
Le conseil régional de l’Ordre des avocats de Tunis, a souligné, dans un communiqué publié ce lundi 10 octobre 2022, que le contenu des travaux, plaidoiries et rapports réalisés par les avocats, dans l’exercice de leur profession, ne peuvent en aucun cas conduire à des poursuites pénales à leur encontre.
Réagissant à l’affaire des avocats Hayet Jazzar et Ayoub Ghedamssi, qui ont été traduits devant le juge d’instruction, accusés « d’outrage à fonctionnaire », alors qu’ils exerçaient leur métier d’avocat et plaidaient devant le juge cantonal de Carthage, le conseil a estimé qu’il s’agit d’un tournant « grave » et « illégal ».
Le conseil a également précisé que les deux avocats seront entendus le 12 octobre et leur a exprimé son inconditionnel soutien.
M.B.Z

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Pour autant, cela n'autorise pas le syndicaliste à porter atteinte à l'honneur d'autrui, ni de porter préjudice à une personne ou une profession en proférant des paroles attentatoires.
Liberté équivaut respect de l'autre et des convenances. Surtout pas, un moyen de salir, d' attaquer, de régler des comptes sous l'excuse d'être en mission ou dans son cadre professionnel.
On peut facilement considérer les poursuites dots l'angle de l'atteinte aux droits et libertés.
Sous conditions d'une lecture rigoriste et partisane et en dépit du manque de respect des droits d'autrui.
Quand on veut exercer librement, on se garde de tyrzr profit profit de cette liberté pour attenter à la liberté d' autrui, à ses droits, à son honneur.


