
Le président du Conseil de la Choura d’Ennahdha, Abdelkarim Harouni a été l’invité de Hamza Belloumi, ce vendredi 7 février 2020, sur les ondes de Shems FM.
Revenant sur la réunion entre le chef du gouvernement désigné, Elyes Fakhfakh et le président de Qalb Tounes, Nabil Karoui ayant eu lieu hier jeudi au domicile de Rached Ghannouchi, M. Harouni a considéré cette rencontre comme « une victoire définitive de la Tunisie sur l’exclusion » ainsi que le point de départ réel des concertations.
Dans ce sens, M. Harouni a salué M. Fakhfakh pour sa « bravoure » et le chef d’Ennahdha, Rached Ghannouchi pour « son attachement à l’union nationale » assurant que les différends ne représentent pas un obstacle devant l’action commune.
Toutefois, l’inclusion de Qalb Tounes dans les négociations ne signifie pas forcément sa participation au gouvernement. Il s’agit de l’établissement d’un dialogue suite auquel Elyes Fakhfakh prendra sa décision, selon M. Harouni.
« Nous ne sommes pas alliés à Qalb Tounes et nous ne le défendons pas. Cependant, le gouvernement doit disposer d’une forte assise politique ainsi que d’une large base parlementaire pour pouvoir faire passer les lois, apporter les réformes nécessaires et éviter des législatives anticipées bien que cela ne nous fait pas peur. Ennahdha s’engage, également, à ce qu’aucune partie soupçonnée de corruption, incompétente ou ayant une mentalité exclusive ne fasse partie du gouvernement », relève Abdelkarim Harouni.
B.L
En somme, Ennahdha s'exclut du jeu, croyant exclure d'autres. Puisque les incompétents et les corrompus sont plus nombreux au sein de cette mouvance, par ailleurs coupable et complice de la terreur, pourquoi et à qui Harouni parle-t-il ?
De la couardise des autres naquit la force "irrésistible" des barbus.
Et les gabesiens ramenés à Tunis ( arguant une pollution et accentuée avec préméditation ) en vue de les inscrire pour la forme dans les administrations et ce afin qu'ils votent nahdha.
Et qui c'est qui va leur payer les salaires?
Bien sûr c'est avec les prêts de banques mondiales qui accordent ces prêts par respect aux quinze siècles d'histoire de la Tunisie pour les uns, et pour hypothéquer le pays tunisien pour d'autres.
N'est-ce pas de l'escroquerie et du vol ? De s'acheter l'âme des gens pour gouverner et de plus sans compet6ence ni niveau d'instruction.