Le projet de la Loi de finances 2025 augmente les impôts pour tous les Tunisiens ayant un revenu jugé élevé et les entreprises qui engrangent de gros bénéfices. Il est totalement contraire des pratiques mondiales et des taux observés dans une bonne partie des pays développés. Pour résumer la situation à la lumière des nouveaux taux imposés, on constate que le Tunisien va payer à l’État plus de 50% de ses revenus, ce qui revient à dire qu’il va travailler du 1er janvier au 30 juin pour l’État et ne va commencer à travailler pour sa famille qu’à partir du 1er juillet.
À la lecture en diagonale du projet de la Loi de finances 2025 (PLF), il est facile de constater qu’il ressemble comme deux gouttes d’eau à celui d’un pays sous-développé. Un pays où l’État saigne le citoyen pour financer le train de vie de ses dirigeants et de ses fonctionnaires.
Pour la Tunisie, et à l’exact opposé de ce que répète inlassablement le président de la République, le PLF 2025 va détériorer davantage le pouvoir d’achat du citoyen avec des taux d’imposition usuriers.
Sans entrer dans les explications techniques rébarbatives et le jargon incompréhensible des économistes et financiers que seuls les experts comprennent, tentons de simplifier la lecture de ce projet de loi de finances venu d’un autre âge.
Les stratèges du ministère des Finances ont imaginé des paliers évolutifs de l’imposition. Pour ceux qui reçoivent moins de 5.000 dinars par an (c’est-à-dire ceux qui touchent moins que le Smig), ils ont 0% d’impôt. Pour les Smigards et les faibles salaires (entre 5.000 et 20.000 dinars bruts annuels), ils devraient désormais payer 15% d’impôt (pour les inférieurs à 10.000 dinars bruts annuels) et de 25% (pour les inférieurs à 20.000 dinars bruts annuels) au lieu de 26% précédemment. Une bonne mesure sociale qui vient au secours des plus démunis, mais également d’une bonne partie des salariés du secteur privé et des enseignants dont les salaires nets mensuels moyens, selon l’INS, est de respectivement cinq cents dinars et huit cents dinars.
Mais comme il faut que quelqu’un paie, le gouvernement propose d’augmenter tous ceux qui gagnent plus de 20.000 dinars par an, soit un salaire mensuel net d’approximativement 1.300 dinars. C’est-à-dire la majorité des fonctionnaires, des ingénieurs, des médecins, des pharmaciens, etc.
En paliers, ceux qui touchent entre 20.000 dinars et 30.000 dinars annuels (soit entre 1.300 et 2.000 dinars nets mensuels approximativement) doivent payer désormais 30% d’impôt au lieu de 28% précédemment. Ce palier touche une partie des cadres intermédiaires, des ingénieurs et d’une bonne partie de la classe moyenne tunisienne.
Dès lors que le salaire net mensuel dépasse les 2.000 dinars, le salarié doit payer 33% d’impôt et 36% d’impôt si son salaire dépasse les 2.600 dinars, contre 32% précédemment pour ces deux catégories. Ce palier touche une partie des cadres supérieurs, des médecins et des enseignants universitaires. Une fois on a des revenus annuels bruts supérieurs à 50.000 dinars (soit 3.250 dinars mensuels nets), l’impôt sera désormais de 40% au lieu de 35% précédemment. Ce palier englobe une autre partie des cadres supérieurs, plusieurs médecins, les pharmaciens, les avocats, les dirigeants d’entreprises, les banquiers, certains hauts cadres de la fonction publique et des entreprises publiques, etc.
Outre les salariés, le PLF 2025 prévoit des hausses considérables pour les impôts sur les bénéfices (IS) pour certaines catégories d’entreprise comme les banques et assurances, les sociétés d’investissement, les grandes surfaces, les concessionnaires automobiles, etc. Pour certaines d’entre-elles, l’IS passe de 25% à 35% voire à 40%. Curieusement, il exclut l’industrie pharmaceutique de ces paliers usuriers, alors que les laboratoires sont connus pour figurer parmi celles qui engrangent le plus de bénéfices.
Le PLF prévoit, par ailleurs, une absurdité, celle calculant l’IS sur la base du chiffre d’affaires et non sur la base du bénéfice comme avant. Faut-il rappeler que certaines entreprises font de gros chiffres d’affaires, mais n’ont que de très faibles marges bénéficiaires et donc un faible bénéfice net à la fin de l’année ? Corréler le chiffre d’affaires avec l’impôt sur le bénéfice n’a aucun sens économique. Comme son nom l’indique, l’impôt sur le bénéfice doit être corrélé avec le bénéfice. Quant au chiffre d’affaires, l’État le considère déjà dans sa TVA.
Avec ces paliers, l’État semble offrir quelques cadeaux à certaines catégories démunies de la société, mais c’est un faux cadeau, car in fine, tout le monde va passer à la casserole que ce soit les faibles ou les gros revenus.
En augmentant les impôts dus aux banques, aux assurances, aux concessionnaires automobiles, aux opérateurs téléphoniques, aux grandes surfaces et autres, le gouvernement pense soutirer aux riches (hypothétiques) pour donner aux pauvres. Sauf que voilà, pour maintenir tels quels (voire augmenter) leurs bénéfices, ces entreprises vont systématiquement impacter les augmentations sur leurs prix finaux.
Cette inflation sera inévitablement supportée par le consommateur, qu’il soit riche ou pauvre. En clair, le gouvernement a certes donné quelques pourcents aux catégories démunies, mais il va leur enlever de la main gauche ce qu’il leur a donné de la main droite. Et il va leur enlever bien plus que ce qu’il leur a donné.
En résumé, si l’on prend en considération les différents paliers d’imposition et que l’on ajoute la TVA de 19% sur la majorité des produits vendus dans le pays, on trouve que l’État touche plus de 50% des revenus d’un large pan des citoyens. Pour schématiser ce pourcentage, le Tunisien va travailler le premier semestre pour le compte de l’État et le second pour sa famille.
Réagissant à la polémique de ce PLF 2025, le secrétaire général du parti Attayar estime que les mesures sont justes. Il rappelle que l’IS était de 25% pour tout le monde et que ce taux a été réduit pour encourager l’investissement. Constatant que l’investissement n’a pas décollé, il conclut que la mesure de réduire l’IS n’a pas atteint ses objectifs. Il rappelle que la TVA, les droits de douane et droits de consommation sont payés par les citoyens et non par les fonctionnaires. Dans la foulée, il observe que les entreprises paient des impôts sur les bénéfices et non sur les revenus et que les actionnaires ne paient que 10% sur les dividendes, alors que les salariés paient jusqu’à 40% de leurs revenus.
M. Hajji fait des raccourcis abjects en comparant l’incomparable et en omettant certains détails.
De tous temps et dans tous les pays, la TVA, les droits de douane et droits de consommation sont payés par le consommateur final. Contrairement à ce qu’il prétend, les entreprises paient également ces TVA et divers droits quand elles achètent des produits.
Il n’y a pas de lien de cause à effet entre le chiffre d’affaires et le bénéfice. Une grande surface fait de très gros chiffres d’affaires, mais sa marge tourne entre 2% et 9%. Un café ou une pizzeria fait un petit chiffre d’affaires, mais sa marge dépasse très souvent les 100%.
Pour ce qui est des 10% d’impôt sur les dividendes payés par les actionnaires, il faut rappeler que cet impôt est des plus aberrant, car l’entreprise a déjà payé l’impôt sur les bénéfices. Il s’agit carrément d’un impôt prélevé deux fois ! Pour illustrer et simplifier le propos, considérons qu’une entreprise est détenue par un seul actionnaire. Celui-ci paie 40% d’impôt sur le bénéfice une première fois puis 10% une seconde fois. Le premier s’appelle IS et le second s’appelle impôt sur les dividendes.
Par ailleurs, Nabil Hajji exclut de son raisonnement un point des plus importants. Le fonctionnaire ou le salarié continue à toucher son salaire quand bien même son entreprise est déficitaire (ou l’État est en déficit comme c’est le cas du nôtre). En parallèle, l’entreprise et ses actionnaires prennent tous les risques et supportent, tous seuls, les pertes.
Enfin, en déclarant que l’investissement n’a pas décollé depuis la réduction de l’IS par le gouvernement Mechichi, M. Hajji oublie la situation politique désastreuse dans laquelle vit le pays. Quand bien même on ferait une IS à zéro, aucun investisseur ne risquerait son argent dans un pays où il n’y a pas de justice indépendante et où le chef de l’État s’assoit sur la constitution et les lois.
Cette stratégie du gouvernement d’imposer à tout va est à l’exact contraire des politiques observées dans les pays développés. Il y a une règle ancestrale qui dit que « trop d’impôt tue l’impôt ». Il a été démontré par tous les pays développés qu’il fallait justement réduire les impôts pour améliorer l’investissement et la croissance et, par conséquent, les revenus de l’État.
Si l’on gagne plus, c’est que l’on travaille plus et que l’on est plus méritant. En imposant ceux qui travaillent le plus et le mieux pour donner aux plus démunis et les moins méritants, le gouvernement risque fort d’obtenir l’effet inverse. Il ne va pas obtenir plus d’impôt, il va en obtenir moins comme cela a été déjà démontré, depuis des décennies dans les pays développés. Il va pousser à l’évasion fiscale et à l’émigration.
"Le pire est que cet argent ne va pas servir les pauvres, aider au développer ou dans l'investissement à l'ong terme, il va juste servir à payer le train de vie onéreux de l'Etat et à subventionner ceux qui aident le pouvoir, à l'instar des sociétés communautaires. Il n'y a aucun véritable plan stratégique de l'Etat, absolument aucun, on ne sait pas où l'on va", commente un chef d'entreprise inquiet sur l'avenir de sa société et du pays.
On l’a déjà vu avec plusieurs entreprises qui ont quitté la Tunisie ces dernières années, ce qui revient à dire que l’État ne va plus avoir d’IS de ces entreprises, qu’il ne va plus collecter de la TVA de leurs activités et va perdre tous les impôts que payaient les salariés de ces entreprises et qui se trouvent, du coup, au chômage. Idem pour certaines catégories professionnelles que l’État tient à saigner comme les médecins et les ingénieurs. Ces hauts cadres formés par l’école tunisienne partent par milliers vers d’autres contrées qui se les arrachent à prix d’or.
Au lieu de tirer exemple des expériences décennales des autres pays, le gouvernement tunisien agit via son PLF, comme un pays sous-développé recroquevillé sur lui-même et qui ne pense qu’à son propre budget.
Raouf Ben Hédi
oui, j'accep^te de payer des impots, à condition : l'état doit dépenser mon agrent à bon escient.
pas de gaspillage, et pas un Chékel pour isra-HELL.
en effet , les grades surfaces que vous connaissez paient très peu d'impots et xportent leurs benefs en devises.
encore s'ils contribuent à xporter nos produits, eg. harissa, degla ...
mais surtout pas à importer des produits superflus eg. whiskey, bananes ...
je dis: pas un Chekel pour isra-HELL !!
L'avenir radieux avec M. Propre s'annonce serein, "apaisé"...égal pour tout le monde.
la viande s'envole aussi..
votre dictateur il va dire quoi maintenant "khatini, c'est pas moi, moi c'est M. Prtopre-Ndhif, c'est les spécultateurs, les contrebandiers et c'est un complot !"
Introduction: Le mérite devrait déterminer la hiérarchie sociale et professionnelle... Oui aux impôts du PLF2025, mais à condition d'investir cet argent pour le long terme et non pas pour l'exonération des viandes rouges importées des droits de douanes de 30% et de la TVA de 7% (--> le prix d'un Kg de viande rouge devrait tomber à 0,7x0,93x40dinars = 26dinars le Kg --> le plus bas niveau depuis 10 ans --> wait and see...)
- Le problème de certains de nos politiciens c'est qu'ils vivent dans un monde idéel, c.à.d un monde où règnent les idées, loin du réel qui est un monde factuel: un monde des faits.
- Certains de nos politiciens n'acceptent pas ce qui est, mais ne voient que ce qui pourrait être. Certains de nos politiciens sont des idéalistes et refusent tout ce qui est réaliste et faits.
- Favoriser les pauvres sans aucun effort de leur part, c'est affaiblir la société. L'égalité ne signifie pas de prendre aux riches et de donner gratuitement aux pauvres, d'abaisser ainsi les riches au niveau des pauvres et faire ainsi de la pauvreté la norme en demandant aux riches par la loi de se conformer à cette norme.
Dans une société égalitaire, les riches deviennent les esclaves des pauvres puisqu'ils travaillent afin de financer la vie des pauvres. Ils deviennent les esclaves de la volonté des pauvres par la loi.
--> Les pauvres vont ainsi culpabiliser les riches d'être riche et de construire ainsi la condamnation morale de la richesse ce que Nietzsche appelle "un renversement des valeurs"
Certes la survie de notre société tunisienne n'est pas seulement une affaire de compétition entre riche et pauvre, mais aussi une affaire de coopération et d'entraide entre les Tunisiens. En effet, l'entraide est un facteur de l'évolution. Exemple: Les paysans de mon village Tazarka n'auraient aucune chance de survie socio-économique sans l'entraide et ils le font par intérêt.
Fazit: La Tunisie devrait être un système socio-politique dans lequel le mérite détermine la hiérarchie sociale et professionnelle. --> Chaque Tunisien devrait être responsable de sa vie, de sa nutrition, de ses initiatives, de ses ambitions et l'Etat tunisien devrait garantir en particulier la justice sociale / judiciaire, l'égalité des chances et des possibilités socio-économiques pour tous afin que la méritocratie réussisse.
Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien résidant à l'étranger
C'est dans l'intensité, la régularité et le renouvellement du débat socio-politique / -économique que se forge le gouvernement du peuple. La bonne santé de notre jeune démocratie tunisienne se mesure à ses contre-pouvoirs. Voilà pourquoi l'indépendance des médias, de la justice, l'activité syndicale et la qualité du débat parlementaire concernent tous les Tunisiens.
Introduction: Le mérite devrait déterminer la hiérarchie sociale et professionnelle...
- Le problème de certains de nos politiciens, c'est qu'ils vivent dans un monde idéel, c.à.d un monde où les idées qui règnent et loin du réel qui est un monde factuel: un monde des faits.
- Certains de nos politiciens n'acceptent pas ce qui est, mais ne voient que ce qui pourrait être et qui n'est pas en réalité. Certains de nos politiciens sont des idéalistes et refusent tout ce qui est réaliste et faits.
- Favoriser les pauvres sans aucun effort de leur part, c'est affaiblir la société. L'égalité ne signifie pas de prendre aux riches et de donner gratuitement aux pauvres et d'abaisser ainsi les riches au niveau des pauvres et faire ainsi de la pauvreté la norme en demandant aux riches par la loi de se conformer à cette norme.
Dans une société égalitaire, les riches deviennent les esclaves des pauvres puisqu'ils travaillent afin de financer la vie des pauvres. Ils deviennent les esclaves de la volonté des pauvres par la loi.
--> Les pauvres vont ainsi culpabiliser les riches d'être riche et de construire ainsi la condamnation morale de la richesse ce que Nietzsche appelle "un renversement des valeurs"
Certes la survie de notre société tunisienne n'est pas seulement une affaire de compétition entre riche et pauvre, mais aussi une affaire de coopération et d'entre-aide entre les Tunisiens. En effet, l'entre-aide est un facteur de l'évolution. Exemple: Les paysans de mon village Tazarka n'auraient aucune chance de survie socio-économique sans l'entre-aide entre eux et ils le font par intérêt.
Fazit: La Tunisie devrait être un système socio-politique dans lequel le mérite détermine la hiérarchie sociale et professionnelle. --> Chaque Tunisien devrait être responsable de sa vie, de sa nutrition, de ses initiatives, de ses ambitions et l'Etat tunisien devrait garantir en particulier la justice sociale / judiciaire, l'égalité des chances et des possibilités socio-économiques pour tous afin que la méritocratie réussisse.
Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien résidant à l'étranger
C'est dans l'intensité, la régularité et le renouvellement du débat socio-politique / -économique que se forge le gouvernement du peuple. La bonne santé de notre jeune démocratie tunisienne se mesure à ses contre-pouvoirs. Voilà pourquoi l'indépendance des médias, de la justice, l'activité syndicale et la qualité du débat parlementaire concernent tous les Tunisiens.
Le problème de certains de nos politiciens, c'est qu'ils vivent dans un monde idéel, c.à.d un monde où les idées qui règnent et loin du réel qui est un monde factuel : un monde des faits. Certains de nos politiciens n'acceptent pas ce qui est, mais ne voient ce qui devrait être mais qui n'est pas en réalité. Certains de nos politiciens sont des idéalistes et refusent tout ce qui réaliste et faits.
Favoriser les pauvres sans aucun effort de leur part, c'est affaiblir la société. L'égalité ne signifie pas de prendre aux riches et de donner gratuitement aux pauvres et d'abaisser les riches aux niveau des faibles et faire ainsi de la pauvreté la norme en demandant aux riches par la loi de se conformer à cette norme.
Dans une société égalitaire, les riches deviennent les esclaves des pauvres puisqu'ils travaillent afin de financer la vie des pauvres. Ils deviennent les esclaves de la volonté des pauvres par la loi. Des pauvres qui vont culpabiliser les riches d'être riche et de construire ainsi la condamnation morale de la richesse ce que Nietzsche appelle "un renversement des valeurs"
Certes la Survie de notre société tunisienne n'est pas seulement une affaire de compétition entre riche et pauvre, mais aussi une affaire de coopération et d'entre-aide entre les Tunisiens. en effet, l'entre-aide est un facteur de l'évolution. Exemple: Les paysans de mon village Tazarka n'auraient aucune chance de survie socio-économique sans l'entre-aide entre eux et ils le font par intérêt.
Fazit: La Tunisie devrait être un système socio-politique dans lequel le mérite détermine la hiérarchie sociale et professionnelle. --> Chaque Tunisien devrait être responsable de sa vie, de sa nutrition, de ses initiatives, de ses ambitions et l'Etat tunisien devrait garantir en particulier la justice sociale / judiciaire, l'égalité des chances et des possibilités socio-économiques pour tous afin que la méritocratie réussisse.
Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien résidant à l'étranger
C'est dans l'intensité, la régularité et le renouvellement du débat socio-politique / -économique que se forge le gouvernement du peuple. La bonne santé de notre jeune démocratie tunisienne se mesure à ses contre-pouvoirs. Voilà pourquoi l'indépendance des médias, de la justice, l'activité syndicale et la qualité du débat parlementaire concernent tous les Tunisiens.
Sobhènè Rabbinè Al3athim !
Sont-ils également autorisés de faire d´autres activités lucrative supplementaires ?
Les entreprises privées ne font plus de bénéfices, donc elles font faillite.
Est-ce un régime communiste des années 70?
Pas de prêts = pas d'argent = pas d'investissements = pas de croissance = pas de tva = +++impôts = mettez la main a la poche = pas confort de vie = stresse = déchirement sociale = ta3asa = .. .
Testehel car t'as cru en populisme!
Ils ont reconduit un mode de gouvernance qui fait d eux des sujets soumis aux caprices de circonstance et non des citoyens titulaires de droits et d obligations
Soyons directs : les Tunisiens une fois de plus se sont fait rouler dans la farine
Ou plus précisément ils se sont faits tondre la laine sur leur dos a l insu de leur plein gré
Comme d' habitude
Un exemple concret et extrêmement nocif Come l a souligné l article : l imposition des entreprises au prorata du chiffre d affaires et non du bénéfice net
Une abberation pure et simple
Alors que dans les pays avancés comme le Canada ou l Allemagne on envisage d imposer les entreprises uniquement au prorata de leur marge opérationnelle
En Tunisien pays de génies universels un gouvernement osé taxer sur le chiffre d affaire.
En 2025
Il ne faut surtout pas minimiser la toxicité de cette sottise indigne d un étudiant de 1 ére année
Les entreprises dégageant une marge opérationnelle et ou commerciale faible vont automatiquement mécaniquement reporter leur surtaxztion sur le prix de leur bien ou service produit
Tout simplement
La conclusion immédiate et certaine de l ensemble des dernières mesures prises par ce gouvernement avec l aval du président est le renforcement de la STAGFLATION qui devient structurelle en Tunisie
VOUS AVEZ PIEGE R.B.H (qui a lu la L.F 2025 EN DIAGONALE) DANS SON ARTICLE A LA UNE :
'PLF 2025 : le Tunisien travaillera six mois pour l'?tat et six mois pour sa famille 18/10/2024 | 10:57
en ecrivant :
'Le PLF prévoit, par ailleurs, une absurdité, celle calculant l'IS sur la base du chiffre d'affaires et non sur la base du bénéfice comme avant'. (10 ème paragraphe de son article).
Un pays, géré par de tels malfrats applaudis par nos éternels suiveurs et serviteurs khobzistes de toutes sortes aux ordres de sa majesté, ne peut qu'avancer..
pour reculer !
Pourtant il a dit qu'il ne comprend rien en mathématiques et en économie. Alors qu'il écoute les conseils bor*** de m**** au lieu de s'obstiner à faire réussir coûte que coûte une idéologie perdante moyennant à des politiques périmées datant des années 60, quitte à maquiller l'échec de son entreprise par l'élaboration de statistiques biaisées en changeant les méthodes de calculs..
Des cancres qui veulent non une deuxième correction mais, vous lisez bien, modifier le barème !! On part du principe qu'on a réussi pour élaborer le barème et non l'inverse.. délirant sacrilège ! Pourquoi passer un examen et pourquoi des notes et pourquoi un taux de croissance ? Qu'on enlève tous ces chiffres, ils ne servent de toutes les façons à rien, absolument rien, et qu'on vit d'amour et d'eau fraîche quand bien même cette dernière soit selon les exigences des uns est des autres par moment habituellement souvent même inexistante !!
Tricheur un jour, tricheur toujours !
Et cet article, que vous pourriez lire est écrit par une journaliste et non par R.B.H. Et C'est bien ecrit sur l'article '(TEXTO): ' Le secrétaire général d'Attayar, Nabil Hajji a posté : 'Dans le projet de loi de finances 2025, le taux d'impôt sur le revenu, pour les entreprises dont le chiffre d'affaires est supérieur à vingt millions de dinars a été porté de 15 à 25 %. Nous insistons sur le fait qu'il s'agit d'un impôt sur le chiffre d'affaires et non sur le volume de transactions.'
Ce qui est CONTRAIRE au statut de NABIL HAJJI qui parle d'impot sur LE BENEFICE et non sur le chiffre d'affaire.
Avec plus de 600 000 fonctionnaires soit un fonctionnaire pour 18 habitants et une efficacité plus que médiocre des services publiques, toutes les ressources sont uniquement dédiés à payer cet
Ogre energivore de l'état au détriment de l'investissement et de la création de richesse !
Continuez de croire à ces charlatans et ces populistes et rendez vous dans quelque temps pour constater le carnage et un conseil préparez votre valise '?' si ce n'est déjà fait pour pas mal de jeunes '?'
Ce qui serait quasi impossible en démocratie.
Mais dans notre malheur on a une dictature d'incapables. Avec un president qui a chaque intervention n'arrete pas de nous prendre à témoin de son impuissance. Donc ça aussi elle en est incapable.
L'ETAT
Ecrit par A4 - Tunis, Août 2009
Ce n'est ni la roue
Ni les vis-écrous
Ni même le rail
Ou d'autres trouvailles
Qui sont les plus belles
Les plus sensuelles
Les meilleures en somme
Inventions de l'homme
C'est plutôt l'état
Dans tous ses états
Qui sûr à mes yeux
Se classera le mieux
C'est l'état de guerre
Qui tue et enterre
Dans des fosses communes
Lors de nuits sans lune
C'est l'état de folie
Qu'on attache au lit
Et qui chante et danse
Puis qui entre en transe
C'est l'état de manque
Qui braque les banques
S'agrippe et s'accroche
Et te vide les poches
C'est l'état-major
Qui te fait du tort
Affame ta mémé
Et gave son armée
C'est l'état liquide
Des eaux pas limpides
Qui coulent et qui glissent
Puis qui t'envahissent
C'est l'état d'ivresse
Qui t'oblige sans cesse
A remplir son pot
De taxes et d'impôts
C'est l'état civil
Qui tel un débile
Note tes pointures
Et progénitures
C'est l'état de siège
Qui tourne en manège
Et où bien s'asseoir
Constitue un art
C'est l'état de fuite
Qui sait agir vite
Détournant les malles
De la banque centrale
C'est l'état de ruine
Qui crie et qui couine
Et te rode autour
Tel un vrai vautour
C'est l'état d'alerte
Qui cherche ta perte
Se frottant les mains
Te sachant défunt
C'est l'état de choc
Qui agit en bloc
Et qui par surprise
Te rafle la mise
C'est l'état gazeux
mouvant et vaseux
Qui grogne et aboie
En langue de bois
C'est l'état des lieux
Qui se prend pour dieu
Construit des enfers
Sur terre comme en mer
C'est l'état statique
Où des gars s'appliquent
A freiner encore
Des gars au point mort
C'est l'état de grâce
Qui devant la glace
Admire sa bedaine
Huit jours par semaine
C'est l'état d'esprit
Qui veut que tu pries
Au moins par décence
Et obéissance
C'est l'état de santé
Atteint de cécité
Ne sachant quoi dire
Ment comme il respire
C'est l'état de crise
Sans matière grise
Formé de tarés
Vivant à tes frais
C'est l'état solide
Serrant fort ses brides
Te rouant de coups
Et te tordant le cou
Puis c'est l'état d'âme
Qui pour rien s'enflamme
Spoliant un à un
Veuves et orphelins
Certes la lecture de NABIL HAJJI de la L.F 2025 N'A PAS PLU à R.B.H!!!Et il veut MEIZ WA LAOU TAROU. Et il tient à la FAUSSE ET PROFANE LECTURE d'un EX-Secretaire D'un defunt parti, et d'un EX-MINISTRE DE L'EMPLOI SOUS CHAHED. UN professeur ou plutot un ingénieur en ELECTRONIQUE qui voudrait DONNER DES COURS EN ECONOMIE A L'ADMINISTRATION !!!!! '............................. offre une leçon d'économie à l'administration' B.N 16/10/2024 | 10:39.
C'est l'homme par qui le SCANDALE ou LA DEFORMATION , ou POLEMIQUE ARRIVAIT.
un conseil a monsieur en diagonale NE LISEZ PAS EN DIAGONALE!!!!
Je reste à la maison malgré que l'entreprise en a encore besoin de moi malgré mon âge avancé (67 ans).
L'entreprise m'appelle encore pour travailler ce n'est pas pour mes beaux yeux.
Les relations avec des fournisseurs étrangers nécessite au delà de mes compétences mécaniques des TP,
La maîtrise de la langue anglaise
Le fait de soutenir les classes démunies, n'affecte nullement les classes moyennes....
Les Banques? Je préfère me taire .
Les sociétes de leasing? Alors là....Pitié, pour ceux qui s'y frottent!
La fraude fiscale sévit dans le pays. Les sanctions, à l'instar des pays avancés , point!
L'économie informelle a détruit le pays....
Des v'?rités qui blessent..
Quel est le pib de la tunisie ?
48 milliard de dollars ( ridicule )
Combien pese l economie informel ?
Les experts du monde entier l estime entre 3 a 9% du pib ?
Soit meme pas 4 milliard de dollars
Quel est le budget de l etat 60 milliard de dinars soit 20 milliard de dollars a vu de nez .
L etat a tjours eu le fantasme qu il y avait des millions de milliard dans l economie informelle mais tous les pays du monde ont étudié la question et sont tous convenu que cela ne pouvait depasser 3 a 9% donc meme si l etat tunisien etait efficient et efficace ce qui n est pas le cas l etat devrait investir bcp d argent et de moyen pour recolter a peine et maximum 3 milliard de dollars soit un septieme du budger de l etat ce qui est ridicule .
Donc arretez de rever , avec ce budget justement il n y a plus consentement a l impot et donc le marché parallèle va augmenter et les impots vont baisser .
Ces le consentement a l impot qui ameliore les recette de l etat sinon l homme a enormement de moyen pour contourner l etat
Mais, elle tournerait autour de 40% du PIB....
Vous avez éludé, Mr le Financier, le sujet de la fraude fiscale, qui démolit le pays....La corruption va avec....
Les banques, ces boîtes à sous, escroquent le public, pour un rien...Jetez un coup sur votre relevé bancaire....
Les sociétes de leasing, pourquoi vous n'en parlez pas? Vous avez une idée la dessus...Cela se voit.....
Pour finir, je ne suis pas naïf que ça..J'ai choisi ce pseudo, rien que pour amuser la galerie.
Mon CV est aussi volumineux qu'un "bottin"....Calmez-vous....
La lecture en diagonale fait tordre la raison
'?vite les sujet économique, ça te fera du bien là où c'est vide
Le plus grave, hausse d'impôt + planche à billets qui va tourner à fond = appauvrissement généralisé
C'est donc ça la justice sociale a la tunisienne, tout le monde égaux dans l'appauvrissement.
Au bout de plusieurs année j'ai enfin compris la boulitique ecounomique de kais, bon courage à tous, le pire est à venir.
A la fin on va arriver au FMI encore plus étranglé que si on l'avais fait il y a 2/3 ans et la purge va être plus rude.
Demain je vais demander à notre comptable de me faire baisser le salaire à 1000dt et le reste je donne à l'entreprise pour qu'elle survivre!
- au juste rien n'a changé en comparaison à la dernière décennie, nous sommes entrain de refaire les mêmes fautes socio-économiques mais d'une autre manière avec de nouveaux politiciens et avec très probablement les mêmes résultats catastrophiques car on ne s'attaque pas aux causes premières de nos problèmes socio-économiques.
-->
Toujours des retouches à l'image de notre loi électorale qu a été imposée avec beaucoup de retouches et de Workaround (contournement sans solution efficace), ou l'augmentation des impôts avec une Exonération simultanée des viandes rouges importées des droits de douanes (de 30%).
-->
Je me répète: au juste rien n'a changé en comparaison à la dernière décennie, nous sommes entrain de refaire les mêmes fautes socio-économiques...
Exemple du Root Cause Analysis:
- Il est évident que notre loi électorale n'a fonctionné durant la dernière élection Présidentielle qu'avec des traitements de crises et de Workarounds ponctuels sans chercher à l'optimiser d'une façon efficace. Je m'explique:
- Malheureusement, Mr. Kais Saied n'est pas conscient de l'impossibilité de collecter 10000 parrainages lorsqu'on n'est pas Président de la République, dans une société tunisienne qui refuse de signer des formulaires, si elle n'est pas dans l'obligation de le faire
- Les 10000 parrainages sont une mission impossible qu'aucun candidat n'a pu passer sain et sauf à l'exception de Mr. Kais Said par sa position du Président de la République.
-->
- A) Pourquoi les conditions d'admission des candidatures à la dernière élection présidentielle sont trop sévères. Des faits:
a1) la majorité des députés n'avait pas et n'a pas l'intention de parrainer qui que ce soit, à l'exception de Mr. Zouhair Maghzaoui qui a eu le parrainage de 10 députés de son parti politique, et apparemment de Mr. Znaidi qui je ne sais comment a su obtenir les signatures de quelques députés(?)
a2) De même la majorité des représentants du Conseil national des régions et des districts n'avait pas et n'a pas l'intention de parrainer qui que ce soi, avec quelques exceptions.
a3) de même la majorité des présidents élus de collectivités locales n'avait pas et n'a pas l'intention de parrainer qui que ce soi, avec quelques exceptions.
a4) Puis, les Tunisiens par leur culture et éducation refusent de signer à la légère à quelqu'un qui frappe à leur porte pour quoi que ce soit.
a5) Fazit:
- Dans le contexte actuel des emprisonnements à la légère, le Tunisien et nos représentants cités ci-dessus se mettent à l'abri de tout risque de faute judiciaire en refusant majoritairement de signer les parrainages. --> L'emprisonnement de Madame Sonya Dahmanni est celui de trop et a mis ainsi tous les autres emprisonnements en question
- l'actuelle loi électorale aurait dû partir du contexte et de la mentalité du Tunisien. Franchement, moi-même je refuse de signer un formulaire de parrainage. En effet, je suis extrêmement avare avec ma signature (c'est mon éducation).
- Certes Mr. Kais Saied a pu facilement collecter le double des parrainages exigés, il aurait pu avoir des millions de parrainages par sa position de Président de la République. En effet, qui oserait ne pas signer un parrainage à l'homme le plus puissant de la Tunisie qui dispose d'un pourvoir absolu?
- B) Il est urgent d'optimiser l'actuelle loi électorale? Je donne des propositions:
-- b1) redonner aux parti-politiques le poids politique qu'ils avaient avant l'élection législative de 2022:
----------b1.1) tout en gardant les emprisonnements sévères pour les parti-politiques qui achètent les voix des électeurs
----------b1,2) tout en interdisant le passage des députés d'un parti-politique à un autre (non au tourisme parlementaire). Exemple: Les députés de Nidaa Tounes que l'on a votés à l'élection législative sont passés à la concurrence Ennahdha afin de lui garantir la majorité absolue:))
----------b1.3) pas besoin de parrainages à l'élection législative, il faut redonner aux parti-politiques leur poids politique qu'ils avaient avant l'élection législative de 2022
- b2) les parti-politiques qui ont des sièges à notre parlement devraient avoir le droit de proposer un candidat à l'élection présidentielle qui devrait être membre de leur parti politique sans cette histoire de parrainage.
-b3) Le Président de la République sortant ne devrait pas collecter des parrainages puisqu'il pourrait en avoir des millions par sa position à la tête de l'Etat tunisien.
- b4) Les parrainages sont réservés aux indépendants sans appartenance à un parti-politique et aux parti-politiques sans sièges au parlement. --> le filtre des candidats possibles à l'élection présidentielle se fait déjà lors de l'élection législative.
- C) Mr. Zammel a dû payer les pots cassés...
Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien Résidant à l'étranger
Le taux d'impôt sur les sociétés appliqué au bénéfice imposable est déterminé.......
Donc la BASE IMPOSABLE RESTE TOUJOURS LE BENEFICE REALISE est ceci conformément au code de l'IRPP ET DE L'I.S.
LE CHIFFRE D'AFFAIRE n'est pas la base du calcul de l'impot , mais un critere pour la classification des société pour le TAUX à appliquer sur le BENIFICE pour le calcul de l'impot.
Et il ne s'agit pas d'une exeption TUNISIENNE .Il suffit de jeter un coup d'oeil sir la L.F Française de 2025 (TEXTO)
ARTICLE 11 :
Instauration d'une contribution exceptionnelle sur les bénéfices des grandes entreprises
(1) I. ' Il est institué au titre des deux exercices consécutifs clos à compter du 31 décembre 2024 une contribution exceptionnelle sur les bénéfices des grandes entreprises.
IV. ' A. ' Pour les redevables dont le chiffre d'affaires est supérieur ou égal à 1 milliard d'euros et inférieur à 3 milliards d'euros, le taux de la contribution exceptionnelle est fixé à 20,6 % pour le premier exercice clos à compter du 31 décembre 2024 et à 10,3 % pour le second exercice clos à
compter de cette même date.
B. ' Pour les redevables dont le chiffre d'affaires est supérieur ou égal à 3 milliards d'euros, le taux de la contribution exceptionnelle est fixé à 41,2 % pour le premier exercice clos à compter du 31 décembre 2024 et à 20,6 % pour le second exercice clos à compter de cette même date.
De la comparaison avec la France, sachez que le système social français est loin d'être atteint en Tunisie, je parle des allocations de chômage, remboursement de soins,qualité des infrastructures, aides sociales, et bien sûr salaires indexés aux prix.....arrêtons de comparer l'incomparable
2)On doit comprendre le souci du Président de venir en aide aux plus démunis
3)le projet repose sur l'imposition des revenus des "riches" pour les servir aux "pauvres"
4)La bonne approche est de mettre le cap sur l'investissement productif et la productivité. Plus on crée de richesses et plus on a le pouvoir d'en redistribuer une partie aux plus démunis
Sa vision du monde et des affaires publiques est figée dans les années soixante du siècle précédent. A l'époque d'ailleurs les explications complotistes des échecs battaient leur plein surtout dans notre coin bien sûr.
Je dis aux gens qui vont souffrir de ce projet de racket et qui ont voté pour lui: avez-vous le courage de prendre en charge tout ce racket tant que vous l'adorez si fortement? Ou bien vous voulez démocratiser la souffrance mais pas autre chose?
1- il cultiverait ses légumes mm dans des pots à fleur
2- il pencherait du poisson chaque week-end car la viande est devenu trop cher
3- il se contenterai de choses simples comme jouer aux cartes dans les cafés ou faire des balade au. Ord de la mer car les loisirs en Tunisie c'est juste de l'arnaque au vu de leur prix
'> il viverait avec une logique occidentale dans un pays où il a très peu de moyen '> il paiera moins de tva et maximisera son niveau de vie
C'est un complot de "Monsieur complot".
Un ravin sans fond, une catastrophe interplanétaire comme votre extraterrestre, vers la faillite de la Tunisie ; plus d'initiatives privées, vecteur essentiel du moteur économique et de la création de richesse et d'emplois. Plus d'investisseurs internationaux. AUCUNE grande enseigne ne viendra en Tunisie. Perte des emplois en masse à partir de 2026, paupérissement de la population en 3 ou 4 ans.
Voilà où il nous emmene..
Fallait pas être un génie pour comprendre, comme je vous ai décrit dans mes précédent postes, que c'est "Prendre (voler) à Pierre pour donner à Paul"....
AUCUN débat, aucune participation de véritables experts et de la société civile : les VRAIS compétents sont en prison : Mme Abir Moussi aurait démonté ce PLF en 10 minutes et aurait construit une économie solide, inspirant la CONFIANCE des opérateurs en Tunisie et venant de l'extérieur....
Il a tiré son "lapin" du chapeau en 24 heure après s'être assuré son "maintien" à coup de fouet électrique...d'où sort ce PLF en 24 h en 24 h les amis !! en 24 heures !!!!
La3zouza hezha el wed, ou tqoul essna saba
On est FOUTU.
"Sauve qui peut" depuis 4 ans déjà.
Ceux qui n'ont pas compris ne comprendront jamais.
Son seul fait d arme c est d avoir ete avec ben ali et il est vrai on peut lui conceder son role de resistance contre ennahda , mais a t elle touché de l argent de l europe pour cela ?
-Pas de conseil constitutionnel pour invalider des lois absurdes
-Pas de lutte contre le secteur parallèle, au contraire cela va devenir un sport national.
-Pas de lutte contre les emplois fictifs et les fonctionnaires non méritants. Aucune culture du mérite mais une culture de l'impunité de l'administration et de l'impunité des fonctionnaires
Si vous gagnez plus que votre voisin vous êtes suspect.
Suspect d'exploitation , de spoliation , d'enrichissement illicite.
On ne comprend pas pourquoi vous voulez gagner autant d'argent. Ne seriez vous pas un peu juif par hasard?
Le bonheur ce n'est pas ça. Comme dit l'autre, les critères doivent être révisés. Le bonheur s'est de partager avec votre voisin , qui est votre frère. Même si s'est un feneant, un bon à rien qui ne veut pas travailler.
Vous pourriez faire votre bonheur vous meme comme un grand en partageant vous même le fruit de votre travail par générosité philantropique. En aidant ceux qui vous tiens à c'?ur d'aider.
Mais comme on veut être bien sur que vous exerciez votre droit au bonheur , on va vous prendre le fruit de votre travail pour le distribuer nous même. En en gardant une grande partie au passage pour nourrir nos chers fonctionnaires, qui ne sont nulle autre que nos ouvriers du bonheur.
Elle n'est pas belle cette belle pensée moyenageuse de la justice sociale ?
Il manque juste la parti sur le consentement a l impot , si le peuple ne consent pas a l impot l etat ne recoltera quasi plus rien car le peuple trouvera tjours un moyen de se faire payer au noir quitte a revenir sur le troc .
Il est preferable de toucher 20% de quelque chose que 50% de quasi rien .
La prochaine etape du gouvernement une fois qu ils verront que les recettes liée a l imposition s effondre , c est la spoliation des biens , vous etes proprietaires va falloir payé .
Le mieux c est de vendre et de fuir le pays a priori l equipe est sur les pas de Trosky et Lenine .
Il manque les purge et ca sera staline