
« Avec notre âme et notre sang, on se sacrifiera pour toi Ôh UGTT », « Vive l’UGTT sur la même voie de Hached » ont scandé les congressistes, au démarrage des travaux du congrès exceptionnel non-électif de l'Union générale tunisienne du travail (UGTT) ce jeudi 8 juillet 2021.
Rappelons que la tenue de cet événement a suscité une large polémique vu la situation sanitaire du pays et l’instauration d’un confinement sanitaire général à Sousse, lieu du congrès, et de mesures sanitaires strictes au Grand Tunis interdisant toute entrée ou sortie de la région.
A l’ouverture du congrès, le secrétaire général de la centrale syndicale, Noureddine Taboubi, a répondu à ses détracteurs précisant que toutes les mesures sanitaires nécessaires ont été prises avant la tenue du congrès, en affirmant que la seule solution pour une sortie de crise est le vaccin.
« Qui est responsable de cette situation sanitaire ? La seule solution pour protéger les citoyens est le vaccin, tout le reste est des paroles en l’air ! », a-t-il affirmé en soulignant la nécessité de s'accrocher à l'esprit de patriotisme. « Nous avons besoin d'une dose de patriotisme », a-t-il soutenu, en exprimant sa crainte pour la sûreté des Tunisiens face à cette épidémie.
Par ailleurs, le syndicaliste a estimé que la tenue de ce congrès représente « un rendez-vous historique ». Et s’adressant à l’assistance, il a indiqué : « Je le dis à ceux qui ne connaissent pas l’histoire et la place de l’Union, vous avez raté le coche ». Et de rappeler la place de l’organisation syndicale : « L’UGTT est une force constructive, une force d’esprit, une force nationale, une force d'argumentation et une force de persuasion ».
Plus de 500 personnes ont pris part au démarrage des travaux du congrès de l’UGTT. Il s’agit d’un congrès exceptionnel non-électif qui examinera la question de l’amendement du statut de l'UGTT, la restructuration de sa direction ainsi que le rôle qui sera joué par la centrale syndicale en cette période de crise outre la question de son initiative pour la résolution de la crise politique, qui demeure une lettre morte.
I.N


Et ils savent ce qu'ils ont commis comme délits et de banditisme.
Autrement comment un tel organisme peut-il avoir des détracteurs ? C'est paradoxal.
Mais la vérité et la connivence seront découvertes tôt ou tard.
Va au diable, petit nazillon sans envergure.