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Marouen Achouri, journaliste en grève

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Les journalistes tunisiens font grève le 17 septembre pour défendre un droit des citoyens et une liberté de journalistes. L’accès à une information libre et indépendante est l’un des fondements de la construction d’une démocratie.
Mais au-delà de ces considérations, l’accès à une information libre est l’un des droits des citoyens tunisiens. Faire obstruction à ce droit justifie en lui-même la contestation, non seulement de la part des journalistes, mais de l’ensemble de la société tunisienne.
Comme son prédécesseur, le pouvoir actuel a tenté de museler les médias et de les mettre à sa solde. Cette stratégie a commencé à voir le jour dès la prise de pouvoir. Mais les journalistes tunisiens ne se sont pas soumis. On oublie souvent que les journalistes sont aussi des citoyens, des citoyens qui sont allés devant le ministère de l’Intérieur un certain 14 janvier, des citoyens qui aspirent eux aussi à la justice, à l’égalité, à la dignité.
Forts de cette conviction de citoyen, et forts de la responsabilité que nous fait porter notre métier, nous, journalistes, nous ne céderons jamais et nous ne nous soumettrons jamais au pouvoir en place, quel qu’il soit. La vérité est notre crédo, la responsabilité est notre fardeau.
Vive la Tunisie libre et indépendante!
Mais au-delà de ces considérations, l’accès à une information libre est l’un des droits des citoyens tunisiens. Faire obstruction à ce droit justifie en lui-même la contestation, non seulement de la part des journalistes, mais de l’ensemble de la société tunisienne.
Comme son prédécesseur, le pouvoir actuel a tenté de museler les médias et de les mettre à sa solde. Cette stratégie a commencé à voir le jour dès la prise de pouvoir. Mais les journalistes tunisiens ne se sont pas soumis. On oublie souvent que les journalistes sont aussi des citoyens, des citoyens qui sont allés devant le ministère de l’Intérieur un certain 14 janvier, des citoyens qui aspirent eux aussi à la justice, à l’égalité, à la dignité.
Forts de cette conviction de citoyen, et forts de la responsabilité que nous fait porter notre métier, nous, journalistes, nous ne céderons jamais et nous ne nous soumettrons jamais au pouvoir en place, quel qu’il soit. La vérité est notre crédo, la responsabilité est notre fardeau.
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