
Le chef du gouvernement, Elyes Fakhfakh a pris la parole, ce vendredi 26 juin 2020, à la fin de la séance plénière pour répondre aux différentes interventions et remarques des députés, affirmant que la priorité est à la relance économique.
Elyes Fakhfakh a assuré qu’un plan de sauvetage est en cours de réalisation par plus de 400 experts. « C’est un plan mis en place de manière participative. Nous ne l’avons pas présenté parce qu’il doit être peaufiné davantage. En ce qui concerne le budget complémentaire, il était prêt, mais la conjoncture économique mondiale n’est pas encore stable, nous devons attendre un peu ».
Revenant sur la problématique dans les régions, le chef du gouvernement a indiqué que l’absence du gouvernement était liée à la crise du Covid-19, soulignant que la situation dans les régions fait partie de la priorité du gouvernement. « C’est pour cela que nous assurons que nous n’allons plus recourir aux solutions de rafistolage et mettre fin à l’emploi précaire. Quant à l’agriculture, elle fait aussi une partie intégrante de nos priorités et de notre programme ».
Quant à la politique étrangère, il a affirmé que la position de la Tunisie a toujours était claire, notamment, pour la question libyenne, estimant que seuls les Tunisiens sont divisés par rapport à ce dossier.
Au final, il a rappelé la nécessité d’impulser l’investissement afin d’assurer la relance économique, précisant que son gouvernement veillera à la réalisation des objectifs qu’il s’est fixé.
Elyes Fakhfakh n’a pas abordé les accusations et les différentes remarques autour du conflit d’intérêts dont il est accusé alors que c’était le point central de toutes les interventions des députés.
S.H


Comme dirait l'autre, il y en a des qui devraient commencer par le B A BA, avant de se lancer à cors (très) perdu dans la polémique...
Faut prendre des biscuits avant de s'embarquer :l'air du large, ça creuse, ça creuse !
Vive l'objectivité de certains "journalistes" !
. Alors ,démissionnez..... Et laissez le president de la république designer votre successeur un successeur qui sera alors averti de tous ces éventuels conflits d interet.
Il s'est définitivement disqualifié aux yeux de l'opinion, et il ne tient que par la volonté de Ghannouchi qui n'est pas mécontent de voir un CdG archi affaibli qu'il va pouvoir man'?uvrer a sa guise.
DEGAGEZ les tous, le pays mérite beaucoup mieux que cette bande de corrompus.
Non, Fakhfech ne peut plus continuer à occuper le poste de Chef de gouvernement ni aucun autre poste de responsabilité d'ailleurs, car il a perdu la confiance des Tunisiens et nous a prouvé pour la seconde fois qu'il n'est pas à la hauteur de la confiance qui lui a été accordé en 2012 et en 2019.
Alors que dire d'un Premier Ministre!!! Franchement, j'ai beau essayer de réfléchir à cette histoire hier soir, j'ai pas pu comprendre ; il SAVAIT TRES BIEN que la presse enquêterai car il est Premier Ministre et donc très très exposé aux médias.
Et même si les médias n'auraient pas découvert ce délit, il y'aurait eu un "jaloux" qui ferait fuité ça.
Comment peut-il avantager sa société privé pour un marché public très important, tout en étant chef du gouvernement! C'est très très grave, surtout dans cette situation catastrophique pour notre pays.
Fakhfakh s'est TOUT SIMPLEMENT mis beaucoup, beeeeaaucoup d'argent en poche, grâce à l'Etat, tout en étant chef du gouvernement.
Cette pratique mafieuse initiée par Ben Ali, amplifiée par les khwenjias d'Ennahdha est devenue très courante ; il faut des juges courageux pour les dénoncer ; où sont ils?