
Le corps d’une femme, les mains posées pour rappeler la forme d’un utérus et le logo du palais de la justice en guise de tête. La campagne a été lancée ce lundi 6 juin 2022 sur les réseaux sociaux pour dénoncer l’atteinte à la dignité des femmes magistrates.
L’affaire d'une magistrate révoquée par Kaïs Saïed a été au centre de l’attention le week-end dernier. La magistrate accusée d’adultère, a révélé avoir fait l’objet de campagnes de harcèlement orchestrées par la Première dame, Ichraf Chebil. Elle a expliqué que cette dernière avait chargé sa sœur, Atika Chebil, de représenter des créanciers et d’intervenir afin de leur procurer des avantages afin d’en faire des actionnaires dans une entreprise faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Éclatant en sanglots, elle a affirmé que sa révocation résultait de son refus d’accéder à la requête de la sœur de la Première dame.
La magistrate a assuré que l’affaire était montée de toutes pièces depuis 2020. Elle a indiqué qu’elle était fiancée au commandant de la Garde nationale qui était, lui, divorcé. Son épouse, influente, avait mal pris leur séparation. Elle aurait, donc, décidé de se venger en essayant de leur coller un procès d’adultère.
Les soutiens du président de la République n’ont pas hésité à partager sur la toile des documents relatifs à la présumée affaire d’adultère impliquant la juge, tout en les accompagnant d’un rapport médical attestant qu’elle n’était pas vierge.
De nombreuses organisations nationales ont dénoncé l’atteinte à la dignité de plusieurs juges, notamment deux magistrates, et exigeant des excuses officielles du président de la République, Kaïs Saïed.
Exprimant leur solidarité avec les deux juges révoquées et cible d’une vague d’insultes, de diffamation et d’incitation sur les réseaux sociaux, les organisations signataires ont condamné le discours de stigmatisation adopté au plus haut sommet de l’Etat.
Elles ont, également, condamné toutes les formes de violences faites aux femmes et ont signalé leur ferme opposition à toute forme d’implication de la vie privée et des données personnelles des femmes dans les querelles politiques.
M.B.Z
Des salauds et des salaupes.
Pour l'ugtt C est une autre affaire c'est beaucoup plus.
C'est un Etat cormpu fassed (depuis bien longtemps )
dans l'Etat.
Il faut extraite cette tumeur du corps de l'ugtt et de celle de l Etat
Cette histoire tout à fait ordinaire d'un divorce d'une maîtresse, d'un amant de fiançailles de virginité d'une femme trompée !!!
Une chakchouka invraisemblable !!!
Mais .... cette chakchouka a été récupéré par la présidence, pour soumettre une juge dans l'exercice de sa fonction !!!!
Et les fachos trouvent ça tout à fait normal !!!
On rêve là !!!
A la tête de l'état, y'a des gens qui font les poubelles !!!
Au lieu de ramasser les ordures , ils les fouillent pour faire chanter les gens !!!
On rêve là , on rêve !!
Votre kheira a été licencié pour ses manipulations de la justice pour débouter la plaignante de sa requête car cette kharya est une juge et la justice tunisienne agit à la tête du client .
Et c'est mon post.
Je ne retire pas une virgule à mon premier post !!!
Pour votre information, je n'écoute jamais les ragots !!!
C'est mon éducation et mes valeurs musulmanes !!!
Mes valeurs m'interdisent d'accuser sans avoir vu de mes yeux !!!
Et je n'irais jamais jamais jamais, farfouiller dans l'intimité des gens !!!
'?a aussi c'est formellement INTERDIT dans l'islam !!!
'?a n'est pas la dignité de cette femme juge ,qu'il faut défendre .
C'est la dignité des femmes et des hommes dignes qu'il faut défendre !!!
Je ne me laisserais jamais jamais jamais laisser entraîner ,dans la FANGE des fachos !!!!
Vous aviez commencez avec l'affaire du sheratongate, et j'avais trouvé ça ABJECT !!!
Bonne prochaine trouvailles dans vos ordures !!!
Cette offense au statut symbolique de la Femme Tunisienne marque un réel tournant : celle de l'aboutissement de sa clochardisation, déchéance a laquelle nombre de femmes de tout statut et de tout niveau éducationnel se plient volontiers
Place désormais a la racaille place aux clones de la coiffeuse aux bédouines répugnantes et criminelles
Place a la clochardisation l'avilissement de l'Etat par des délinquantes de droit commun
Ooorben masskha a tous les etages.
En particulier dans les logements particuliers de la présidence devenue oukala
Toutes ces delinquantesPersonne n'est capable de s'assumer en tant que bouzguelif aafin n'est ce pas ?
Arrêtez de déformer la vérité pour des malhonnêtes et pour cacher la vérité pour soit disons mettre saied en difficulté pour le grand bien des criminels islamistes qui ont peur de rendre des comptes et passe des nuits blanches depuis des mois .


