
Le Bureau du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme (HCDH) en Tunisie a publié, ce lundi 14 juin 2021, un communiqué de presse affirmant avoir, au cours du premier semestre de 2021, reçu des informations circonstanciées relatives à plusieurs incidents graves impliquant des membres des forces de sécurité intérieure, se disant préoccupé à cet égard.
Le HCDH a souligné qu’une série d’incidents préoccupants se sont produits au cours de la première moitié de 2021, qui ont abouti à de graves violations des droits de l’homme de la part des forces de sécurité intérieure. Citant le communiqué du 28 janvier de l’Instance Nationale de Prévention de la Torture (INPT) qui fait état de ses constatations relatives à des atteintes à la dignité et l’intégrité physique des personnes arrêtées, dont des mineurs, par des personnes dépositaires de la force publique, il a dénoncé des violations graves et répétées depuis le début de l’année qui révèlent des dysfonctionnements continus au sein des services de sécurité intérieure.
Le Haut-Commissariat exhorte les autorités à initier ou finaliser sans délai des enquêtes administratives et judiciaires transparentes, indépendantes et promptes pour ces allégations. Il a précisé que la sanction effective des responsables de ces violations marquera la fin de l’impunité de celles des personnes dépositaires de la force publique qui pensent pouvoir s’absoudre du respect de la loi tunisienne et de l’Etat de droit. « Le Gouvernement est appelé à redoubler ses efforts pour traduire son engagement réitéré d’agir en conformité avec les standards nationaux et internationaux en matière de des droits de l’homme, en actions concrètes et pratiques visant à garantir effectivement les droits, les libertés fondamentales et la sécurité des individus » note enfin le HCDH.
M.B.Z (d’après communiqué)

'? l'epoque de Ben Ali ou Bourguiba, les diplomates et les représentantions étrangères lissaient les murs .
Maintenant vous ne faites qu'aboyer ..
C'est pour cette raison que nahdha est enragée et furieuse car sentant sa fin prochaine.
L'Etat Tunisien s'engageait ainsi officiellement a mettre en place une série de reformes et un cadre de bonne gouvernance des corps sécuritaires
une amorce de reforme a débuté en 2014 avec l'AFK pour reformer l'administration de la police de la douane du personnel pénitencier avec un don de 7 millions de dinars; ce projet a capote en 2017
Voici le document officiel ratifiant l'engagement international de la Tunisie a adopter les processus et pratiques de bonne gouvernance d'une police républicaine
http://www.dcaf-tunisie.org/Fr/publication/la-police-roles-et-responsabilites-dans-la-bonne-gouvernance-du-secteur-de-la-securite/6/10270
http://www.dcaf-tunisie.org//adminDcaf/upload/ejournal/documentfr_10270.pdf
Vendre son âme au Diable et montrer sa gueule dans la "course" aux chevaux, avec des fleurs, sans VERGOGNE.
Un type qui n'a ni parti (sauf sa Nahdha), ni légitimité, ni passé, ni présent ne peut prétendre rester au Pouvoir et nous gouverner à sa guise.
Le Rapport de l'ONU précise BIEN que ce sont les "POUVOIRS PUBLICS" qui sont RESPONSABLES à 100% de la situation catastrophique actuelle (Donc Méchichi+Nahdha, au Pouvoir)...
A moins que...ça ne soit Abir Moussi qui ont payé l'ONU pour sortir ce communqué .
Il était temps. Mais, ne boudons pas notre plaisir et satisfaction.
Certes, cela n'aura rien de contraignant pour nos petits gouvernants si sûrs de leur fait, au moins les choses sont dites.