
Quand on leur jette des os, les chacals accourent en meute. C’est pareil pour certains concitoyens, haineux et envieux, quand ils apprennent l’arrestation d’un riche qui a réussi dans son milieu. Ils accourent, ils se délectent, ils applaudissent comme si ce riche était responsable de leur pauvreté matérielle et d’esprit. C’était le cas, une énième fois, avec l’arrestation ce week-end des hommes d’affaires Youssef Mimouni et Abdelaziz Makhloufi.
M. Mimouni a été blanchi par la justice en 2013, mais il s’est débrouillé pour se trouver impliqué dans de nouvelles affaires sulfureuses qui lui ont valu un mandat de dépôt la semaine dernière.
Loin d’être blanc comme neige, M. Mimouni a entamé les démarches de la réconciliation pénale, imaginée par le pouvoir de Kaïs Saïed, et son dossier était sur la voie d’aboutir à une solution profitable à l’État et à lui. Qu’à cela ne tienne, un mandat de dépôt a été émis à son encontre, ainsi qu’un membre de sa famille (on ignore s’il s’agit de son fils ou de son épouse). Tonnerre d’applaudissements sur les réseaux sociaux qui parlent d’un gros poisson attrapé dans les filets de l’État.
Au-delà de la joie mauvaise (chmeta) et gratuite d’un nombre non négligeable de Tunisiens, il y a lieu de s’interroger sur ce processus de réconciliation pénale. Actuellement, on est au troisième round de ce processus, mais le nombre d’hommes d’affaires en prison ne cesse de s’agrandir de jour en jour. Si, comme a dit Kaïs Saïed, ce processus n’est pas du racket, alors pourquoi met-on les gens en prison, alors qu’ils ont entamé les démarches de réconciliation et accepté de payer ce que l’État considère comme de l’argent mal acquis ?
Si, comme a dit Kaïs Saïed, il n’y a aucun intérêt à ce que les hommes d’affaires soient en prison, alors pourquoi y sont-ils encore ?
Si, comme a dit Kaïs Saïed, ce processus se veut juste, alors pourquoi demande-t-on, aux hommes d’affaires emprisonnés, des sommes astronomiques dépassant parfois leur chiffre d’affaires (et je dis bien chiffre d’affaires et non bénéfice) ?
Si, comme a dit Kaïs Saïed, la réconciliation pénale va alimenter de milliards de dinars la trésorerie de l’État, alors pourquoi ce dernier n’a quasiment rien encaissé jusqu’à maintenant et que le processus ne cesse de multiplier les échecs. Des échecs que plusieurs ont prédit à l’avance, dont Business News.
Le cas de Youssef Mimouni n’est pas isolé, loin s’en faut. Lui, il est peut-être (et je dis bien peut-être) coupable de certaines fraudes et c’est pour cela qu’il a entamé les démarches de la réconciliation. D’autres, en revanche, ne cessent de clamer leur innocence, criant sur tous les toits qu’ils ont amassé leur fortune à la sueur de leur front. Ils sont riches, très riches, certes, mais ils ont payé tous leurs impôts et n’ont commis aucune fraude. Peu importe les preuves de leur innocence et les documents qu’ils présentent, on les a jetés derrière les barreaux et on les a oubliés. Tonnerre d’applaudissements sur les réseaux sociaux pour qui tout riche est forcément fraudeur. Ils estiment qu’on ne peut pas être riche sans avoir spolié l’État au passage.
Mehdi Ben Gharbia est en prison depuis le 16 octobre 2021. Il est oublié et ses multiples dossiers trainent.
Bien qu’il ait entamé les démarches de la conciliation pénale, Marouen Mabrouk est en prison depuis le 7 novembre 2023. Il est oublié et son dossier traine.
Mohamed Frikha est en prison depuis le 12 septembre 2023. Il est oublié et son dossier traine.
Ridha Charfeddine est en prison depuis le 10 novembre 2023. Il est oublié et son dossier traine.
En application de la règle judiciaire inébranlable et universelle, toutes ces personnes sont innocentes, puisqu’elles n’ont pas encore été condamnées. Alors pourquoi ces personnes innocentes croupissent-elles en prison depuis tout ce temps ?
Ces cas, aussi, ne sont pas isolés, loin s’en faut. Nos prisons comptent des dizaines d’hommes d’affaires, parmi les plus méritants et les plus honorables. Abdelaziz Makhloufi arrêté ce week-end en fait partie. Le monsieur a fait sa fortune dans l’huile d’olive et ses marques figurent parmi les meilleures du marché.
À ce dernier, les réseaux sociaux ont attribué l’achat de tracteurs à bas prix et l’obtention de prêts bancaires astronomiques. Son avocat dément catégoriquement ce qui est présenté, comme la vérité absolue, par certains faux-sachants égocentriques.
Ce qui s’est passé avec M. Makhloufi s’est passé à l’identique avec M. Ben Gharbia, M. Mabrouk, M. Frikha, M. Charfeddine et bien d’autres. On attribue à ces hommes d’affaires des fraudes et des richesses astronomiques, sans tenir compte de la présomption d’innocence et sans avoir une idée sur l’origine de leur fortune.
Ce raccourci prévalant que tout homme riche est fraudeur est insupportable. « Vous ne me verrez jamais m’asseoir à côté d’un nanti », a dit un jour Kaïs Saïed. Il a sonné le tocsin et a ouvert une autoroute pour que les chacals de tous bords stigmatisent et vilipendent les riches. C’est du populisme à deux balles et on aurait pu en rire, s’il n’y avait pas tant d’innocents en prison dont les entreprises sont en déliquescence et en danger. La prison n’a pas d’impact sur les hommes d’affaires uniquement, elle a également un impact sur leurs entreprises, sur leurs employés et sur l’économie nationale. Non seulement, l’État n’a rien gagné avec la détention de ces hommes d’affaires, mais en plus il perd énormément de recettes à cause de la déliquescence de leurs entreprises.
En parallèle de ces détentions, l’État consacre des dizaines de millions de dinars pour les entreprises communautaires au business model inconnu du monde universel des affaires. Des entreprises communautaires qui vont être gérées par des jeunes qui ont été incapables de prouver une quelconque compétence afin de décrocher un emploi sur le marché du travail.
L’État consacre par ailleurs une enveloppe de 1,17 milliard de dinars d’allocations pour les familles dites nécessiteuses, en accordant une allocation mensuelle de 260 dinars à quelque 340 mille familles.
Pour alimenter son budget, l’État prélève plus de la moitié du revenu des Tunisiens sous formes d’impôts et taxes.
En clair, la politique de l’État se résume à retirer de l’argent à ceux qui travaillent pour le donner à ceux qui ne travaillent pas. Il enlève aux riches pour donner aux pauvres.
La règle veut que l’on soit toujours le riche de quelqu’un et le pauvre de quelqu’un d’autre. Donc quel que soit ton degré de richesse, on va essayer de t’enlever une partie de ce que tu as, aussi infime soit-elle, pour la donner à ceux qui n’ont pas. Plus on monte dans la richesse, plus tu es exposé et plus on te prélève. Et à un certain moment, quand on t’aura prélevé bien davantage que du raisonnable, on commence à te racketter et à te faire du chantage. En t’emprisonnant par exemple.
Si cette politique était judicieuse, elle aurait été appliquée dans le monde développé et dans les pays riches. Or il a été démontré, partout dans le monde et depuis des siècles, que retirer leur argent aux riches pour donner aux pauvres ne fait pas sortir ces derniers de leur pauvreté. Cette politique ne fait que répondre à des instincts abjects de jalousie et d’envie. La jalousie des pauvres envers ceux qui sont plus riches qu’eux. Quand on est à pied, on envie celui qui est en bus. Celui qui est en bus envie celui qui est en moto. Celui en moto envie celui en voiture. Celui en voiture envie celui en yacht. Et celui en yacht envie celui en avion.
En imposant les riches plus que de raison et en rackettant les gros riches en les jetant en prison, l’État ne va pas enrichir les pauvres, il va juste essayer d’appauvrir les riches. Conscients de la menace, ces derniers vont prendre la poudre d’escampette. On ne compte plus les médecins, les ingénieurs et les hommes d’affaires qui ont quitté le pays pour fuir un régime rapace. Autant d’impôts qu’ils payaient qui vont manquer à la caisse de l’État. On ne compte plus les investisseurs qui rechignent de venir en Tunisie à cause du climat d’affaires nauséabond. Autant d’investissements et d’impôts qui vont manquer à la caisse de l’État. On ne compte plus les entreprises qui ferment et les emplois qui se perdent à cause de cette politique de forte imposition et de racket. L’État perd les impôts des entreprises, mais également ceux de leurs employés. Pire, il ralentit la croissance et doit trouver des emplois aux nouveaux chômeurs.
En enlevant aux riches pour donner aux soi-disant pauvres, en imposant et en taxant ceux qui travaillent à plus de 50% et en emprisonnant les hommes d’affaires les plus illustres et les plus productifs, l’État adopte une politique où tout le monde est perdant. Les riches partent ailleurs et les pauvres restent pauvres.


Les opprimés, les brisés, les rejetés d'autres fois par le système traditionnel, se révoltent contre les intouchables, les gâtés pourris, corrompus, les vendus,... du système d'autres fois
Ils réclament la reconnaissance et le respect de leurs droits et de leurs vies. Tout simplement
Ni riches ni pauvres
Il faut donc, tous les enfermer.
La richesse, l'argent qu'est ce qu'on s'en fout. La richesse c'est richesse du c'?ur, de l'éducation.....
Ramassage , ramassage avec "halilh haramihi" ce n'est pas de la richesse malheureusement. Il y a des corrompus à tous les coin de rues qui dorment tranquilles, la conscience est morte.
Il faut détruire les riches par haine ou par stupidité ou par incompétence de proposer des solutions!
Ainsi va la vie,il en faut des nantis et des gens dans le besoin,el merkanti hajtou bél zéwèli ouel zéwèli hajtou bél mercanti,c'est le propre de toute société travailleuse en marche pour le développement;ceci dit s'il en faut de pareilles couches sociales dans toute société,cela ne veut pas dire pour autant qu'une personne a pour vocation de faire partie durant toute sa vie de la même catégorie!
Combien d'héritiers ont-ils dilapidé la fortune de leurs parents!
Combien de Issami par leur propre mérite,par le travail et l'abnégation ont-ils gravi l' ascenseur
social?
Je trouve que l'on ne fait pas assez l'éloge du TRAVAIL,seule valeur pouvant faire progresser toute société mais cette idée saugrenue de vouloir "tnahhi chèchiyèt hèdhè mouch thothè âlè chèchiyét hèdhè" n'aura pour seul effet que de paupériser toutes les couches sans distinction de la Société,Seule la Cour proche du Roi et les détenteurs d'une autorité quelconque (surtout celle de la Force publique) parviendront à s'engraisser sur le dos de la Bête en toute impunité.....
La demande d'un impôt foncier unique sur tous les actifs supérieurs à un million de TDN par exemple et une réintroduction de l'impôt sur la fortune ordinaire sur tous les actifs supérieurs à un million de TND.
Un prélèvement sur la richesse ne submergerait personne des super riches et il y aurait bien sûr des exemptions pour les actifs commerciaux. Mais ici aussi, si l'Etat n'avait pas sauvé l' économie et le tourisme avec ses moyens, de nombreuses entreprises n'auraient pas survécu. Il est donc temps pour un pour cent des super-riches de redonner quelque chose à la société.
Il faut différencier la richesse gagnée par un travail honnête et la responsabilité des entreprises doit être évaluée par rapport à la richesse des spéculateurs.
Regardez la bourse, les spéculateurs et les sauterelles!
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A) Je pourrais rendre nos pauvres encore plus riche que nos riches, et ceci par leur propre travail et assiduité. Comment? Oui, par la l'agriculture en hors sol pour les sans terres agricoles. Et par la production des logiciels et la création de sociétés de services sur le web. Oui le Web est immense et il y a ainsi de la place pour tout le monde et pour toutes les idées...
Nous n'avons pas besoin de produire nos propres satellites et drones, nous n'avons pas besoin de produire une voiture à 100% tunisienne --> non, nous avons besoin plutôt d'une révolution agraire et pour cela il faudrait produire des engrais agricoles liquides inodores et les distribuer à très bon prix afin de démarrer enfin une agriculture urbaine en hors sol dans tous les coins de la République.
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Ce sont les sans terres qui pratiqueraient une agriculture en hors sol qui pourraient garantir l'autosuffisance alimentaire et l'exportation du surplus...
- les plantes n'ont qu'un seul désir: pousser et donner des fruits et des légumes -> pour cela, elles ont besoin d'engrais même liquides, de la lumière et d'une température ambiante adéquate. La majorité des plantes légumières n'ont pas besoin de terre/sol. --> la productivité au mètre carré pourrait être 80 fois supérieure à des cultures de plein champ: Aquaponie, LED en tant que lumière, les racines baignent dans des engrais biologiques, etc., etc., etc. --> on atteint ainsi des rendements affolants car il n'y a plus de saison. Ces techniques permettent de dépasser les contraintes climatiques et des sols. C'est une agriculture en hors sol à la porté de tout le monde et qui ne laisse rien au hasard.
Je donne l'exemple du Maroc où l'exportation des tomates fraîches (plantées en hors sol) a rapporté 1 milliard de dollars en 2023, ce qui fait plus que 3 milliards de DT
--> Il est temps d'encourager l'agriculture en hors sol par les sans terre en Tunisie afin de financer une partie de nos importations. En effet, il y a trop de voitures, trop d'avions, trop de satellites, trop de drones sur notre planète terre, mais il n'y a pas assez à manger... Il est plus facile d'exporter des tomates et des courgettes que des drones et des Satellites --> alors, "il faut cultiver notre jardin [qui est la Tunisie]"
B) Les confusions politico-judiciaires:
J'ai beaucoup appris au cours de mon expérience professionnelle dans les plus grandes entreprises allemandes(BMW, Bosch, Siemens, Enseignant à l'école et à l'université allemande, etc., etc., etc.) Et aujourd'hui, je compte rentrer au pays, à mon village Tazarka, afin de donner naissance à ma propre entreprise de logiciel et transmettre mon savoir faire et mon expérience aux plus jeunes. --> Par contre toutes ces confusions politico-judiciaires et les emprisonnements abusifs et exagérés ne m'encouragent pas à rentrer au pays...
bonne journée
Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien Résident à l'étranger
PS: L'humanité a besoin plutôt d'une révolution agrico-architecturale:
Une habitation/maison moderne devrait avoir aussi un abri vitré où l'on cultive ses fruits et ses légumes. Chaque Appartement devrait avoir une terrasse vitré pour une autosuffisance légumière. Ce que je propose est une nouvelle vision architecturale urbanistique et une nouvelle forme de culture agricole. Oui, il est temps d'intégrer à sa maison ou à son appartement un abri vitré où l'on cultive ses légumes et ses fruits même au prix de renoncer à la salle de séjour ou à la salle à manger. Une terrasse abritée de 20 m2 d'agriculture urbaine pourrait produire autant de tomates, de piments, de salades, etc. afin de nourrir une ou même plusieurs familles. -->et pour cela nous avons besoin d'engrais liquides inodores (Qui ne dégagent pas d'odeur).
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C'est dans l'intensité, la régularité et le renouvellement du débat socio-politique / -économique que se forge le gouvernement du peuple. La bonne santé de notre jeune démocratie tunisienne se mesure à ses contre-pouvoirs. Voilà pourquoi l'indépendance des médias, de la justice, l'activité syndicale et la qualité du débat parlementaire concernent tous les Tunisiens.
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A) Je pourrais rendre nos pauvres encore plus riche que nos riches, et ceci par leur propre travail et assiduité. Comment? Oui, par la l'agriculture en hors sol pour les sans terres agricoles. Et par la production des logiciels et la création de sociétés de services sur le web. Oui le Web est immense et il a y a ainsi de la place pour tout le monde et pour tous les idées...
Nous n'avons pas besoin de produire nos propres satellites et drones, nous n'avons pas besoin de produire une voiture à 100% tunisienne --> non, nous avons besoin plutôt d'une révolution agraire et pour cela il faudrait produire des engrais agricoles liquides inodores et les distribuer à très bon prix afin de démarrer enfin une agriculture urbaine en hors sol dans tous les coins de la République.
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Ce sont les sans terres qui pratiqueraient une agriculture en hors sol qui pourraient garantir l'autosuffisance alimentaire et l'exportation du surplus...
- les plantes n'ont qu'un seul désir: pousser et donner des fruits et des légumes -> pour cela, elles ont besoin d'engrais même liquides, de la lumière et d'une température ambiante adéquate. La majorité des plantes légumières n'ont pas besoin de terre/sol. --> la productivité au mètre carré pourrait être 80 fois supérieure à des cultures de plein champ: Aquaponie, LED en tant que lumière, les racines baignent dans des engrais biologiques, etc., etc., etc. --> on atteint ainsi des rendements affolants car il n'y a plus de saison. Ces techniques permettent de dépasser les contraintes climatiques et des sols. C'est une agriculture en hors sol à la porté de tout le monde et qui ne laisse rien au hasard.
Je donne l'exemple du Maroc où l'exportation des tomates fraîches (plantées en hors sol) a rapporté 1 milliard de dollars en 2023, ce qui fait plus que 3 milliards de DT
--> Il est temps d'encourager l'agriculture en hors sol par les sans terre en Tunisie afin de financer une partie de nos importations. En effet, il y a trop de voitures, trop d'avions, trop de satellites, trop de drones sur notre planète terre, mais il n'y a pas assez à manger... Il est plus facile d'exporter des tomates et des courgettes que des drones et des Satellites --> alors, "il faut cultiver notre jardin [qui est la Tunisie]"
B) Les confusions politico-judiciaires:
J'ai beaucoup appris au cours de mon expérience professionnelle dans les plus grandes entreprises allemandes(BMW, Bosch, Siemens, Enseignant à l'école et à l'université allemande, etc., etc., etc.) Et aujourd'hui, je compte rentrer au pays, à mon village Tazarka, afin de donner naissance à ma propre entreprise de logiciel et transmettre mon savoir faire et mon expérience aux plus jeunes. --> Par contre toutes ces confusions politico-judiciaires et les emprisonnements abusifs et exagérés ne m'encouragent pas à rentrer au pays...
bonne journée
Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien Résident à l'étranger
PS: L'humanité a besoin plutôt d'une révolution agrico-architecturale:
Une habitation/maison moderne devrait avoir aussi un abri vitré où l'on cultive ses fruits et ses légumes. Chaque Appartement devrait avoir une terrasse vitré pour une autosuffisance légumière. Ce que je propose est une nouvelle vision architecturale urbanistique et une nouvelle forme de culture agricole. Oui, il est temps d'intégrer à sa maison ou à son appartement un abri vitré où l'on cultive ses légumes et ses fruits même au prix de renoncer à la salle de séjour ou à la salle à manger. Une terrasse abritée de 20 m2 d'agriculture urbaine pourrait produire autant de tomates, de piments, de salades, etc. afin de nourrir une ou même plusieurs familles. -->et pour cela nous avons besoin d'engrais liquides inodores (Qui ne dégagent pas d'odeur).
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En france et aux usa vous faites de la detention provisoire pendant 1 a 2 ans avant votre proces (en moyenne ) quand les preuves sont suffisantes .
Ces hommes que vous nommés hommes daffaires ont ete des voleurs ou des corrupteurs qui ont gagnés des marchés face a des citoyens honnetes tunisien et travailleurs non pas parcequ ils avaient le meilleurs produits mais parcequ ils connaissaient ben ali trabelsi ghanoucho ...
Les lois antimafia americaine et italiennes sont clairs tous leurs biens doivent etre vendu . Les voles passés ne peuvent etre prescrit ou conduire a un changement de classes sociales cela va contre la justice . C est comme si je vendais de la drogue et tuais des gens pendant 10 ans et qu il suffit de faire 5ans de prison pour que mes actifs soit blanchis. Je dirai que j ai payé ma dette a la societe mais je( ainsi que ma famille ) reste a la tete des millions que j ai fait dans l illegalité, est ce moral ? La majorité des pays occidentzux du monde demantelent ces groupes mafieux .
Votre deuxieme partie de votre article est juste dans le fond , que ceux qui travaillent + gagnent le + . d ailleurs cela rentre en contradiction a votre premiere partie car les hommes que vous avez cité n ont pas travaillé le + . Ils ont corrompu le + .
Mais votre article permet et ouvre le debat.
L'incapable est-il ROBOCOP à qui il a été confié le destin des riches et des pauvres.
Incapable ou fou?
C'est simple, non!
En.principe, lorsque l'Etat donne cela s'appelle de la redistribution, et ce n'est pas un don.
Et dans leurs cas, les pauvres vont consommer, ce qui veut dire remettre cet argent dans le circuit, payer des taxes.....
Les riches, comme il est convenu ici de nommer les possédants, n'ont pas de besoin.immediat ou urgent pour faire de même, alors ils thésaurisent......
Et les riches boivent, aussi, et pas le même alcool ce qui a pou effet une ivresse de "classe".
Un riche qui boit trop, le fait chez soi et en toute discrétion, une ivresse qui ne se voit pas.
Donc, les riches ne se saoulent pas.
Les pauvres, en revanche, ont cette impudeur d'être trop voyants.
Quand on donne aux riches, ils vont créer des richesses et de l'emploi. Cets aussi simple que ça
car lorsque les pauvres n'ont pas d'argent, il ne peuvent acheter, et faire tourner la machine économique.
il faut faire payer les riches, pas pour enrichir les pauvre, mais pour faire tourner l'économie.
redistribuer aux pauvres, ne les fera pas riches.
dans les pays sous développés, les riches ne paient rien, les pauvres sont seignés .
injuste et rrrrrrrrrévoltant.
çà s'appelle : WELFARE. et c'est nécessaire pour l'économie, mème si çà déplait aux riches.
Nos pauvres à nous replissent les cafés et refusent de travailler. Cets pour ça que les subsahariens réussissent à trouvé de petits boulots que les tunisiens refusent de faire.
Allez trouver aujourd'hui un plombier, un peintre ou une femme de ménage ! Il n'y en a plus ! Pourtant les cafés sont remplis de chômeurs qui ne veulent pas de ce genre de boulots et veulent entrer dans l'administration qu'ils considèrent comme un clou dans un mur. Alors non, si j'ai une Bentley et que j'ai payé mes impots, je refuse de donner d'avantage pour aider un feignant