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C'est officiel, les Tunisiennes peuvent voyager librement avec leurs enfants !
03/12/2015 | 11:27
1 min
C'est officiel, les Tunisiennes peuvent voyager librement avec leurs enfants !

C’est officiel, les femmes tunisiennes peuvent désormais obtenir un passeport ou n’importe quel autre document de voyage pour leurs enfants, sans avoir besoin d’une autorisation du père, et ce, indépendamment de la situation civile du couple qu’il soit marié ou divorcé.

 

La loi organique n° 2015-46 du 23 novembre 2015 amendant celle de mai 1975, relative aux passeports et documents de voyage vient enfin d’être publiée dans le JORT en date du 27 novembre 2015.

 

Cette loi stipule, dans son article premier, que le voyage du mineur est soumis à l’autorisation de l’un des deux parents, du tuteur ou de toute personne à qui la garde de l’enfant a été confiée. Ainsi, les femmes tunisiennes n’auront plus besoin, désormais, de l’autorisation du père pour voyager avec leurs enfants.

Ce nouvel acquis rappelle la nécessité d’amender ou de promulguer d’autres textes de loi en faveur des droits des Tunisiennes.

03/12/2015 | 11:27
1 min
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Commentaires (31)

Commenter

semi
| 04-12-2015 21:23
bravo abel, tu m'as vraiment fait rire...

Abel Chater
| 04-12-2015 20:56
Ce que tu racontes avec tous tes semblables, a été déjà rabâché en vain quatorze siècles durant, par les Croisés et par tous les ennemis de l'Islam.
Le livre saint de l'Islam le Coran renferme la Parole Divine de notre Créateur et Créateur de tout l'univers, Allah le Tout Puissant (Sobhanou wa Tâala). Que tu veuilles le croire ou non, c'est ton affaire. Mais que tu lui mènes la guerre, ça devient notre affaire.
*** qui veulent « moderniser » l'Islam suivant leurs propres profits et suivant leurs propres intérêts.
J'aime bien te raconter une anecdote à ce sujet.
J'ai demandé à un paysan, pourquoi avant l'arrivée de l'Islam, les Berbères tuaient leurs filles vivantes à la naissance. Il m'a répondu que la femme rurale travaille la terre plus que les hommes. Celui qui procrée une fille, il la nourrit et la fait grandir. A peine qu'elle atteigne l'âge du mariage, les voisins demandent sa main pour leur fils. Elle travaille désormais la terre des voisins devant les yeux de ses parents. Perte, jalousie, honte et rancune s'ensuivirent.

Mohra
| 04-12-2015 15:32
decevant to commentaire

d'abord la femme musulmane ne vie plus dans un tribu au sahara ou les seuls biens sont des palmiers et des chameaux pourlesquels la fille doit epouser son cousin du meme nom de famille pour que les biens(chameaux et palmiers ne vont pas chez un autre tribu et que ca reste au seun de la famille
aujourd'hui la femme medecin et avocate ou ouvriere pauvre et malade vie dans un monde exigeant a des milliers de km de sa famille et envoie ded l'argent a sa famille parfois meme a un maris alcholique ou handicapes ou en prison
ce n'est plus une simple bedouine qui vit simplement avec ses brebies proteges par les hommes de la tribue
le tissu social a change, l'economie a change le monde a change

deuxieme point decevant, comment osez vous critiquer les autres religions de la sorte, vous etes musuman et fier de l'etre convaincu que c'est la meilleure religion ?
moi a votre place j'aurais montrer que l'islam arrive en dernier est la synthe des religions precedentes ca aurait ete plus rassemblant et reconciliant

le christianisme n'est pas limite a la messe de dimance puisque la soeure theresa et l'abbe pierre sont des chretiens....
tout comme l'islam qui est vaste et souple et sommes tous des musftis et capable de savoir si ceci est admis par dieu ou pas et que ces distinctions de admis ou meprises par dieu ce n'est pas exclusif a ux hommes ou aux chikh
etdonc moi je donnes ma propre fatwa"la femme de nos jours doit heriter une part egale a l'homme elle doit avoir tous ses droits a par egale a l'homme sans aucune restriction aucune, meme imame elle peut etre

Mohra
| 04-12-2015 14:57
exact
le combat de la femme a arracher ses droits face à ces ces males islamistes et retrogrades qui continue a inventer sans scrupules des lignes rouges "comme quoi infranchissables" pour leur propres interets et au nom de la religion est un combat que nous continuons de pieds ferme
une soeure devouee a ses parents devrait herite la meme chose que son frere
une femme qui fait le meme travail qu'un homme(usine, agriculture) devrait avoir le meme salaire la loi doit veiller a l'pplication de cete egalite salariale
une femme doit decider par elle meme qui epouser son avis pour le sort de ses enfants doit etre incontestable

el manchou
| 04-12-2015 14:40
ton commentaire est typique de ta secte, aucune argumentation, rien de concret, juste du blabla.

Abel Chater
| 04-12-2015 13:39
Nous parlons d'égalité de la femme avec l'homme au sein du respect total des dogmes de l'Islam.
Ce qui diffère la démocratie des Musulmans de la démocratie des non-musulmans, c'est qu'en Islam, il y a des lignes rouges à ne pas dépasser. Au-delà de ces lignes rouges, débute toute sorte de démocratie, de capitalisme, de socialisme et même de communisme.
Donc, ce qui est ancré dans les Versets coraniques, ne pourra jamais être abusivement ignoré. Si les Musulmans ouvraient même une toute petite fissure dans les dogmes de l'Islam, ses ennemis en feraient de notre religion musulmane, encore pire de ce qu'ils ont fait du Christianisme.
Et pourquoi crois-tu donc, qu'ils mènent toute cette désinformation mensongère contre le «Wahhabisme», sinon parce qu'il ne leur permet aucun iota de changement en Islam?
L'Islam pour nous est un mode de vie, non pas une Messe de dimanche à l'église.
L'Islam pour nous est la sociabilité familiale et le respect des parents, non pas l'homosexualité et le mariage entre semblables.
L'Islam pour nous est la protection de la femme et le travail pour la faire vivre, non pas le contraire, l'envoyer travailler pour faire vivre son mari. Il ne reste encore à un Musulman, que de marier sa fille à un vaurien, puis lui léguer encore une grande partie de sa richesse. Le garçon qui est censé garantir la survie de son nom de famille, hérite à égalité avec celui qui les a piégés par le mariage de leur fille.
Ils veulent nous transformer comme les juifs, dont la mariée verse une forte dot à l'homme qui va l'épouser, pour qu'il ouvre un commerce. La forte dot est payée par le père de la fille, dans l'idée qu'il investit pour ne plus devoir dépenser sur sa fille.
Douilliou, douilliou et encore mille fois douillious !!!
Car l'homme valeureux, ne doit jamais toucher ni à l'argent, ni à l'héritage de sa femme.

el manchou
| 04-12-2015 11:59
La femme Tunisienne hérite toujours la moitié de ce qu'hérite un homme sans oublier qu'elle n'a pas le droit de se marier avec un non-musulman, ce sont les 2 discriminations à régler au plus vite.
N'en déplaise au gourou de Montplaisir.

Mohra
| 04-12-2015 11:00
ils sont complices et ils ont besoin l'un de l'autre femme et homme main dans la main
chacun apporte ce qu'il peut
il vaudra alors reconnaitre les points forts de chacun et il faudra surtout etre juste avec chacun

permettre a cette femme centre du monde dans la famille dans la societe de prosperer dans des conditions juste et equitable c'est lui rende justice c'est caresser l'ordre naturel de la nature et du cout rendre justice a la societe

"seules les femmes emancipees donnent de hommes libres"
cequi veut dire qu'une femme prosperant dans un milieux juste et saint est comme tremplain vers un avenir juste et saints

Abel Chater
| 04-12-2015 10:40
J'ouvre souvent les pages des facultés tunisiennes et je constate toujours, que la réussite des filles arrive jusqu'au double des garçons.
Je parle avec les hommes tunisiens et ils me convainquent suivant leur nouvelle mentalité, que leurs femmes doivent travailler pour qu'ils arrivent à "survivre".
Je roule en voiture et je constate que la circulation à Tunis est à majorité féminine.
Je jette un coup d'oeil dans des écoles primaires et des lycées, il m'arrive de ne trouver aucun seul homme instituteur ou professeur de secondaire.
Je jette un coup d'oeil dans les tribunaux tunisiens, les Juges femmes et les avocates remplissent les lieux et sont souvent plus présentes, plus clémentes et plus compréhensives que leurs homologues masculins.
Je vais dans de grandes institutions étatiques et dans les ministères, je trouve plein de femmes "directeurs", qui font réjouir l'oeil et le coeur.
Les cabinets médicaux, les cliniques et les hôpitaux pullulent de femmes.
Je visite des usines, je les trouve presque en leur totalité activées par des femmes.
Au foyer, les femmes cuisinent, nettoient, s'occupent des enfants et en plus, elles servent et nourrissent leurs chômeurs.
De l'autre côté, je vais dans les cafés, je les trouve pleins d'hommes sans femmes, qui se réveillent à midi pour boire leur café avant de faire leur sieste de l'après-midi, une fois le ventre rempli par le couscous.
Je vais dans les stades de football, je ne trouve que des hommes et une poignée de femmes, lorsque l'entrée pour elles est gratuite.
A l'intérieur des agglomérations, seuls les hommes se tiennent des heures durant, dans chaque croisement du quartier, poursuivant passants et voitures par leurs regards plus attentifs que les policiers de la circulation. Ils ne se gênent même pas de s'illustrer comme étant les vauriens du quartier.
Donc, les femmes travaillent, engendrent les enfants et construisent le pays, puis nous viennent les fainéants et les vauriens nous dire, qu'en Islam (Al-Rijalou qawamouna âala al-Nissâa) «les hommes supportent toutes les charges de la femme», alors qu'en vérité, ce sont les femmes qui supportent les charges de leurs maris.
Il est temps de ratifier une «main levée» équitable au profit des femmes, afin qu'elles puissent réaliser leurs projets familiaux, même pour leurs enfants qu'elles nourrissent et qu'elles font grandir sans le moindre coup de pouce de leurs maris, souvent chômeurs, buveurs ou avares.
Honni soit qui mal y pense.

Gg
| 04-12-2015 09:21
En France, l'autorisation du mari, qui autorise une femme à travailler et à percevoir son salaire, est tombée en 1960.