
La vice-présidente de la Ligue tunisienne pour la défense des droits de l’homme (LTDH), Najet Zammouri, a indiqué que des individus avaient tenté d’imposer leur présence lors d’une réunion du conseil national de l’organisation.
Dans une publication Facebook datée du 16 mai 2025, Najet Zammouri a affirmé que ces personnes avaient forcé l’accès à la réunion, en violation directe des dispositions du règlement intérieur de la LTDH, qui limite la participation à ce type d’événement aux membres du bureau exécutif ainsi qu’aux présidents de section ou à leurs représentants.
« Ce genre de comportement inacceptable et condamnable nous rappelle les pratiques autoritaires du passé, que nous pensions révolues, que nous avons rejetées et que nous continuons à rejeter. Ce qui s’est produit n’est pas seulement une infraction au règlement intérieur, mais également une tentative de porter atteinte à l’indépendance de la Ligue et de nuire à son parcours militant », a-t-elle écrit.
Najet Zammouri a soutenu que ces intrusions dans les locaux de la LTDH étaient motivées par des objectifs politiques sans aucun lien avec les principes des droits humains ni avec les traditions d’un militantisme sincère auquel la Ligue est attachée depuis sa création. Elle a précisé que ces pratiques ne dissuaderaient pas les militants de la LTDH, et que l’organisation poursuivrait son engagement en faveur des droits et des libertés.
Selon nos informations, cette action aurait été menée par des frondeurs issus de la Ligue elle-même. Des tensions internes opposent en effet la direction à certaines sections, jugées proches du régime.
S.G
Comparez ce qui se passe en Egypte du Saffah Sissi, avec ce qui se passe chez nous en Tunisie et vous allez tout comprendre sans la moindre difficulté.
Allah yostir Tounes.
Qui nous dit que ce ne sont pas des mercenaires issus des divers fronts des traitres, experts en manigances et en coups fourrés, pullulant sous nos cieux post-2011.
Après ça s'étonne, ça fait des grèves de la faim et ça chiale comme des vierges effarouchées, quand ces derniers sont conviés à effectuer des séjours "all inclusive", aux frais de l'Etat.