Cette grande Dame de la Tunisie Sihèm Ben Sedrine, gérait l'Instance vérité et dignité, attribuée à l'organisation de la justice transitionnelle formée de vingt-cinq mille (25.000) employés, à grande majorité des Juges, des Magistrats et des Juridiques. Ce n'est pas Sihèm Ben Sedrine qui accusait et qui tranchait entre les personnes en matière pénale, ni qu'elle ne sanctionnait les criminels parmi les Azlèms de ton espèce. Ce sont les Juges et les Magistrats tunisiens, souvent en groupe, qui ont instruit les dossiers et qui ont décidé de leur sort. Il appartient à la charlatanerie des ennemis de la Révolution tunisienne du 14 janvier 2011, de toujours diaboliser la tête pensante de n'importe quelle réussite acquise dans le domaine populaire en Tunisie. Un domaine qu'ils n'ont jamais gagné sans mensonges, sans manipulations et sans escroqueries. C'est ce qu'ils ont fait tout le temps avec le parti d'Ennahdha et son chef, le Savant Ouléma de l'Islam Rached Ghannouchi. Puisque ce n'est pas Siherm Ben Sedrine qui a rendu les décisions contre tes semblables les bourreaux des deux défunts dictateurs déchus, ni qu'elle ne tenait la caisse de l'Instance, ni même qu'elle a rendu des décisions «au nom du peuple tunisien» en collégialité avec les centaines des Juges de l'Instance vérité et dignité, déjà financée par l'ONU. Non pas par le parti d'Ennahdha.
Le Tout Puissant vous appauvrit déjà en bordure de la Famine, pour vous faire payer votre ingratitude pour les meilleures onze années, qu'Allah le Tout Puissant nous a dotées en exclusivité parmi toutes les Révolutions du monde arabe. Une aisance et une liberté que les Tunisiens n'aient jamais vécues depuis leur esclavage chez les Romains d'avant leur histoire mensongère de 3000 ans.
Maintenant, continuez votre fuite en avant, car le Tout Puissant retarde, mais il garde. Allah yomhil wèlè yohmil.