
Le professeur de droit public, chercheur en droit constitutionnel et proche du chef de l’Etat, Rabeh Khraifi, a souligné la nécessité de dissoudre l'Association des magistrats tunisiens (AMT) et le syndicat des magistrats tunisiens (SMT).
Dans un post Facebook daté de mardi 7 juin 2022, M. Khraifi a estimé que la publication d’un décret présidentiel qui dissout ses deux entités représente une partie des réformes visant la justice : « Une réforme structurelle qui restaure aux magistrats et à la justice son honneur, son pouvoir et son ascendant ».
Et d’ajouter : « La justice est un pouvoir indépendant de tous les autres pouvoirs et n’a pas besoin ni de syndicat, ni d’association. En outre, les décisions de ces deux entités sont nulles, en se référant à la loi.
Le pouvoir judiciaire est une autorité, et l'autorité ne peut pas se mettre en grève et perturber le travail et les services ».
I.N
Ils s'agitent des élèves de notre cher Président...'?'?
Pour le sujet en-soi:
J'ai toujours apprécié le courage, la précision et la clarté des propos du Prof. Rabeh Khraifi.
La Tunisie a besoin d'Hommes de conviction, à l'image de Khreifi, qui ont les compétences nécessaires pour se prononcer avec fermeté, sur des sujets déterminants pour le pays.
L'heure n'est plus pour ceux qui tiennent le bâton par le milieu. L'heure est à la décision juste, suivie d'action radicale.
Ceux qui veulent continuer à amuser la galerie ne feront, ni arrêter, ni avancer la Tunisie. Leur silence, leur abstention et leur absence sont plus rentables pour le pays.
Alors il y a des Mesures disciplinaires, suspension et destitution indiquées dans une convention onusienne dont l'article 17
Je cite:
Toute accusation ou plainte portée contre un juge dans l'exercice de ses fonctions judiciaires et professionnelles doit être entendue rapidement et équitablement selon la procédure appropriée.
Il faut définir cette procédure et la rendre publique pour les justiciables.
Marre de la direction générale au ministère des la justice.