
La présidente du parti « La troisième République », Olfa Hamdi a indiqué que le président de la République, Kaïs Saïed pourrait se retrouver dans la même situation que celle de l’ancien Premier ministre britannique, Winston Churchill à la suite de la Seconde Guerre mondiale.
Dans une publication du 31 mars 2024, Olfa Hamdi a indiqué qu’à la suite de la Seconde Guerre mondiale, Winston Churchill s’était présenté en tant que candidat aux élections générales britanniques de 1945, mais qu’il les avait perdues. Elle a expliqué que ce dernier s’était porté candidat en étant certain de son élection en raison de sa victoire lors de cette guerre. Elle a estimé que Kaïs Saïed pourrait vivre la même expérience et subir le même sort.
Olfa Hamdi est revenue sur un passage médiatique d'Ahmed Chaftar, membre de la campagne explicative du chef de l’État, Kaïs Saïed. Ce dernier avait assuré que des centaines de milliers d’électeurs soutenaient le président de la République. Olfa Hamdi a conclu que cette déclaration traduisait l’incapacité de Kaïs Saïed de remporter l’élection présidentielle, prévue d’ici la fin de l’année 2024, dès le premier tour en raison du faible nombre d'individus le soutenant.
« Chaftar affirmé que Kaïs Saïed ne peut même pas remporter le premier tour en cas de candidature… Il a déclaré que des centaines de milliers soutenaient encore Kaïs Saïed, ce qui signifie qu’il ne rassemblait pas ce qui suffisait à remporter le premier tour, nécessitant au moins deux millions de voix afin de passer au second tour… L’un des membres de la campagne explicative en a témoigné… Je ne souhaite pas voir Kaïs Saïed candidater. Kaïs Saïed, va-t-il entrer dans l'histoire en grande pompe ou sortir par la petite porte ? », a-t-elle écrit.
Pour rappel, une élection présidentielle devrait avoir lieu d’ici la fin de l’année 2024. La date n’a toujours pas été officialisée. De plus, le président de la République, Kaïs Saïed n’a pas annoncé sa candidature.
S.G
Vous avez le profil idéal.
no comment.
pas étonnat qu'il soit pas réélu ...
Car il suffit de revoir en couleur le parcours de la décennie précédente pour comprendre ce qui les a mené à ce triste état de disette intellectuelle et matérielle.
Hélas, le Tunisien a la mémoire courte comme ne jamais se rappeler qu'au début des années 1990, ce fut le génie de notre Patron et frère Ben Ali qui leur évita une guerre civile sanglante au même moment ou le GIA se préparait à occuper la ville d'Alger. Peur sur la ville comme le célèbre film d'Henri Verneuil.
Des souvenirs loufoques flottent en mon esprit. Ou commencer ?
Oui, Il y avait bien Ibrahim Gassas homme préhistorique en turban menaçant du poing tout gueux de l'assemblée du peuple qui remettrait en question l'Islam. Ou encore Meherzia à califourchon sur sa moto derrière son mari afin de refléter une image moderne de l'Islam. Et Mabrouka Popom, le virtuose des beurres aux parents ayant vécu sur le SMIG depuis leur arrivée en France. Cette brune rachitique pour laquelle la vision de Tunisiens conduisant des voitures de luxe et dansant dans les boites de nuit de Hammamet au temps de Ben Ali était devenue insupportable.
J'oublie Moncef Marzouki en burnous prêtant serment en compagnie d'islamistes véreux dont le chef infame Rached qui se paya un accueil triomphal à l'aéroport de Carthage digne de celui du Prophète Mohamed.
« On peut fonder des empires glorieux sur le crime, et de nobles religions sur l'imposture. » disait Baudelaire.
Le clou du spectacle fut sans aucun doute Béji Caïd Essebsi l'ancien beldi-clown de Wassila Bourguiba qui non seulement fricotta avec les islamistes Tunisiens et l'OTAN afin de vendre Kadhafi, mais eut l'audace de se déguiser en Bourguiba a Ksar Hallal pour un discours qui n'avait ni queue ni tête.
Sans doute la devise de ce traitre suprême était-t-elle de toujours tenter de faire d'une pierre deux coups dans la vie. En effet, non content d'avoir autorisé l'entrée d'armes de l'OTAN pour les rebelles de Nefoussa par le port de Zarzis afin que DAECH prenne Syrte et y impose la Charia, il en profita pour charger son fils de moultes transactions corruptives et véreuses. Les escrocs et les imposteurs ne perdent jamais le Nord.
BCE aurait du non pas écrire comme mémoires « Le bon grain de l'Ivraie » mais « J'ai détruit la Tunisie et la Libye et je me farcie des funérailles nationales qui étaient le du de Ben Ali et de Kadhafi »
De quoi s'arracher les poils du bas ventre un a un.
« Je préfère un futur imprévisible à un futur imposteur.'?' Ecrivit un jour Maurice Schumann le célèbre ministre de George Pompidou.
Car imposture la révolution Tunisienne l'est.
Une horde de gueux se précipita à Stockholm pour un prix Nobel sioniste exonérant les islamistes Tunisiens et y chanta les pénuries de pain du temps de Ben Ali.
Les temps qui ont suivi la révolution Tunisienne étaient d'ailleurs surréalistes.
Comme cette gueuse en hijab Tunisienne parlant aux médias Européennes et y déclarant haut et fort que la Tunisie avait besoin d'un système politique de type Suédois.
Pas folle la guêpe en Hijab.
JOHN WAYNE
Sinon olfa devrait travailler au lieu de dire des stupidites . KS est loin de churchill , il est meme loin de ben ali , c est pour dire.
Il a fait une chose de bien c est la securit2 dans le pays