
Les migrants ne devraient être placés en détention « qu'en dernier recours » ont affirmé les Nations unies, vendredi 31 janvier 2025, après l'annonce mercredi par le président américain Donald Trump d'un projet visant à enfermer des milliers de sans-papiers dans la prison de Guantanamo.
Donald Trump a déclaré mercredi avoir ordonné la construction d'un camp de détention pour accueillir jusqu'à 30.000 « criminels étrangers présents de manière illégale » sur le sol américain dans la célèbre installation militaire américaine située à la pointe sud-est de Cuba, utilisée pour détenir des personnes soupçonnées de terrorisme depuis les attaques du 11 septembre 2001 contre les États-Unis.
Interrogé sur ce projet vendredi à Genève, Jeremy Laurence, le porte-parole du Haut-commissariat des Nations unies aux Droits de l'Homme, a répondu qu'il était « essentiel de respecter la dignité et les droits de tous les individus, quel que soit leur statut d'immigration, et de veiller à ce qu'ils soient traités conformément aux normes internationales en matière de droits de l'homme ».
« La détention des migrants ne devrait être utilisée qu'en dernier recours, et seulement dans des circonstances exceptionnelles », a-t-il ajouté. « Quel que soit leur statut, les migrants ont des droits et ils devraient être respectés, où qu'ils se trouvent ».
La base militaire de Guantanamo accueille la prison du même nom, créée par l'ex-président George W. Bush après les attentats du 11 septembre 2001 dans le cadre de sa "guerre contre le terrorisme". Elle est devenue pour de nombreuses ONG un symbole des dérives de la lutte contre le terrorisme, à cause de ses conditions de détention extrêmes et du recours à la torture.
Selon le mémorandum publié mercredi par la Maison Blanche, le projet de Donald Trump prévoit de porter à « pleine capacité » un centre de rétention de migrants déjà existant sur la base pour y enfermer « des criminels étrangers présents de manière illégale » sur le territoire américain.
La prison de Guantanamo accueille actuellement 15 détenus. Pas loin de 800 détenus - dont un maximum de 680 en 2003 - y sont passés en plus de vingt ans.
© Agence France-Presse

Un peu comme l'argent, divinité transnationale, oecuménique puisqu'elle rassemble dans jn consensus presque parfait tous et tout le monde. Tout le Monde?
I'? se pourrait que ce ne soit pas si vrai, et que l'assentiment des dites ouailles résulte d'un diktat à quoi l'on doit obéissance sous peine de se voir désigné apostat.....
Le registre théologique comme mode d'analyse ou référence est pleinement justifié puissu'?en ces matières de "fric", le croire est la norme.
Alors, on dira que les hommes ne valent pas leur "pesant d'or".
Pas tous.
Ni de la même façon.
Et pas selon les mêmes critères.
Optant pour cette incidente, on se approcherait mieux notre objet.
De quoi s'agit-il, en somme?
I'? s'agit de norme.
Et du.point de cette norme, tout découle, et se décide.
I'? y aurait des hommes....et les autres.
Les autres, avec une minuscule.
Minuscule s'entend dans son extension.
Les minuscules sont justiciables de traitements spécifiques. Appropriés.
Ils ne doivent, ni ne peuvent nourrir quelque prétention à l'égalité.
Bref.....
Guantanamo pour les "clandestins".
Leur crime: avoir cru à l'égalité inscrite sur les frontispices des monuments des Hommes.
Lesquels pouvaient, peuvent quand ils le décident, débarquer chez les hommes (minuscules) et se servir.
Y compris en massscrant qui leur
résiste.
Le terroriste.
Qu'il est beau le tableau!
Criminel = qui a commis un crime.
Et illégal = clandestin.
Alors où est le problème ?