
En ce 3 mai, journée internationale de la liberté de la presse et à un moment où le classement RSF de la Tunisie en matière de respect des libertés de la presse régresse de la 72e place en 2020 à la 121e place en 2023, un hommage doit être rendu à ce trio de l’émission Midi Show sur Mosaïque FM.
Zyed Krichen et Haythem El Mekki entourant Elyes Gharbi, et habituellement accompagnés de Gihene Silini, font partie des quelques dizaines de journalistes qui continuent encore à respecter leur auditoire.
Contrairement à la majorité des journalistes, spécialement ceux des médias publics, ce trio ne s’est pas laissé intimider par le régime de Kaïs Saïed et son décret 54 liberticide, ni même par l’arrestation depuis près de trois mois, de leur directeur Noureddine Boutar (au fond sur l’image).
Leur liberté de ton, leur défense des droits et des libertés, leur respect religieux de la déontologie ont fait que leur émission demeure la plus suivie du paysage audiovisuel tunisien avec plus d’un million d’auditeurs, cinq jours par semaine.
Ils ne cherchent ni reconnaissance, ni gratification, ils cherchent juste à transmettre une information juste et une analyse pertinente. Ils le font avec brio et c’est exactement ce que l’on demande aux journalistes.
À tous les confrères, notamment du privé, bonne fête de la presse.
R.B.H
'?coutez, si vous avez du temps à perdre et vous allez vous en convaincre.
" leur liberté ..... de la déontologie " : cette phrase prouve qu'il n'y a pas eu de changement de la ligne éditoriale de la radio
donc l'alibi de la détention de "Boutar" a pour cause la ligne éditoriale de la radio est totalement Faux !
comme par hasard aujourd'hui, Mr "Boutar" est un journaliste, et non plus associe dans le capital de la radio
si je voulais être de mauvaise langue, j'indiquerai que RSF été crée entre autre par un partisan ou sympathisant du FN (en France); c'est tout dire de la déontologie de cette organisation !
comme je ne suis pas "journaliste", je ne fais pas l'amalgame !
Dommage Ya Nizar Bahloul
Mahmoud
A partir du moment où une de ces ONG prend la défense d'un politicien ou d'un corps de métier X ou Y ou autre forme de "merguezeries", je mets systématiquement en doute les faits rapportés par ces derniers.
Nous savons tous qui financent ces semeurs de conflits, de zizanies et parfois, même de guerres !!.
Quant à ce Zièd Krichèn, il est de ces "Klugscheisser" qui parlent beaucoup, pour ne jamais rien dire de concret. "tètètètètè", pour te décortiquer une orange déjà pourrie par ses propres idées, que tu ne pourras ni consommer, ni même trouver la poubelle où la jeter. Le défunt Abdelaziz Laroui, l'a dépassé de plusieurs siècles dans l'art de l'information.
Que reste-t-il en dehors de ce jeune journaliste des rues et des cafés populaires, Haythem El Mekki, qui attire l'attention par son "franc-parler" autour de vérités vécues par l'ensemble de la population tunisienne!!!
Allah yostir Tounes.