
Le 29 janvier 2025, une université tunisienne a décerné un master en « sciences islamiques » à un étudiant ayant soutenu un mémoire intitulé « Les règles jurisprudentielles régissant le mariage islamique » ("القواعد الفقهية المعبرة لأحكام النكاح".).
L'une des stars de ce triste événement n'est autre que le très controversé ancien ministre des Affaires religieuses, Brahim Chaïbi. Ce dernier était le président du jury ayant salué "cet exploit" académique et l'ayant récompensé d'une mention "très bien". Brahim Chaïbi avait été nommé par Kaïs Saïed à la tête du ministère des Affaires religieuses le 11 octobre 2021. Il sera associé à plusieurs fiascos tels que celui du détournement d'un véhicule de l'entrepôt de la douane, des mauvaises conditions de pèlerinage en 2024 ou encore des multiples plaintes sur fond du décret n°54 visant principalement des journalistes. Il a été limogé le 21 juin 2024.
Sentant le grand danger d’une telle soutenance, l’Observatoire national pour la défense de la civilité de l’État a exprimé son indignation et a rappelé que le mariage en Tunisie est régi, depuis près de soixante-dix ans, par un cadre juridique civil et progressiste inscrit dans le Code du statut personnel.
Dans un communiqué publié vendredi 31 janvier 2025 signé par son président Mounir Charfi, l’Observatoire a vivement dénoncé l’intrusion de la religion dans des domaines qui ne la concernent pas, tels que la politique et les sciences. Il souligne que l’expérience, en Tunisie comme ailleurs, a prouvé les lourdes conséquences de cette confusion, tant pour la religion que pour la science et la gouvernance.
L’organisation déplore également la dérive de certaines institutions universitaires, qui s’éloignent des principes scientifiques fondamentaux après des décennies d’efforts déployés par les nationalistes progressistes pour instaurer une culture du savoir critique, de l’émancipation intellectuelle et des valeurs humanistes.
L’Observatoire appelle ainsi à mettre un terme à ce type de « recherches », financées par des fonds publics, alors qu’elles ne servent ni la science, ni la religion, ni l’intérêt national. Il réclame une réforme globale du système éducatif à tous les niveaux, afin de recentrer les établissements d’enseignement sur leur mission première : fournir aux étudiants un cadre éclairé qui les guide vers le progrès, la modernité et l’ouverture sur le monde.
M.B.

C la bonne date
Toute la moitié du cerveau (les neurones) fonctionne du matin au soir uniquement pour le Coran, la Shari3a et Sidi Mi7ris ... sans y comprendre grand-chose.
Un quart du cerveau se masturbe uniquement dans le domaine du football (Espérance, Etoile, Club africain..).
Un quart eu cerveau bouillonnent partout où ils vont, UNIQUEMENT dans le domaine du sexe (par exemple, quelqu'un en a-t-il fait l'expérience même chez un directeur de banque qui ne flirte pas avec sa femme de ménage à la banque ?)
Pour les vieillards comme moi, nous savons même que Sayed Lassyed a parlé publiquement de son monotesticule.
Les arabes arrangent tout à leur façon an abu huraira an abu machin an abu zomara, 3n, 3n, 3n ..... .. leurs problèmes c'est tous ces rapporteurs....
Il ya qu'une référence en Islam c'est le Coran, point final.
C'est parce qu'on se laisse faire par l'obscurantisme malheureusement
Déjà le mot, ce terme "Nikah" pour une femme c'est horrible c'est moche, c'est nauséabonds.
Pour les ânesse ça ira mieux
d extremistes tunisiens, qui veulent sur ordre de l Occident deislamiser le peuple tunisien, et censurer toute recherche academique sur les sciences arabo-musulmanes!
La saleté atteint des sommets dans les pays musulmans jamais il n' y'a des prêches quotidien pour pousser les gens à être propre et de préserver la propreté de leur villes et leur pays ,la propreté c'est la base d'une vie seine .
La traduction du titre n'est pas assez précise. Normalement " les règles doctrinales et pas jurisprudentilles ( '?'? '?'?').
De toute les façons, il est très important de savoir comment l'islam a régie l'institution du mariage.
Le mot "science", très galvaudé, est souvent utilisé pour donner un vernis de raison à des concepts qui en sont dépourvus...
(J.O.T n° 104 du 28 Décembre 1956)
Louanges à Dieu !
Nous, Mohamed Lamine Pacha Bey, Possesseur du
Royaume de Tunisie;
Vu le décret en date du 5 mai 1876 (30 rabia II 1293) sur le fonctionnement du Charaâ de Tunis et des Charaâs et Tribunaux de cadis de l'intérieur,
Vu Notre décret du 21 septembre 1955 (30 safar 1375), relatif à l'organisation provisoire des pouvoirs publics, tel qu'il a été modifié par Notre décret du 3 août 1956 (25 doulhidja
1375),
Vu Notre décret du 12 juillet 1956 (30 doulhidja 1375), fixant le statut personnel des Tunisiens non musulmans et non israélites,
Vu Notre décret du 3 août 1956 (25 doulhidja 1375), portant modification de certains articles du Code tunisien de procédure civile,
Vu l'avis du conseil des Ministres,
Sur la proposition de Notre Premier Ministre...
Ni bhim ni français... Il faut juste lire tout le fameux code... avec une bonne matière grise car le tete parle bien de Charaâ.
Un mauvais Anti-Bhama.