
Quelques jours après le début de sa visite en Chine, une information s’est répandue sur Facebook selon laquelle le président de la République, Kaïs Saïed, est le premier président de la République à visiter la Chine depuis 1956.
Le président tunisien, Kaïs Saïed a effectué, à l'invitation du président chinois Xi Jinping, une visite d'État de cinq jours en Chine. Durant cette visite le président a été invité d'honneur à la séance inaugurale de la 10e réunion ministérielle du Forum de coopération sino-arabe à Pékin.
Des centaines d’internautes ont relayé l’information sur les réseaux sociaux, affirmant qu'il était le premier chef d'État tunisien depuis 1956 à effectuer une telle visite, ce qui nous a poussé à entreprendre une vérification.
En recherchant dans les archives tunisiennes et sur les sites officiels en Tunisie et en Chine, nous avons pu établir que l'ancien président Zine El Abidine Ben Ali avait déjà visité la Chine, en 1991 précisément, et c’était une visite d’État.
Depuis les années 1990, et même avant du temps de Bourguiba, plusieurs visites ont eu lieu entre la Tunisie et la Chine, témoignant des relations bilatérales croissantes entre les deux nations.
Ainsi, l'information relayée sur les réseaux sociaux est fausse.
R.A.

Le polichinelle des islamistes Tunisiens reproche au leaders Arabes de ne pas vouloir établir de démocraties à l'occidentale mais refuse de mentionner le Qatar, le sponsor de son loyer à Paris.
Le Qatar qui lors de la création des infrastructures de sa coupe du Monde obtenue par des pots de vins, a sacrifié la vie d'au moins 10000 indiens rachitiques et vêtus de pagnes qui ont trimé dans une chaleur torride afin que ce pays dégoutant puisse accueillir des milliers de gueux et de filles travaillant pour des services d'escorte variés et divers.
Le mal Arabe c'est bien évidemment Marzouki qui lors de son mandat en burnous a inauguré une ligne aérienne fictive destinée à transporter la racaille Tunisienne vers les cieux de Syrie afin qu'elle bâtisse une autre infrastructure : celle de camps de concentration et de guillotines destinées à épurer la Syrie de ses populations Chrétiennes.
Ce n'est pas Ben Ali qui mérite la peine de mort pour avoir été chassé de son pays par la 6eme flotte américaine et ses mercenaires Tunisiens comme l'a mentionné un autre dégénéré nommé BCE, mais ce toubib qui est responsable de crimes contre l'humanité.
Nous sommes à une ère ou le ridicule ne tue plus. L'occident arme Israël qui abat les arabes de Palestine comme des lapins mais attaque la Tunisie de ses médias sionistes parce que des juges gagnant un quart de smig Européen interpellent par des flics habillés de la friperie de Sijoumi des malfaiteurs qui font fi de la loi et sèment le désordre parce qu'ils s'ennuient dans un pays sans visa Schengen accessible.
Marzouki doit faire preuve d'honneur et de dignité, lui qui descend de goumiers qui ont servi la France coloniale et ses blancs et rédiger un autre livre intitulé « Le miracle Tunisien ».
Le miracle Tunisien est peut-être cet homme a la diction saccadée et maladroite qui veut rebâtir la Tunisie sur des bases d'honnêteté. Le défi est immense. Le Tunisien ment et vole dès qu'il en a l'occasion. Que ce soit un vendeur de figues ou un entrepreneur en travaux publics, le commerçant Tunisien adore les transactions illicites.
Et pourtant les mosquées sont pleines de gueux aux haleines fétides qui courbent leur arrière-train au firmament espérant du créateur une miséricorde et un voyage vers le paradis une fois leur heure venue.
Le mal Arabe c'est cette religion que le grand Ministre Charfi avait déclaré comme désuète et passible de modernisation.
Mais tout d'abord, rendons-nous a l'évidence, le plus mauvais des ministres de Ben Ali était un Einstein comparé aux hommes et aux femmes qui ont investi le pays après une fausse révolution de l'OTAN.
Les Arabes doivent procéder à un bilan critique et sévère. Ils doivent reconnaitre que leur religion a été comme l'état d'Israël, la source de génocides, de pogrom, d'injustice, de souffrance, et d'horreurs en tout genre depuis qu'elle plane sur des pays dont les peuples vivent avec peu d'espoir comme ceux du monde Arabe.
JOHN WAYNE
D'ailleurs il nous racontait que sur les quelques années passées à Pékin, la préparation de la visite de Ben Ali a été pratiquement la seule action qu'il a menée en dehors des activités protocolaires et formelles.
Il savait comment marchander, pas comme ces terribles amateurs naïfs qui sont actuellement à la tête de l'état à gérer nos affaires !
Car la ressemblance est flagrante, si ce n'est que Mzali était n° 2 et.. un peu plus sportif !