Le pôle judiciaire antiterroriste a décidé, ce mercredi 21 septembre 2022, de relâcher l’ancien ministre des Affaires religieuses, Noureddine Khadmi, le dirigeant nahdhaoui, Habib Ellouz et le député Al Karama Mohamed Affes, tout en les interdisant de voyager.
Dans une déclaration médiatique, Mohamed Affes affirme que l’affaire a été reportée au 18 novembre 2022. Il ajoute que les enquêtes concernent 817 personnes dont l’ancien président de la République, Moncef Marzouki. « Ce dossier remonte aux années 2012, 2013. Il n’y a pas de faits et les questions sont à titre de renseignement. Cela concerne les prédicateurs ayant visité la Tunisie et les activités au sein des mosquées. Le dossier a été exploité médiatiquement afin de dénigrer certaines personnalités pour marquer des points politiques ».
S.H
Parce que, on les convoque, puis on les libère, on leur donne le temps de préparer les réponses aux questions, puis on les reconvoque et on les relibère, et ainsi de suite jusqu'à.... ce qu'un compromis soit trouvé...
Le tout est une histoire d'ordures.
B.N , qui ne rate rien, nous prépare sûrement un petit article à ce sujet, pour sensibiliser les citoyens contre la pollution.
Ils ont tt fait disparaître
Un peu comme celui de "Docteur" qu'on bradait au point que tout islamiste l'était.
Quand on est un fanatique, on perd la raison.
Affès interdit de voyager ?
Il convient de lui interdire de prêcher dans "sa mosquée".
Il faut être cohetent: un type qui préconise le Jihad ne peut exercer la charge d'imam.
C'est un danger pour les croyants.