerre lors de l'invasion du Covid début 2020.
En fait ce qui est à conclure c'est que la souche RCD et Ennahdha est la même : mentir pour monter !! Mentir au peuple pour monter au pouvoir en montant sur son dos .
Le jeu de l'opportunisme de droite pour se servir et servir leu soif au pouvoir ni plus ni moins. '?videmment s'ils accèdent ensemble ils vont finir par partager le cake.
Pauvres lésions!!! Fatakom El kitaar!!!
N'oublies pas de te dépoussiérer les fesses en se levant de cette position accroupie ! La prochaine fois avant de s'asseoir à même le sol n'oublies pas de demander Mekki '? pour qu'il déploie son. Sot magique et jette un peu d'eau ( rachrech) sur la place pour éliminer la poussière et la rafraîchir pour tout besoin de rafraîchissement fessier.
Y-a-t-il un seul Brésilien en Tunisie...?
Abir veut une Tunisie cohérente, fière de ce qu'elle est, honnête, unie, et bienveillante, ce que n'est plus du tout la Tunisie après le passage de la horde islamiste !
Soutien à elle, vous la reverrez bientôt en haut de l'affiche quand KS aura un peu nettoyé le marigot! L'avenir lui appartient!
Personne n est parfait il ya sûrement des améliorations mais sur la scène politique il m ya pas photo entre Safi said et une Abir Moussi patriote authentique
Le PDL comme Ennahda font parti du passé. Et les faire revenir ne fera pas revenir la Tunisie économiquement !
Les nostalgiques sont tous d'un certains âges et on peut le voir largement de chaque côté de la barrière lors des "manifs".
Quant à KS il est dans sa bulle et crois être le sauveur de l'humanité. Personne ne le soutient et personne ne le supporte. Je dirai même qu'il nous fait honte. Mais ca, il ne le vois toujours pas!
Soit dit en passant comment peut on ignorer 80% de la population qui a refusé de voter. C'est dingue....bref.
Les gens, les peuples changent, les mentalités doivent évoluer pour laisser une place aux 25-45 ans afin de construire leur avenir et préparer celles des plus jeunes.
Notre problème c'est la place de notre jeunesse dans la société et dans la politique. Il n'y a pas de juste milieu en Tunisie. C'est dommage.
On continue de survivre en attendant le défaut de paiement ;)))
Et là, on aura plus que les yeux pour pleurer.
Est-ce que les jeunes de 25-45 ans se sont mobilisées pour les législatives? NON
Est-ce que les jeunes on assez l'expérience politique , économique, sociale, juridique, éducationnelle, internationale pour diriger un pays aussi tiraillé que la Tunisie?
Est-ce qu'il ne serait pas préférable que jeunes, moins jeunes et anciens collaborent pour sortir le pays du fossé où l'ont fait tomber les vieux islamistes comme ghanouchi et les jeunes qui se sont laissé embrigader pour aller se faire tuer dans des exodes en mer ou au sein d'Al Qaida, AnsarCharia et autre mercénaires tueurs?
La liste pourrait être longue...
Mais la critique pour la critique n'a jamais fait évoluer les hoses!
habituelle des politiciens qui font semblant de ne pas voir la situation réelle de la Tunisie et de ses citoyens. Elle est utile ne serait-ce que pour dévoiler toutes les manoeuvres de ces politiciens pour se maintenir au pouvoir.
On peut lui reprocher de faire le "buzz" pour attirer l'attention mais c'est aussi le moyen pour elle d'informer les gens à l'époque d'Internet et des réseaux sociaux vu que les médias officiels sont souvent au service du pouvoir en place. Par contre, on aimerait bien connaître, au-delà des polémiques qu'elle entretient quelles sont ses propositions pour sortir le pays de la grave crise économique et sociale qu'il traverse.
La pauvre Mme A. Moussi est entourée de mauvais conseillers : celui qui en fait trop (actionnisme sans fin !) et qui a une grande gueule ne peut que perdre !
Il faut qu'elle soit aider par un psy et par son équipe en cherchant une bonne image pour un futur Président. Elle pourra se rattraper si elle le veut et relancer son militantisme avec modération en se rapprochant de quelques amis militants honnêtes et sincères, je sais que c'est difficile de changer mais il le faut pour garantir le futur. Mme Moussi, c'était un plaisir de suivre vos interventions bien structurées avec une analyse professionnelle intelligente mais hélas je ne reconnais plus Mme Moussi dans cet état. il faut l'aider à dépasser cette période difficile pour elle mais tant qu'elle est courageuse et puissante, elle peut le faire. Je voterai pour elle malgré ses agissements qui lui font tort.
Ce qui est bien chez Abir c'est quelle est contre les islamistes avant , en ce monment at aprés , malgré et contre tous . Et ça on l'appelle " PRINCIPES"
Comme l'a précisé Bourguiba, la meilleure méthode pour gagner la confiance du peuple est le contact directe.
Abir a pour une certaine période essayé le contact direct et c'était un succès, ses discours a Béja et d'autres villes étaient bien suivis et bien reçus. Elle est une bonne oratrice et elle a un sens d'humour. Elle a présenté des solutions réalistes aux agriculteurs de Béja et a montré qu'elle comprenait leurs problèmes et sympathise avec eux.
Pourquoi est ce qu'elle a abandonne cette approche bien réussie?
C'est aussi la méthode suivie par KS avec ses voyages a travers le pays avant de devenir Président.
Abir a perdu de sa popularité quand elle s'est concentrée exclusivement sur les confrontations.
Si Abir change de méthode, elle aura une plus grande chance a devenir Présidente en 2024.
Elle devrait relire les discours de Bourguiba d'avant 1957, certains de ses discours après et consulter les livres de M. Sayeh sur le sujet. Les livres de Bourguiba tel que La Tunisie et la France. Vingt-cinq ans de lutte pour une coopération libre, publié en 1954, sont aussi a relire.
Abir doit démonter qu'elle a de meilleures solutions et élaborer sa vision pour un futur meilleur pour le pays et sa jeunesse. Les attaques et les accusations contre X et Y ne mènent a rien et ne vont pas changer la réalité. Si on se débarrasse d'X, un autre va surgir pour le remplacer.
Sans adversaire détesté par la majorité des Tunisiens au pouvoir, elle ne pourra pas rassembler avec sa stratégie actuelle
Aujourd'hui c'est l'une des rares figures de la Tunisie qui incarne patriotisme et modernisme. Qu'on l'aime ou on ne l'aime pas elle s'est toujours montrée combative et constructive. Elle est toujours entourée de cadres mérite respect.....
La Tunisie, riche par sa matière grise, a besoin d'intégrer toutes ses/ces compétences pour redonner espoir à ses enfants et confiance à ses partenaires.
Quant à notre journal qui nous tient compagnie voici plus d'une décennie, emprunte un créneau pas si réjouissant et même rassurant pour la suite de sa survie.
'?normément d'événements qui secouent la planète, et la direction de B N, projecteurs braqués sur KAIS SAIED, quasi en permanence, vous ne rendez pas service ni à vous-même, ni à la société, et à ceux qui vous lisent !
Oui M. Bahloul à farce de nous rabâcher la même rengaine, les mêmes sujets, la lassitude nous submerge ! De grâce, Basta, passez à autre chose s'il vous plait !
Quel physique avez-vous
La guerre en Ukraine, la tension americano-chinoise, la mère de Chine qui s'enflamme, le climat, le sport en Tunisie, le prochain Parlement, la faillite des partis politiques en Tunisie et même ailleurs. Tant de sujets qui relèvent de votre mission de directeur de journal.
Monsieur Bahloul, dans la vie, il n'y pas que Kais Said qu'il faut diaboliser (vainement d'ailleurs) du matin au soir.
Pensez-y Monsieur Bahloul, prenez un peu de recul.