
Dans un communiqué publié ce jeudi 10 septembre 2020, le ministère des Affaires étrangères, de la migration et des Tunisiens à l'étranger a précisé que la décision de transférer le représentant permanent de la Tunisie auprès des Nations Unies, Kaïs Kabtani, vers un autre centre diplomatique a été prise dans le cadre du mouvement annuel des chefs de missions diplomatiques permanentes et consulaires et dans le cadre d'une série de transferts de routine.
Il a expliqué que la décision de transférer l’ambassadeur est une procédure qui s'inscrit dans le cours normal des parcours professionnels et à la lumière d'une vision et d'orientations en adéquation avec les intérêts de l'Etat et les exigences du travail diplomatique et face aux défis auxquels le pays est confronté.
Le ministère a affirmé que ce transfert s’est inscrit dans le cadre d'une évaluation globale et approfondie, menée par l'administration centrale, du bilan professionnel de l’ambassadeur concerné et de son engagement envers les objectifs diplomatiques fixés pour la mission.
Le ministère a souligné que servir les intérêts suprêmes de la Tunisie, préserver son image et renforcer la crédibilité de ses institutions reste au premier plan des devoirs assumés par les représentants de l'Etat à l'étranger, et que l’ambassadeur Kaïs Kabtani a présenté sa démission du corps diplomatique suite à la décision des autorités tunisiennes de le démettre de ses fonctions, qu'il occupait seulement depuis cinq mois.
M.B.Z
D'autant plus que nous sommes, en ce moment, membre du Conseil de Sécurité de l'ONU.
Quelle belle image de notre pays !
la Republique!!!! , ils exigeront bientot que ce soit les ambassadeurs qui vont formuler la politique etrangere du pays et non Le president de la Republique. ,
Si ce dernier ne fait pas ce qu ils exigent, nos valeureux ambassadeurs font de la politique et se disent retirer leur confiance au president de la Republique!!! et non le contraire! Lorsque un certain Chawki Tabib ainsi que nos ambassadeurs refusent de se soumettre au decisions de leur chefs, font acte de rebellion, au lieu de
s adresser a la justice pour se faire justice , lorsqu ils crient sur le toits
leur rebellion, mobilisent les medias et une certaine societe civile partisane et non innocent, on ne devrait donc pas
s attendre a ce que le citoyen lambada
ne fait pas acte de rebellion lorsque ces hauts fonctionnaires de l etat se comportent ainsi...
Le ministère poursuit en 2020, dix ans après l'abolition du régime de Ben Ali, lequel avait fait de la déformation de l'info l'instrument essentiel de sa politique. Présentée ainsi, cette affaire n'a plus rien d'une affaire touchant gravement l'honorabilité du ministère sous K. Saied et Nadia Akacha, et par conséquent celle de ces personnages eux-mêmes !
Il vous vient forcément une irrépressible nausée à la lecture de cette déformation, de ce travestissement de la réalité !
Et en plus ils nous demandent d'applaudir !
A un moment , il faut arrêter de prendre les Tunisiens pour des demeurés .... car quand même , on a déjà été à la risée de tous les membres de l'ONU ( une première dans l'histoire diplomatique de notre pays ! ) quand Mr Moncef Baati ( le prédécesseur de Mr K. Kabtani ) avait été débarqué " brutalement " en février 2020 ( après soi-disant la fuite du projet de résolution contre le plan de paix Américain pour le proche-orient , et remplacé à la va-vite par Mr K. Kabtani !
Et voilà que ce dernier à son tour , après juste quelques mois et malgré son travail sérieux , se fait " éjecter " à son tour !
Et on nous dit ..... que c'est normal , que c'est une procédure qui s'inscrit dans le cours normal des parcours .... et blablabla et blablabli !
A d'autres !
Tout ce qu'on doit en déduire , hélas , c'est qu'on n' a plus de diplomatie professionnelle , sérieuse , reconnue , et digne de ce nom !
La Tunisie mérite mieux que ces malades
Bref bled techtah 3ala Tar bou fless
C une caisse de resonance de la voix de la Tunisie au niveau planetaire
Les circonstances de la demission confirment que notre MAE est devenu un campement de bedouins
Cependant il y a une nouvelle unité de mesure du bilan professionnel des diplomates : le bluff @