
A l’occasion du premier conseil des ministres tenu jeudi 14 octobre 2021, le président de la République, Kaïs Saïed, a prononcé une allocution.
Après avoir retracé l’histoire de l’organisation des conseils de ministres et expliqué que la tradition faisait que cette réunion périodique se tiennent les jeudis, il a affirmé que cette rencontre était une preuve que les institutions de l’Etat fonctionnaient toujours et qu’elles continueraient à travailler.
Il a appelé, dans ce sens, tous les responsables à œuvrer davantage pour relever tous les défis auxquels fait face la Tunisie notant qu’il avait choisi un gouvernement composé de personnalités qui « appartiennent à la Tunisie et non à des partis ».
« Nous travaillons pour la Tunisie et pour l’Etat ! », a-t-il martelé avant de dérouler l’ordre du jour du conseil des ministres en cours.
Rappelant que la Tunisie est « indépendante et libre », il a annoncé, à l’occasion, qu’il comptait retirer leurs passeports diplomatiques à tous ceux qui ont appelé à l’ingérence étrangère dans les affaires internes du pays, en référence notamment à l’ancien président provisoire Moncef Marzouki.
Il a ajouté, dans ce sens, que toute personne ayant comploté contre la Tunisie devrait être accusée d’attentat à la sûreté extérieure de l’Etat.
« Nous n’avons peut-être pas de missiles intercontinentaux mais nous avons une souveraineté intercontinentale ! Notre souveraineté avant tout ! Notre dignité avant tout ! Il est hors de questions de laisser qui que ce soit interférer dans nos affaires internes. La parole est au peuple et non à des capitales étrangères ou des traitres qui sollicitent l’étranger pour saper leur propre pays, leur propre Etat ! », a-t-il lancé.
Le président de la République a réitéré son engagement pour préserver la démocratie et la liberté notant que la volonté du peuple est la seule source du pouvoir.
Il a précisé, également, qu’il avait pris son temps pour la formation du gouvernement afin de trier consciencieusement « les hypocrites » des « patriotes honnêtes », assurant que le dialogue national sera organisé mais pas dans ses formes précédentes.
« Il y aura un dialogue, mais il ne sera pas le dialogue numéro 3. Ça sera un dialogue avec le peuple tunisien, avec les jeunes tunisiens et le décret sera bientôt publié », a-t-il fait savoir.
Revenant sur la session du Congrès américain dont une partie sera consacrée à débattre sur la situation en Tunisie, le chef de l’Etat a condamné cette démarche. Il a rappelé, à l’occasion, les conventions onusiennes interdisant l’ingérence étrangère.
N.J.
Inchallah
Concentrez-vous sur les dossiers économiques en premier lieu, entourez vous de professionnels, ignorez l'Ugtt et ses demandes destructrices.
Il va rendre fou les autres autour de lui.
Il va les contaminer.
Il faut l'arrêter et le mettre au cageot.
En précisant "PROVISOIRE", vous semblez avoir de nouveau repris, la voie de la raison.
Bravo et bien joué !!!!
Ils pensaient que tout se passerait bien, mais apparemment ce n'est pas le cas. Et ce n´est même à la manière d´un bureau politique d´URSS avec un Stalin en tête !
Cela commence, en tout cas pas très bien, dans le pays de Tunisie (Eschaa3bou Yourid !).
Je propose les mots suivants:
Word of the year = Traitres
Unword of the year = Eschaabou Yourid
comment peut-on se fier à un peuple qui a mis Ennahda en tête pour sa première élection libre
ce même peuple qui , pendant très longtemps , clamait à tue-tête " avec notre vie , avec notre sang nous te défendrons oh Bourguiba "
le jour ou le général premier ministre l'a écarté , personne n'a levé le petit doigt .
Ce peuple corrompu est sans âme , volage, il a pour habitude d'applaudir celui qui est au pouvoir qu'il soit un saint ou un diable, pire il ne sait pas distinguer le bien du mal .
Rappelez lui qu'il n'est pas dans le cadre de conflit universitaire...
La Tunisie mérite mieux



