Le président de la République Kaïs Saïed a reçu aujourd’hui, jeudi 7 novembre 2024 le ministre de l’Intérieur Khaled Nouri, annonce un communiqué publié ce soir par Carthage.
Kaïs Saïed a appelé son ministre de l’Intérieur à « redoubler d’efforts pour lutter contre toutes les formes de criminalité, en particulier celle menée par des bandes organisées qui menacent non seulement la sécurité des citoyens, mais aussi celle de l’Etat et de la société », mentionnant les récents incidents à Tunisair et à Henchir Chaâl.
Lors de cette rencontre, le président a, par ailleurs, salué « les résultats des dernières opérations sécuritaires menées contre des réseaux et barrons de la drogue ».
Par ailleurs, Kaïs Saïed a souligné « la nécessité de soutenir les efforts du ministère du Commerce dans la lutte contre la spéculation et la hausse des prix imposées par les spéculateurs et contrebandiers, à travers une nouvelle approche visant à s’attaquer à la source de ces bandes criminelles ».
D’autre part, le chef de l’Etat a indiqué que certains responsables régionaux devaient saisir le moment historique que traverse la Tunisie et agir avec patriotisme, en écoutant les préoccupations des citoyens et en trouvant des solutions rapides et efficaces. Il a d’ailleurs appelé les autorités locales et régionales à jouer leur rôle en simplifiant les procédures, surtout pour les jeunes porteurs de projets, afin d’atteindre le développement économique et social espéré. « Chaque responsable au sein de l’Etat doit être conscient, à tout moment, qu’il est au service du peuple et qu’il n’a aucune excuse s’il ne veille pas à réaliser ses aspirations ».
R.B.H
Notamment, il ressort des cadres sup de l'administration et du secteur privé, ils font tous leur semble, un dysfonctionnement qui porte un préjudice aux cytoyens moyens sans le moindre recours. Le manque de la transparence et la corruption passive semble un sport national en toute impunité. C'est de là qu'il faut s'attaquer.
Peut-être réintroduire ou renforcer la présence discrète d'agents en civil à l'intérieur des rames et des bus pour pister ces malfrats serait la bienvenue.
Une bonne chose serait également de revenir aux "contrôles" groupés de motos, scooters et mobylettes pour vérifier non seulement leur état (feux, freins, absence de pots d'échappement, etc.) leur identification, leur obligation d'assurance et bien entendu l'identité des utilisateurs de ces deux roues et "pointer" ceux qui n'ont rien à faire dans un quartier ou dans un lieu à des kilomètres de leurs résidence habituelle ou à un horaire innaproprié à celui du travail.
Un mesquin,dés'?uvré !
Ah mon Dieu débarrasse nous de cette vermine !