
« Papa, toi qui de toute ta vie tu ne t’es jamais tu face à l’injustice, toi qui de toute ta vie tu n’as jamais douté que le juste triomphera, c’est la première fois que je ne t’entend pas t’exprimer au sujet de ce qu’il se passe en Palestine. Toi qui as fait preuve de patience pour m’expliquer pendant des heures la cause et me raconter l’histoire en détails à un point tel que, des fois, quand je te demande d’où tu sais tout cela, tu souris et tu me réponds : ‘avec le temps, toi aussi, tu sauras’. Papa, je ne sais pas grand chose, depuis et jusqu’aujourd’hui, mais j’ai compris que le fait d’être juste dans ce monde, épuise. Je ne suis pas en train de comparer l’iniquité de l’occupation à celle de la tyrannie, mais il y a une chose en cette injustice qui nous laisse infirmes. Liberté pour la Palestine. Liberté pour les détenus. Libertés pour tous les libres où qu’ils soient », a-t-elle écrit.
Ghazi Chaouachi et plusieurs autres personnalités, dont le dirigeant du Front de salut national, Jaouhar Ben Mbarek, Khayam Turki, l’ancien dirigeant nahdhaoui Abdelhamid Jlassi, le secrétaire général d’Al Joumhouri Issam Chebbi, ont été incarcérés en février en vertu d’une ordonnance de placement en détention provisoire pour une durée de six mois. Ils sont tous visés par une enquête sur un complot contre la sûreté de l’État. La défense et plusieurs organisations nationales et internationales ont dénoncé « des accusations infondées » appelant à leur libération, mais le juge d’instruction a décidé en août le renouvellement de l’ordonnance.
N.J.

Famma Rabbi, ya néss.
Khafou minnou !!
Tu n'as qu'à l'encadré au dessue de ton lit.
Ce qui m'intéresse quand nous Allons se débarrasser de ses Vernines qui dorment et mangent les repas des pauvres

