
« L'homme décédé lors de l'incendie est un martyr, victime de la marginalisation ! ». C’est ce qu’avait déclaré Rached Ghannouchi au sujet de l’homme qui s’était immolé par le feu le 9 décembre 2021 aux locaux du mouvement Ennahdha à Montplaisir.
Le président d’Ennahdha s’était rendu au siège du parti après l’incident. Il avait ajouté que le jeune était victime des campagnes ciblant les militants du parti.
Cette déclaration a suscité l’indignation et la colère de plusieurs personnalités politiques et citoyennes tunisiens. Ils ont dénoncé la tentative de Rached Ghannouchi d’exploiter politiquement ce triste événement.
Le leader du parti Attayar, Hichem Ajbouni a considéré que Rached Ghannouchi était prêt à tout. Il l’a qualifié de cheikh de la destruction.
Walid Jalled, quant à lui, a estimé que Rached Ghannouchi n’avait pas compris les leçons du passé. Il exploite tout afin de préserver son poste.
Mustapha Ben Ahmed a violemment réagi à la déclaration. Il a affirmé que Rached Ghannouchi usait de manœuvres pour exploiter l’incendie et la mort de l’homme.
L’ancien ministre, Mahmoud Baroudi a déclaré, le 10 décembre 2021 aux ondes de la radio Diwan FM, : « Il n’y a pas plus bas que Rached Ghannouchi ».
S.G
Les causes differes, mais la mort est unique !
Tué à la manière de khashookgi.
On voit dans la vidéo les journalistes qui imposent incessamment, une déclaration de presse à Rached Ghannouchi, dont il n'avait pas préparée. L'homme n'a fait que parler par un discours politiquement bien équilibré, pour apaiser les esprits des Tunisiens. J'ai regardé la vidéo à maintes reprises. Rien de mal ou de mauvaises intentions, ne sont à remarquer dans son discours improvisé. Malgré tout, au lieu de le condoléancer pour ce sinistre grave, qui pourrait frapper n'importe qui et n'importe où, il y a encore ces mêmes figures de la haine et du satanisme, qui trouvent encore un brin de conscience, pour décortiquer les mots de Rached Ghannouchi, suivant leurs esprits malades sans foi ni loi.
Beaucoup pensent que j'appartiens au parti d'Ennahdha ou au parti d'Al-Karama, sans pour autant qu'ils n'arrivent à réaliser, que je ne suis que l'un des millions de Tunisiens de conscience, qui ne faisons que combattre le mensonge, le sabotage, l'intrigue et la haine talmudique de ces sataniques, qui se réjouissent même de cette catastrophe, ayant trouvé lieu au siège d'Ennahdha. Les Tunisiens ont frôlé la catastrophe en vies humaines. Une catastrophe qui pourrait nous détruire notre transition démocratique, si les Tunisiens n'étaient pas à la hauteur, comme l'a fait le président Kaïs Saïed, par son discours de réconciliation tard la nuit, pour couper l'herbe sous les pieds de ces bestiaux, qui ne pensent qu'à leurs propres intérêts et profits personnels.
Allah yèhlik ass-hab el-charr.
Il s'agirait d'un militant qui aura mis fin à ses jours de façon spectaculaire, face aux militants Nahdhaoui et dans leurs locaux.
Ghannouchi, comme ses adeptes voudrait en faire un martyr. Soit ! Mais alors, martyr des promesses trompeuses et ruineuses de ce parti.
Goumani en rajoute quand il parle d'un homme qui aura été victime de la dictature et n'ayant reçu aucune compensation.
Cet homme aura été victime des siens, des marchands d'illusions qui se sont enrichis aux dépens du pays, où liant et délaissant les "fantassins" ou les petites mains sacrifiées aux projets funestes de "leaders" incapables et faussaires.
On savait Ghannouchi et sa secte menteurs, désormais ils se révèlent fossoyeurs.
Il aurait même demandé à rencontrer le président d'Ennahdha afin de retrouver son poste mais, tu parles ! Le Ghannouchi est trop occupé par son souci de préserver ses privilèges pour daigner s'occuper des miséreux qui frappe à sa porte.
Que dieu le béni... mais vous partez dégagez vous faites du mal au peuple.