
Suite à sa réunion ce mardi 11 février 2020 avec le chef d’Ennahdha, Rached Ghannouchi, le président de Qalb Tounes, Nabil Karoui a réitéré son appel à un gouvernement d’union nationale sans exclusion. Un appel partagé, également, par le parti islamiste.
Dans une déclaration accordée à Shems FM, M. Karoui a expliqué que Qalb Tounes ne cherchait pas à faire partie du gouvernement ou obtenir des portefeuilles ministériels. Cependant, il a relevé que le gouvernement aura besoin d’une large ceinture politique pour réussir.
« Ce qui me dérange c’est que lorsque les partis concernés par les concertations parlent de lutte contre la corruption. Que celui qui souhaite lutter contre la corruption rejoigne la justice pour qu’il puisse juger ! Nous avons un pouvoir judiciaire capable de cela et ce n’est pas aux partis politiques de lutter contre la corruption ! », précise Nabil Karoui.
Signalons que le président de l’Assemblée, Rached Ghannouchi s’est réuni successivement avec Nabil Karoui et le chef du gouvernement désigné, Elyes Fakhfakh dans son bureau au Parlement.
Les deux entrevues visent à « clarifier l’image autour de la composition du futur gouvernement et à rapprocher les points de vue entre les différentes parties prenantes », selon deux communiqués distincts émis aujourd'hui.
B.L

La séparation des pouvoir est un tout autre sujet. Ce n'est que de la poudre aux yeux pour brouiller les cartes. Cela me désole de voir qu'il y a des commentateurs qui sont tombés dans le piège.
Si ce monsieur dit des anneries pareilles, c'est parce qu'il traine des casseroles et il ferait n'importe quoi pour participer au gouvernement. Ainsi, avec la complicié d'Ennahdha, Il est sur de saboter le processus à un degré ou un autre de l'interieur. Au pire, il l'auront à l'usure le Fakhfakh, tout comme Chahed. En plus, Il savent que la participation d'Ennakba et Kleb Tounes au gouvernement excluerait, ou, du moins, amoindrirait l'influence de Abbou et companie qui font de la luttecontre la corruption leur lance de fer.
La femme va ouvrir la porte enveloppée dans une serviette.
Le voisin Ommar se tient devant la porte.
Ommar émerveillé lui dit: "Je te donnerai 800 dinars si tu enlèves la serviette."
La femme ôta la serviette et apparue nue pour Ommar.
Ommar lui donne les 800 dinars et part.
La femme remet la serviette et retourne aux toilettes.
"C' était qui?" - demande le mari. "Ommar", répond la femme.
"Bien", dit le mari, " a-t-il apporté les 800 dinars qu'il me devait ?
Morale de l'histoire: Partagez vos informations sur les prêts que vous avez reçus avec votre famille, sinon vous pourriez vous retrouver dans une situation inconfortable.
Le Sénat révèle l'immunité de Salvini (Mis à jour le 12 février 2020 à 15 h 49)
Le Sénat italien a décidé de lever l'immunité de l'ancien ministre de l'Intérieur Matteo Salvini.
Avec cela, le chef de la Lega de droite peut maintenant être jugé en raison de sa politique en matière de réfugiés.
Makarounist Klugscheisser !
Tu veux un gvt d'union avec ennahdha pour échapper à la justice car tu es à la merci du gourou.Ton parti l'a élu à la tête de l'ARP,vous n'avez donc aucune légitimité politique.
M.Karoui,si vous voulez lutter contre la pauvreté et la misère,investissez votre argent dans des projets pour les jeunes au lieu de distribuer des pâtes et les produits de récupération.
Ben non voyons, les partis politiques doivent se suffire d'en profiter, pour certains du moins !
Se tirer une balle dans le pied, est une des multiples spécialités de ce pôvre inhabile-bizertin. . . qui ne sait même pas parler !
Maxula.
L'article 16 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen du 26 août 1789 se réfère également à cette théorie en disposant que "Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution". La séparation des pouvoirs apparaît ainsi comme le corollaire indispensable de la protection des droits naturels de l'homme : le contrôle mutuel qu'exercent les trois pouvoirs les uns envers les autres préserve l'individu des atteintes à ses droits fondamentaux. Dans le même temps, la séparation des pouvoirs constitue un obstacle au despotisme et à la tentation du pouvoir personnel, puisqu'aucune personne ne peut concentrer entre ses mains la totalité des attributs de la souveraineté.
On apprend des choses en lisant les com des uns et des autres et ça me rassure sur mes prises de positions!
Au contraire, les régimes dictatoriaux recherchent une concentration des pouvoirs.
Ce que font les partis en évoquant ces sujets qui sont du sort de la justice c'est du populisme.
C'est exactement ce que dit Kais Said par rapport au 13 500 millions de dinars et les 460 hommes d'affaires qui doivent rendre ce montant au peuple.
Il s'agit tout simplement des emprunts qui ont été accordés par les banques.
Ces derniers ont pour vocation de prêter de l'argent contre des garanties pour faire des projets ou acquérir des biens ou pour une trésorerie...
Merci aux politiciens de se cultiver .
L'instruction est un diplôme après un cursus de trois à cinq ans .
La culture ce sont des dizaines d'années de labeur .
Tant que les comanditaires ne sont pas dévoilés et arrêtés, le pays tunisie n ne pourra jamais avancer dun iota, à lins que nahdha se decide à seloigner de la scene ompolitique quils ont anéanti ; comme ils ont anéanti l'économie par leur excès de zèle et leurs connivences pour des favoritismes qui furent la cause de la dégradation catastrophique de l'économie tunisienne et difficillement récupérable lors du prochain quinquennat d'autant plus que nahda insiste à s'impliquer au premier plan.
Bref, les partis doivent veiller scrupuleusement à la séparation des pouvoirs exécutif, législatif, et judiciaire.
Et, en Tunisie, religieux!
Les partis ou le gouvernement ne doivent jamais se mêler des problèmes juridiques.
L'indépendance de la justice est très importante dans une vraie démocratie.
Il faut taxer davantage les personnes qui ont des dividendes excessives, soulager l'entreprise ( moins de taxes ) et aider , intégrer les plus démunis.
Faire du populisme et dire qu'un programme d'un parti ou d'un gouvernement est s'occuper de la corruption ne suffit pas du tout .
Tayar , Fakhfakh cachent le fait qu'ils n'ont pas de programme en tenant ce langage.
Chahed n'a fait que cela et le résultat est catastrophique.
Merci de laisser les juges faire leur travail et leur donner les moyens pour le bien faire.
1/Le pouvoir législatif est chargé de la rédaction et de l'adoption des lois mais également du contrôle de l'exécutif. Le pouvoir législatif est généralement exercé par un parlement, composé d'une ou deux chambres.
2/Le pouvoir exécutif met en '?uvre les lois et conduit la politique nationale. '? cette fin, il a le pouvoir d'édicter des règlements et il dispose de l'administration et de la force armée. Le pouvoir exécutif est exercé par un chef de l'?tat, qui joue un rôle plus ou moins important selon les régimes, et par un gouvernement.
3/Le pouvoir judiciaire veille à ce que les lois soient respectées et sanctionne leur non-respect. Son indépendance est primordiale, puisqu'elle est la condition de son impartialité. C'est généralement la constitution qui définit ses compétences et qui garantit son indépendance.
Nos politiques n'ont aucune culture de la démocratie.
C'est dommage !
Après jugement par une libre justice, évidemment.
Bon, on peut comprendre que cette idée effraie M. Karoui, et au moins la moitié de l'ARP!