Le secrétaire général d’Al Massar, Samir Taïeb, a indiqué, dans une déclaration accordée à la TAP ce mercredi 8 juin 2016, que les partis de l’opposition pourraient accepter de participer au gouvernement de l’union nationale sous certaines conditions.
Il a précisé, en marge de la réunion des partis de l’opposition, qui s’est tenue aujourd’hui, dans les locaux d’Al Joumhouri pour débattre de l’initiative du président de la République, que si un accord est trouvé lors du dialogue national sur les priorités et le contenu de ce projet, l’opposition assumera ses responsabilités et pourrait être représentée dans le prochain gouvernement.
M.B.Z
Samir Taïeb : Les partis de l'opposition pourraient participer au gouvernement mais sous certaines conditions
Le secrétaire général d’Al Massar, Samir Taïeb, a indiqué, dans une déclaration accordée à la TAP ce mercredi 8 juin 2016, que les partis de l’opposition pourraient accepter de participer au gouvernement de l’union nationale sous certaines conditions.
Il a précisé, en marge de la réunion des partis de l’opposition, qui s’est tenue aujourd’hui, dans les locaux d’Al Joumhouri pour débattre de l’initiative du président de la République, que si un accord est trouvé lors du dialogue national sur les priorités et le contenu de ce projet, l’opposition assumera ses responsabilités et pourrait être représentée dans le prochain gouvernement.
Ce co...ard de samir qu'il n'est pas concerné par la proposition de beji.
Gagne les elections et des places a lARP et puis vient ouvrir ta gueul et nous faire part de tes conditions a la cons.
Il est urgent de suspendre l'ARP et de prendre les décisions qui s'imposent. Nous ne pouvons continuer à bla blater et pendant ce temps, le pays est entrain de mourir.
L'actuel premier Ministre Habib Essid est un excellent chef de gouvernement, qui mène sa mission de loin plus que très bien. Il encadre ses ministres en leur octroyant une grande marge de manoeuvre personnelle. Une stratégie obligatoire pour la réussite de toute démarche de développement spécifique au sein d'une vraie démocratie.
Il est clair que dans la politique, il n'existe pas de bâton magique de "Hobbik Lobbik", qui offre un résultat instantané, pour illustrer sa réussite ou son échec. Et c'est effectivement là, où les hyènes et les vautours de la politique rodent depuis les premiers jours de la Révolution du 14 janvier 2011. Ils aboient depuis le début de la Troïka jusqu'à nos jours, sans jamais donner de solutions ou même de suggestions à leurs propres critiques. Leur rôle se limite à mettre les bâtons dans la roue du gouvernement et de semer la zizanie, afin de trouver accueil sur les plateaux TV et dans les studios radios. Ils sont comme ces mauvais pompiers pyromanes, qui mettent le feu eux-mêmes, pour qu'on les appelle à l'éteindre.
Regardez les noms et lisez leur passé. Des nullards qui ne survivent qu'en lynchant lâchement ceux qui travaillent. Leurs diableries étaient concentrées uniquement autour d'Ennahdha et de ses "islamistes". Par la suite, ils se sont retournés contre leurs propres camarades à Nidaa Tounes et ailleurs, comme les pieuvres et les poulpes se retournent pour manger leurs propres tentacules. Ils ont mis Nidaa Tounes en ruine. Maintenant, ils se retournent contre Habib Essid, qui leur sauve la face avec compétence, honnêteté et bravoure. Ils veulent s'emparer du pouvoir par leurs méthodes ***. La démocratie n'est pour eux qu'un moyen serpentin, par lequel ils crient tenant le couteau derrière leur dos.
Selon mon avis neutre et sincère, il faut laisser Habib Essid travailler de la sorte, dans son poste de premier Ministre et ne jamais donner la moindre importance à ce que racontent ses adversaires. Dans la politique et dans la presse, on ne peut jamais être aimé, ni haï à 100%. L'essentiel c'est qu'on travaille avec foi et sincérité. Le travail sérieux finira par convaincre. Tout le reste n'est que secondaire.
Un gouvernement d'union nationale est en soi un putsch contre notre transition démocratique, où les urnes des élections décident de tout. Il n'est pas normal dans une nouvelle démocratie, de diriger le pays par un gouvernement sans opposition. Il finira par dissimuler tout son échec comme aux vieux temps des deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali. Le peuple tunisien sera sa seule victime.
Si l'actuelle coalition n'est pas capable de gouverner, qu'elle appelle à de nouvelles élections anticipées et qu'elle laisse le peuple tunisien mélanger les cartes de nouveau et qu'on respecte la décision du peuple. Mais faire de la sorte comme si le président Béji Caïd Essebsi avait carte blanche, jusqu'à représenter l'un des dictateurs déchus Bourguiba ou Ben Ali, en décidant tout seul du sort de notre patrie la Tunisie, comme si on était en temps de guerre, ça serait la plus grande faute qui puisse avoir lieu six ans après la Révolution tunisienne du 14 janvier 2011.
Honni soit qui mal y pense.
Si tout le monde gouverne en Tunisie, opposition comprise à quoi sert d'aller voter, cela nous ferait des économies, l'organisation d'élections coûte des milliards il vaudrait mieux rester chez soi.
...processus( ou massar) démocratique soit au prorata des résultats des élections législatives...n'est ce pas Mr samir massar? Sinon tu cherches à devenir samsar ou missmar et les deux sont hors de l'éthique politique que ton parti ne cesse de vanter.
J'ai bien l'impression que vous ne savais plus lire le français!! Tout du moins le comprendre!
Vous n'avez pas lu que c'était une réunions des partis d'opposition. Vous n'avez pas entendu le président vous dire que c'était l'initiative d'al Massar qui a fait que lui même fasse la proposition d'union nationale????
Mais désormais vous êtes à l'image de la médiocrité ambiante, un "nabbar" de plus même pas capable de réfléchir par lui même.
Je vous rappel vos positions ici même et ailleurs qui n'est autre que votre soutient au mafieux qui gouverneNT aujourd'hui. Et maintenant que vos errements et ceux de vos semblables nous ont conduit à ce marasme ayez juste la décence de vous taire, nous ayant prouver que votre acuité politique eSt très basse et sans fond politique.
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