
Le jeune homme a été interpellé « d’une manière spectaculaire » au niveau du péage de Sidi Thabet sur l’autoroute alors qu’il rentrait chez lui, selon ses dires. Il a été emmené à suite à la brigade criminelle d'El Gorjani où il a été interrogé d'une manière brutale.
« J’ai été harcelé, mon téléphone a été confisqué et on m’a bombardé de questions sur la source des informations dont je disposais », a-t-il ajouté.
Les déclarations du chroniqueur au sujet d’une lettre suspecte contenant une substance toxique parvenue à la présidence de la République ont été le motif de cette arrestation.
Mardi, des informations selon lesquelles le président de la République avait été visé par une tentative d’empoisonnement ont massivement circulé sur la toile et dans les médias. La présidence de la République a précisé qu’une lettre contenant une substance douteuse était parvenue au palais de Carthage notant que Kaïs Saïed se portait bien.
Riadh Jrad a, par ailleurs, exprimé ses remerciements à toutes les personnes qui l’ont appuyé notant qu’il ne pardonnerait jamais à ceux qui ont donné « l’ordre politique de son arrestation ».
N.J.


L'assassin laisse toujours un indice.
Mais ils oublient que les élections ont été manipulées et puisqu'il n'y a eu aucune suite à leurs manigances donc ils pensent que le peuple Tunisie va les laisser poursuivre leur banditisme ; puisque tous les mots importants sont cryptés ou bien tout l'écrit supprimé par Business News sur ordre de nahdha.

