
Le mouvement Ennahdha a annoncé que Noureddine Bhiri après avoir été auditionné par le juge d'instruction du bureau n°31 près du Pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme. Dans une publication Facebook du 6 décembre 2022, le mouvement Ennahdha a indiqué que Noureddine Bhiri était libre et a accompagné la publication de plusieurs photos montrant ce dernier entouré de quelques personnalités telles que Ajmi Lourimi, Jaouhar Ben M'barek et Mohamed Goumani et Ali Laârayedh.
De son côté, l'avocat et membre du comité de Noureddine Bhiri, Samir Dilou a indiqué, dans une déclaration accordée le 6 décembre 2022 à Business News, que le juge d'instruction près le Pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme a décidé de ne laisser Noureddine Bhiri en liberté après l'avoir auditionné au sujet de l'affaire de l'octroi de passeports et de la nationalité tunisienne. Samir Dilou a précisé que l'affaire avait été reportée pour le 4 janvier 2023 et concernait trois magistrats et d'autres figures islamistes telles que Hamadi Jebali. L'ancien chef du gouvernement sera auditionné le 7 décembre 2022.
Cette affaire avait été évoquée par le ministère de l’Intérieur, Taoufik Charfeddine, à l'occasion d'une conférence de presse du 3 janvier 2022. Il avait affirmé que l'ancien ministre de la Justice faisait l'objet d'une enquête pour « l'octroi de passeports et de certificats de nationalité de manière illégale pour des personnes que je ne qualifierai pas. Je laisserai les enquêtes judiciaires révéler leurs identités et leurs relations familiales, et j’assure qu’il y aura beaucoup de surprises ».
M. Bhiri avait considéré, dans une publication Facebook du 2 décembre 2022, que sa convocation était une forme de harcèlement.
S.G
L'ancien ministre : Nous sommes le MARDI
Le Juge : Dans votre convocation, quel jour est indiqué ?
L'ancien ministre : MERCREDI
Le juge : Je ne peux pas vous auditionner.
L'ancien ministre : Pourrais je venir demain ,puisqu'il sera MERCREDI
Le Juge: Demain quel jours du mois
L'ancien ministre : Le 7
Le Juge : Dans votre convocation ,quelle date est indiquée
L'ancien ministre : Le 6
Le juge : Meme demain ,Je ne peux pas vous auditionner.
L'ancien ministre : Mais moi et les freres veulent que je sois auditionné et mis en dépot pour
chauffer la foule lors de la manifestation du 10, anniversaire de la declaration
des droits de l'homme,et envoyer des messages à l'étranger ,et surtout à
BIDEN, contre ESSISI , qui sera aux USA la semaine prochaine,
Le juge : Non je ne peux pas vous auditionner, ni aujourd'hui ,ni demain ,car si je
prends une décision, vous allez déposer un recours pour vice de forme.
L'audition est reportée pour le 4 du mois prochain.
L'ancien ministre : Mais vous n'avez pas précisé quel jour de la semaine
Le juge : Cette fois ,je ne vais pas préciser quel jour de la semaine, pour éviter toute
erreur, car je tiens à vous auditionner et prendre une décision.
l' Association des Magistrats,les 80 avocats ,avec les quatres anciens doyens,entre autres...).Surtout que le 10 Decembre coincide ave la déclaration internationale des droits de l'homme, et Bhiri est un avocat, et un militant des droits de l'homme et était ministre de la justice et droits de l'homme. NAHDHA voudrait ,aussi, exploiter la mise en dépot de BHIRI pour passer des messages propaganistes ,contre KAIS SAIED, à l'étranger ,surtout aux USA qui ont invité KAIS SAID. Mais ,malheureusement pour NAHDHA, le juge d'instruction n'a pas auditionné BHIRI, et n'a pas emis un mandat de dépot, ce qui constitue une défaite pour Nahdha. Mais puisqu'elle spécialiste dans le COM et l'image ,elle essaie de transformer cette défaite en une victoire avec des sourires identiques et simultanés de tous le accompagnants de BHIRI (peut etre il leurs racontait une blague). Ce qui confirme que NAHDHA a voulu un mandat de dépot , c'est la présence de plusieurs figures qui dans le passé n'accompagnent pas BHIRI ,tels que JAWHAR, GOUMANI,LOURIMI LAARAYAADH ...
" lablabi" à chaque pose café comme lorsqu'il s'amusait à jouer le clown à l'assemblée du cirque.
Malla karakouz ce bandit.
Pourtant, les faits avancés par elles auraient suffit mettre aux arrêts quiconque tant ils sont graves.
On peut remarquer que cette Justice demeure attachée à ses valeurs et principes édictés par Ennahdha, à savoir ne jamais ou presque faire droit à plaignant contre cette association peu glorieuse composée de voyous.
Bhiri qui était mourant, son épouse et des acolytes avaient fait des pieds et des mains, criant à la mort, pour le faire libérer.
Lui, Bhiri, grand courageux devant l'Eternel, ne s'était rien épargné, de la grève de la faim, au refus de médicaments.... jusqu'à sortir rejoindre ses "frères" qui se succédèrent à son chevet nous jouant une pièce désormais connue, et comme par miracle, il retrouva santé et force pour courir soutenir Ghannouchi, et d'autres.
Cette mascarade ressemble à celle de Capone, Al de son prénom comme Nourreddine pour notre héraut, haranguant la presse pour déclarer son innocence, et aura fini par se faire prendre à son jeu devenant l'exemple du voyou qui se crut assez rusé et finit dans une cellule, la souricière en piège.
Je le redis, ici, et confirme ce mon diagnostic, ce pays est victime de cette mafia, et n'en finira avec elle qu'au prix d'un labeur incessant, sans compromis ni faiblesse, jugeant ces saligauds les uns après les autres.
Leurs suppôts et compagnons de route finiront dans le fossé, et resteront au bord du chemin quand l'histoire reprendra son cours.