
Le président du bloc parlementaire d'Ennahdha, Imed Khemiri, a estimé que « descendre dans la rue dans les pays démocratiques est l'un des mécanismes d'expression de l'opinion, et la Tunisie est un pays démocratique régi par la Constitution de 2014 et par les lois garantissant les droits et les libertés ».
Et de soutenir que « parmi les questions les plus importantes que la Constitution protège est le droit de manifester pacifiquement, à condition que cela s'inscrive dans le cadre du respect de la loi, et c’est l’un des mécanismes par lesquels les parties défendent leur point de vue ».
Dans une interview accordée au quotidien londonien Al Arabi Al Jedid, le leader d’Ennahdha pense que « il y a un débat dans l'arène politique sur la Constitution » et que « plusieurs parties ont exprimé et défendu leurs points de vue dans la rue, en s'appuyant sur le fait que manifester est l’un des mécanismes démocratiques ».
Pour lui, « descendre dans la rue ne peut être accaparé par une seule personne et exiger la protection de la Constitution ne signifie pas qu'il y a des menaces ». Il considère ainsi qu’«au contraire, la rue reste un mécanisme pour mettre en évidence un certain nombre d’affaires et d’opinions, de les renforcer et les développer ».
M. Khemiri a ainsi indiqué qu’« Ennahdha organisera une marche le 27 février 2021 pour appeler à l'unité nationale, à respecter la Constitution et à faire attention aux préoccupations ainsi qu’aux problèmes de la rue »
Et d’affirmer que « cette marche sera aussi ainsi un appel à la protection du régime politique et à la préservation de ses acquis. La Constitution et le Parlement étant parmi les plus importants acquis de la révolution ».
I.N
Art. 4 ' La déclaration de l'état d'urgence donne pouvoir au gouverneur dans les zones prévues à l'article 2 et autant que la sécurité et l'ordre publics l'exigent :
d'interdire la circulation des personnes ou des véhicules ;d'interdire toute grève ou lock-out même décidés avant la déclaration de l'état d'urgence ;
D'accord pour soutenir le régime politique et le gouvernement mais la cour constitutionnelle et l'exigence de réformes ne sont pas aussi une priorité ?
Le 27 février sonnera la fin de votre mouvement et à sa tête votre gourou.
Vous vous prenez pour des démocrates, mais de quelle démocratie vous parlez, vos mains sont suer de sang, des assassinats politiques, une justice bafoué, des fonctionnaires inexistants, y compris des retraités inconnus au bataillon.
L'année 2021 sera la fin de votre parti, le mieux retourner d'où vous êtes venus et la Tunisie ira beaucoup mieux.
Avant 2011 tous ces problèmes n'existaient pas, malgré la main mise de ZABA....
Aujourd'hui la spéculation bas son plein du Nord au Sud, et d'Est en Ouest.
Alors marché et surtout ne vous retourner pas.....
Il n'y a que les imbéciles qui prennent les autres pour plus naïfs qu'eux.
Le pauvre, je pense qu'il sent que son organisation est en fin de course, du moins "zmimhom", c'est pourquoi il se débat et se débattent avant de trépasser...
Slogan : DEGAGE YE RACHED FADITE MINIK IL BLED
- 2ème rangée , les amoureux du cheikh Bhiri et Zoghlami en tête qui tiennent la banderole .
Slogan : CHID S7I7 YE RACHED MEKENICH BICH IN HIJJOU MIL BLED
- 3ème rangée , les fans de Qalb Tounis Elloumi et Khlifi en tête qui tiennent la banderole .
Slogan : SAYIB NABIL YE RACHED 9BEL HROUBIK MIL BLED
- 4ème rangée , les fans de karama Makhlouf et Affes en tête qui tiennent la banderole
Slogan : BISSLAMA YE RACHED A7NA FAS3IN MIL BLED
oui défendre votre échec et votre incapacité et votre cupidité sans dignité et arrogance et impolitesse cette secte prennent les gens pour des imbécile vous et vos moutons vous etes des anes sauvages
Nous sommes bien plus nombreux à vous dire que nous ne partageons pas grand chose avec vous. Ni votre projet, ni votre vision de la société, et encore moins vos conceptions de la chose publique. Nous en avons assez de vos mensonges, de vos volte-faces et de la prébende. Et la terreur qui ne fait plus peur...
Accrochez-vous à ce régime.
C'est votre régime, et le pays n'en veut pas.

