
Venues de Sidi Bouzid, Kairouan, Sfax ou encore Zaghouan, des ouvrières agricoles se sont rassemblées, mercredi 7 mai 2025, sur l’avenue Habib Bourguiba à Tunis pour faire entendre leur voix. À l’appel du mouvement « Les Voix des ouvrières agricoles », elles ont organisé une marche symbolique au cœur de la capitale, avant d’ouvrir les travaux de leur deuxième congrès national au Palais des Congrès.
Parties à 9h30 depuis l'horloge de l’avenue Habib Bourguiba, les manifestantes ont rejoint la place des Droits de l’Homme en scandant des slogans pour la justice sociale, la dignité au travail et la reconnaissance de leurs droits fondamentaux.
Le choix du nom du mouvement, « Les Voix des ouvrières agricoles », n’est pas anodin. Il marque une volonté de distinction claire entre les femmes agricultrices, souvent propriétaires de terres, et les ouvrières agricoles, qui travaillent sur les terres d’autrui pour des salaires précaires, souvent sans contrat ni couverture sociale.
Créé par et pour ces femmes rurales, le mouvement dénonce les conditions de travail indignes, le manque de protection sociale, les politiques de précarisation, ainsi que les discriminations fondées sur le genre et la classe sociale. Ce deuxième congrès vise à structurer davantage leur lutte, mutualiser leurs revendications et porter leur voix au niveau national.
Avec cette mobilisation, « Les Voix des ouvrières agricoles » espère non seulement obtenir des avancées concrètes en matière de droits, mais aussi inscrire définitivement la cause des ouvrières agricoles dans l’agenda social et politique tunisien.
S.H
Pour cela, ces pleutres utilisent, entre autres, les moyens les plus vils, pour instaurer le chaos.
Ces pauvres, valeureuses et courageuses femmes, qui bataillent pour gagner leur pain, sont utilisées en guise de rapalas, pour galvauder et manipuler les esprits faibles.
Et dire que par la suite, les idiots utiles de services sont étonnés par les nombreux procès en cours, envers les meneurs et les usurpateurs, vêtus en tenue d'apparat de Ste Nitouche
Rien n'est le fruit du hasard.
Malgré tout, je trouve que la justice est encore un peu trop laxiste.
si elle fait ca , c est qu elle est financé et attend un retour sur investissement