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Limogeage de l’ambassadeur de Tunisie à Paris
30/12/2019 | 17:14
1 min
Limogeage de l’ambassadeur de Tunisie à Paris

 

 

 

L’ambassadeur de Tunisie à Paris, Abdelaziz Rassâa, a été démis de ses fonctions selon un décret présidentiel paru ce lundi 30 décembre 2019, dans le Jort. Il en est de même pour le consul général de Tunisie en France, Ali Chaâlali, selon la même source.

 

Le ministère des Affaires étrangères avait indiqué le 21 décembre que le président de la République, Kaïs Saïed, avait autorisé l’ouverture d’une enquête suite à des rumeurs sur des soupçons de corruption à l’ambassade de Tunisie à Paris.

 

Le ministère a précisé que ces rumeurs ont été diffusées sur les réseaux sociaux et que les résultats de l’enquête ainsi que les mesures administratives et pénales qui en résulteront seront rendues publiques. A l’heure actuelle, aucune mention de ces décisions ni des raisons de ces limogeages n’a été rendue publique par le ministère des Affaires étrangères.

Selon des sources diplomatiques, ce limogeage ne serait pas lié à une quelconque affaire de corruption mais est justifié par les récentes mutations politiques et la formation du nouveau gouvernement.

 

 

 

M.B.Z

 

30/12/2019 | 17:14
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Commentaires (21)

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smida
| 01-06-2020 10:31
La vérité ne doit pas être camouflée !!! la vérité est une lumière voilée, il faut quelle soit dévoilée, pour que justice soit rendue, la Tunisie est pays de droit où s'exerce la liberté d'expression véridique pas FEK NWZ et nous comptons sur votre conscience pour faire valoir la Vérité que certains magistrats français veulent l'étouffer.

smida
| 01-06-2020 10:23
Nous approuvons l'initiative du président de la République sur le limogeage de Irrassaa l'Ambassadeur de Tunisie à Paris. Cette personne, au bout de deux ans d'occupation de ce poste a démontré son inefficacité mais aussi son inutilité. Le plus efficace sur ce poste et qui a fait son devoir à la lettre Monsieur Mohamed Ali Chihi. Les citoyens Tunisiens en France en situation régulière sont souvent victime de l'injustice de certains magistrats qui encouragent le blâmable et interdisent le convenable et transgressent la loi quand ça les arrange.

tounisi-ya
| 31-12-2019 15:52
Commencez d'abord par enquêter ceux qui ont tué Belaid, Brahmi, les gardes nationales, les soldats, les policiers, les militaires de la Présidence,....Commencez aussi par la justice et les corrompus comme Bouchlaka du parti ENNAHDHA qui a volé un milliard du don des chinois, enquêtez sur Ghannouchi et sur ses sbires de leurs manoeuvres criminels et laissez tranquille les hauts fonctionnaires propres. Rassaa est une compétence tunisienne qui a fait les grandes écoles en France et que vous n'avez pas beaucoup de profils similaires. C'est un homme propre, plus propre que les pingouins politiques d'aujourd'hui du haut sommet à la racailles des députés. Cet homme a servi son pays avec sincérité et je suis sur que Mme Ennaifar le connait bien. C'est un exemple d'intelligence et de compétence, de propreté et de patriotisme. Il a un passé glorieux dans l'administration et là il n'y a aucune comparaison en matière de compétence en management, de diplômes et de patriotisme entre lui et Monsieur Jamli l'homme du Gourou. Ceux qui ont lancé ces fausses rumeurs doivent être poursuivis en justice pour diffamation. Cela me rappelle la tentative du suicide d'un excellent ancien ministre compétent, honnête et propre car il a été soupçonné par la corruption.
Ces agissements mal intentionnés indiquent bien que nous sommes entre de bons mains, bien gouvernés avec 3 têtes du jamais vues. Meskina Tounes espérant que cela ne durera pas longtemps, regardez ce qui se passe en Irak, en Liban, e,n Syrie,....Bientôt, c'est notre tour à faire dégager le pays de ce mal.

okapi
| 31-12-2019 15:14
C'est une sombre affaire de règlement de comptes par KS interposé.

Justinia
| 31-12-2019 13:44
Et c'est pour quand l'enquête sur le ministère de la justice ? C'est pour quand l'enquête sur la justice?
L'ambassadeur limogé n'a pas assassiné Brahmi,Belaïd et les autres.Qui les a assassinés? Pourquoi là,il n'y a pas d'enquête?
Les assassinats de Brahmi, Belaïd et les autres vous resteront comme l'euil de Cahin ( Pourquoi m'as tu tué? ).Le peuple vous le rappellera chaque fois qu'il le faut.

sidi
| 31-12-2019 13:31
Etant votre lecteur quotidien depuis longtemps, je me sens en devoir de souhaiter à toute l'équipe de Business News un radieux 2020 avec tout ce que vous souhaitez.....mes v'?ux vont tout d'abord au directeur Si Nizar Bahloul, comme à Marouene Achouri, Synda Tajine Si Sofiène et toute l'équipe...merçi de votre professionalité pour nous informer.....au fond...l'unique atout de notre merd*****est uniquement la liberté d'expression....bonne Année

anti rats
| 31-12-2019 12:53
je Connais l'Homme et la personne. Arretez de balancer des conneries.
un Homme Intégre, serviable et humble. il n'a besoin ni d'ambassades ni de magouilles. l'argent il en a toujours eu et en aura toujours avec mérite.
un pays qui ne reconnait pas ses enfants est un pays pourri

Tounsi
| 31-12-2019 12:44
M.Rassaa qui tout d'abord est fils de grande famille tunisoise et ancien diplômé de grandes écoles françaises a choisi de servir son pays en intégrant l'administration tunisienne depuis plus de trois décennies .
Pendant toute cette période il a travaillé à travers tous les postes occupés à améliorer le quotidien des tunisiens et l'image de son pays à l'étranger.
M.Rassaa est un exemple de droiture, de compétence et de patriotisme.
Le Président de la République doit se rensrigner sur le passé glorieux de ce Grand fonctionnaire et rétablir d'urgence ette injustice qu'il est entrain de subir et identifier ceux qui sont derrière ce lynchage injustifié.

Le Baron
| 31-12-2019 12:09
Les tunisiens découvriront au fur et à mesure le désastre du quinquennat de Bce :corruption, népotisme, abus de biens sociaux, vol....

Osta
| 31-12-2019 12:02
J'ai travaillé avec cette personne compétente et un grand commis de l'Etat.
Incapable de quoi que ce soit de corruption ou malversations.
Le grand ménage pour placer des incompétents populistes.