
L’état des écoles en Tunisie est « misérable » et indigne de « notre Histoire », c’est ce qu’a déclaré le ministre de l’Enseignement, Néji Jalloul, lors de sa visite, ce samedi 21 février 2015, à l’école primaire Ennajeh à Menzel Bourguiba.
Le ministre a décrit, dans le même ordre d’idées, la situation d’«urgente», indiquant que son programme s’articule autour de deux axes « Le premier porte sur la restauration et l’entretien des bâtiments scolaires, le deuxième vise à réformer le système éducatif », a-t-il précisé.
M. Jalloul a déploré, par ailleurs, la dépréciation de la valeur des diplômes nationaux ainsi que la perte de réputation de nos écoles, soulignant, à cet égard, la nécessité de rétablir la fonction des établissements scolaires en tant que lieux de « production du savoir » et d’inculcation des valeurs du vivre-ensemble et du respect de l’autre.
Tout est à refaire et vous en héritez .
Monsieur Jelloul , il vous faut mobiliser tous les acteurs , syndicats , enseignants , ministères , parents et tous les spécialistes car le chantier est titanesque et il y va de l'avenir du pays .
Il est utile de rappeler que l'école forme les citoyens de demain et que malheureusement l'échec est accablant malgré la bonne volonté de certains .
Bon courage Monsieur Jelloul , vous en aurez besoin .
Toutes les déviances qu'on relève aujourdh'hui sont l'expression de l'echec de l'enseignement en Tunisie. On a oublié de former des citoyens, on mettait pourtant beaucoup d'argent dans ce secteur. Mais les méthodes et les hommes étaient à côté des objectifs. Il faut maintenant par voie consensuelle entre les interéssés aboutir à un profil d'enseignant, qui comportera les qualités qu'il doit avoir et le contenu qu'il doit livrer avec conviction aux élèves.
Est défectueuse surtout les plans.
Encore mieux les années de l'indépendance
De la Tunisie.il y avait de l'entretien
De l'eau et surtout des cantines scolaires
Dans toutes les écoles primaires.
Les responsables de la dégradation sont
En premier les directeurs et les autorités
Le wali,le moatamed,et le directeur
S'intéressent uniquement a leurs intérêts
Et dans le passé au PSD. Et rcd.
Des tables encore de1950,des fenêtres
Cassés, la cour pleine de boue et cailloux
Un trou nauséabond c'est les toilettes
Pas de chauffage.......etc.
Des conditions défavorables pour la scolarité, et pour cela 50% des écoliers
Décrochent,a rajouter la pauvreté, les
5 a 10 kms.a marcher par jour,il fait
Nuit pour les 6 a 10 ans face au danger
Des chiens errants,des sangliers,des
Loups,des délinquants.
30% éliminés par le concours il reste
Que 15% qui vont au collège.
Ils ont tué des millions de jeunes enfants
Devenus des analphabètes marginaux au
Chômage a vie.
Qui va payer ce dégât et cette catastrophe
Il est trop tard, on a massacré 7 générations d'écoliers par négligence.
D'où vous allez sortir l'argent me le
Nouveau ministre,les écoles n'ont pas de
Budget de fonctionnement,même pas un
Pansement ou médicament,ni infirmerie,
Ni salle de sport ni salle de repos
De permenance, ni bibliothèque,ni livre,
Ni même un hangar pour se protéger de la
Pluie,de la canicule,du vent ,du danger,
De la tempête de sable.
C'est une honte pour la Tunisie et surtout
Les écoles a la campagne sans ramassage
Scolaire,sans clôture et sans le minimum.
Les instituteurs sont des cas sociaux sans
Logements que dire des écoliers.

