Dans une déclaration accordée à Jawhra FM, lundi 13 mars 2023, la vice-présidente du Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), Amira Mohamed, a qualifié de scandaleux l’interdiction aux médias de couvrir la session plénière inaugurale de l’Assemblée des représentants du peuple.
Amira Mohamed a déclaré : « Malheureusement, ce qui est en train de se passer actuellement est un scandale contre la Tunisie, les citoyens et les journalistes. Interdire l’accès aux médias excepté ceux du service public, pour couvrir la première plénière du nouveau parlement est scandaleux ».
La vice-présidente du SNJT a dénoncé cet agissement en ces termes : « Le droit du citoyen à l’information a été visé, une politique discriminatoire et d’exclusion a été adoptée contre la presse nationale et les correspondants de la presse étrangère ».
Et à Amira Mohamed de souligner : « Aujourd’hui, il y a une dérive vers l’autoritarisme, le citoyen ne pourrait savoir ce qui se passe sous l’hémicycle de l’ARP et chaque partie rejette sur l’autre la responsabilité de cette décision ».
« Le Syndicat national des journalistes tunisiens ne demeurera pas muet face à ces décisions arbitraires », a signalé la journaliste avant d’appeler ses confrères au boycott de l’activité de l’ARP.
Les médias et journalistes ont été interdits d'assister à la première plénière de la nouvelle. C’est ce qui ressort de l’intervention en direct du correspondant de Mosaïque FM, Khalil Ameri, présent sur place.
« Les médias ne pourront pas être présents lors de cette plénière. Les médias nationaux ou internationaux ont été interdits d’accès à l’hémicycle. On se limitera aux journalistes de la Télévision nationale et de l’agence Tunis Afrique presse », a rapporté le journaliste.
Khalil Ameri a également affirmé le renforcement du dispositif sécuritaire en place. Il a indiqué que les forces de l’ordre ont déployé plus de barrières et plus d'agents de police au niveau de la porte d’entrée.
H.A
Vous comprenez pourquoi le pays dérivait sans cesse !! Ils sont très long à la détente.
Cette "journalistes" croit qu'elle peut accéder où elle veut, quand elle veut et comme elle veut, comme s'il s'agissait de la séne'ya de son père.
officiel qui se respecte et dont les activités sont couvertes par les les organes officiels tel que l'agence Tap Ou la télévision nationale. Allez donc regardez l'actualité de l'arp a la télévision.
Les journalistes Nabbara, les Abir Moussi, les Seifeddine Makhlouf, toutes ces figures de malheur doivent nous foutre la paix.
Remarque: Abir Moussi a disparu de la circulation, et c'est tant mieux.
Girouette.