
La députée du bloc démocrate Samia Abbou a eu une intervention incendiaire, ce mardi 26 janvier 2021, lors de la plénière de vote de confiance aux nouveaux ministres proposés par Hichem Mechichi. Dans son intervention, elle a rappelé à Hichem Mechichi « le mérite de Kaïs Saïed dans sa nomination" et que le fait que " le président de la République lui avait offert une opportunité dont il ne pouvait même pas rêver ».
Samia Abbou a indiqué que le remaniement ministériel est défaillant sur le plan éthique, mais aussi sur la forme et le fond. « Sur le plan éthique, vous auriez dû consulter le président de la République qui vous a désigné. Sur la forme, vous n’avez pas respecté l’article 92, et les délibérations en conseil des ministres auraient dû avoir lieu avant même de vous adresser au Parlement ».
Revenant sur le fond, Samia Abbou a indiqué que le critère de la compétence n’a pas été respecté. « On se demande les raisons de l’ejection du ministre de la Jeunesse et des Sports. D’autre part, vous avez limogé le ministre de l’Environnement pour suspicion de corruption dans l’affaire des déchets italiens et vous avez désigné le directeur général de la Douane, impliqué lui aussi dans ce dossier, en tant que ministre de la Justice.Ce département de la Justice est la source de tous les maux dans ce pays, puisque sans justice indépendante, aucun dossier ne peut être traité. D’ailleurs, j’espère que le nouveau ministre de la Justice va trancher sur l’affaire du premier président de la Cour de cassation, Taïeb Rached, qui est son ami ».
Samia Abbou a assuré qu’aujourd’hui, le président de la République est le seul garant de la Constitution en l’absence de la Cour constitutionnelle.« Vous vous sentez soutenu par des forces politiques et ce remaniement était déjà programmé depuis un moment. Vous ne possédez plus la confiance du peuple et la présence de tout le dispositif sécuritaire en témoigne ».
S.H

Hafedh Caïd Essebsi, le répète encore débilement et s'étonne autour de ses propres pets, que ceux qui avaient travaillé chez son défunt père Béji, comme Youssef Chahed, ne se sont pas transformés en les fidèles domestiques de la famille Essebsi, à l'image de ce qu'ils ont fait de l'ancien ministre de la Défense, Abdelkerim Zbidi.
Je dirais aux clous rouillés de la dictature et du despotisme, que les temps ont changé et que l'ancienne mentalité esclavagiste, dont avait souffert le peuple tunisien durant les 55 années macabres sous les deux défunts dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali, ne sont et ne seront jamais plus valables dans notre deuxième République tunisienne.
Va vivre en Egypte sous la dictature de leur Maréchal Bokassa, le Saffah de Rabiaa Sissi. En Tunisie, cette mentalité criminelle de «Saâdet El-Bacha», ne sera jamais plus possible avec nos nouvelles générations.
La Grâce n'appartient désormais qu'à Dieu notre Créateur, Allah le Tout Puissant et à lui-seul nous revenons.
Et pas rarement Mr. Ba9chich !
Samia Abbou pense pouvoir réussir quoi que ce soit avec ses "yahya Boutbila". Elle doit prendre leçon de l'applatissement de Toubel le Tabbel, devant le défunt président Beji Caïd Essebsi. Il a réussi à faire applaudir ses Azlèms, à la simple prononciation du nom Beji Caïd Essebsi, comme l'était de pratiques avec les deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali.
Nous lui disons où est Toubel, où sont les lèche-bottes des Caïd Essebsi à Nida Tounes et où elle sera avec cette malhonnêteté politique des années cinquante!!!
Je reprends la déclaration de Mohsen Marzouk, oui ce nouveau gouvernement et ces instances sont à vomir, la république doit faire son deuil sur cette soit disant révolution.
Pour sortir de cette turpitude de distributions de chaises et je t'arrange et tu m'arranges, la seule solution qui reste pour retrouver un semblant de répits, il faut dissoudre l'assemblée, y compris le chef du gouvernement et mettre une pause durant six mois ou plus, sous la tutelle du Président de la république pour mener les affaires courantes de l'état.
Aujourd'hui la situation du pays est devenues ingouvernable et insalubre.
Ce chef du gouvernement fraichement nommé, ne pense qu'a son devenir et rien d'autre.
Le covid est entrain de faire un ravage dans le pays, où plus de six milles morts déjà comptabilisés, sans connaitre la fin, ni comment ce peuple tout entier allé être vaccinés à ce jour. Ce n'est point le soucis de personne, la distribution des postes ministériels est plus importante que la vie des citoyens.
Attention, car bien mal acquis ne profite jamais, attention à la suite.....
C'est pour cela que la Tunisie avait connu une meilleure réussite lors des années soixante et soixante-dix.
Toutefois il faut noter tant la mauvaise foi ou l'incompétence des désignés que la connivence et la compassion, ont nettement affecté les organismes de l'état tunisien depuis dix ans.
La Tunisie mérite mieux que ces frustrés
C'est incroyable comment le régionalisme à pu atteindre un tel paroxysme en Tunisie pour que les sudistes transforme lesprit commercial (leur activité essentielle censé leur servir pour survivre (à Tunis et sfax), devient un moyen dabnvoir un butin et le butin devient dans leur esprit, les finances de l'état tunisien.
N'est-ce une arnaque et une traîtrise de mécréants qui nont pas peur de Dieu ni respecter le tampon (tatoué )sur le front pour servir à duper les gens comme le cadre des feus parents accrochés aux murs du commerce.

