
Le président algérien, Abdelmajid Tebboune, a réitéré, dimanche 31 juillet 2022, son soutien à son homologue tunisien, Kaïs Saïed.
Cette déclaration intervient quelques jours après de la proclamation des résultats du référendum constitutionnel initié par Kaïs Saïed. En dépit d’un faible taux de participation, le projet du président de la République est passé. Au total, 94,6% des électeurs qui ont participé ont voté « oui ».
Lors de sa rencontre périodique avec la presse locale, le président algérien a assuré que l’Algérie se tiendrait toujours aux côtés de la Tunisie sans s’immiscer dans les affaires internes du pays. Il a ajouté, dans ce sens, que la solution à la crise que vit le pays ne pourrait être que tuniso-tunisienne.
« Nous soutenons totalement nos frères Tunisiens », a-t-il indiqué avant de souligner que l’Algérie est du côté de la légitimité que « représente Kaïs Saïed étant élu par le peuple ». Rappelant les liens solides entre l’Algérie et la Tunisie, il a affirmé que l’appui de son pays à la Tunisie était un « devoir historique ».
Commentant sa rencontre avec le secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Noureddine Taboubi, qui ‘était rendu en Algérie à l’occasion de la célébration de la fête de l’indépendance du pays, le président algérien a précisé que la visite du syndicaliste s’inscrivait plutôt dans le cadre du renforcement des relations qui unissent les deux centrales syndicales algérienne et tunisienne et non dans un processus de médiation entre Noureddine Taboubi et Kaïs Saïed.
N.J.

Oui, nous aussi tous les Tunisiens, nous sommes du côté de la légitimité de la Constitution de 2014, par laquelle le président Kaïs Saïed a pu être élu légitimement en 2019, président de la République tunisienne et sur laquelle il a été assermenté par les députés du peuple, la main sur le Coran.
Mais maintenant, nous parlons de l'illégitimité de son coup d'Etat du 25 juillet 2021. Non pas de son élection en 2019.
Où sont maintenant ces députés du peuple qui l'ont assermenté et où est maintenant le parlement ARP, où il a tiré sa légitimité?
Où est cette Constitution de 2014 sur laquelle se base la légitimité du président Kaïs Saïed?
Le président algérien Abdelmaji Tebboune, commence à nous montrer son autre façade de la trahison et de l'hypocrisie des Arabes. Il commence à «y makhouèr wè ichimm» ou (le doigt en bas et l'odeur dans le nez).
Hélas pour les Tunisiens et pour la Tunisie. Nous n'avons jamais compté avec sa traîtrise!!!
A ce petit jeu, notre KS national est encore un peu tendre mais il apprendra vite qui dirige réellement la Tunisie...
Un libre échange total sans droits de douane dans les deux sens,une libre circulation des biens et des personnes,la carte d'identité nationale devrait suffire;
Imaginez le prix à la pompe de l'énergie en Tunisie vendue au même prix qu'en Algérie;Pourquoi parler de 'Mharréb'? cette notion devrait disparaître;
Deux Nations soeurs,une même langue,une même Histoire,deux présidents de la république qui s'entendent parfaitement.....C'est MAINTENANT ou JAMAIS.
Ou simplement des paroles en l'ai
Ces même déclaration nous parviennent des européens et autres et malheureusement nous nous sommes pas parvenu à convertir ces belles paroles en dtn ou $ ou les mettre à table pour manger
( ma taati blech ken el agrab ).
l Algerie, apres avoir fait du Maroc avec l aide de son Roi, une base israelienne. L Algerie etant le seul pays qui peut empecher la recolonisation du Maghreb par l Occident Si necesscaire pour empecher l acces a la Russie et a la Chine a la mediterrannee occidentale
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Essisi, Tabboun et Bachaar sont morts et se tiennent devant Dieu. Dieu demande à Essisi : « En quoi crois-tu ? Essisi répond : "Je crois au libre-échange, à une Egypte forte, à la nation." Dieu est impressionné et dit : « Viens à ma droite ! Dieu se tourne vers Tabboun et demande : « En quoi crois-tu ? Tabboun répond: "Je crois en la démocratie, en l'aide aux pauvres, en la paix mondiale." Dieu est très impressionné et dit : « Assieds-toi à ma gauche ! Puis il demande à Bachar : "Qu'en penses-tu ?" Bachar répond: "Je pense que vous êtes assis sur ma chaise."
Le MAE va aussi convoquer l'ambassadeur d'Algérie pour lui signifier l'ingérence de son pays dans nos affaires internes ?

