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Sit-in de soutien aux prisonniers politiques
24/12/2024 | 14:29
1 min
Sit-in de soutien aux prisonniers politiques

 

Des acteurs politiques ont organisé, mardi 24 décembre 2024, un sit-in devant la cour de cassation de Tunis en soutien aux prisonniers politiques détenus dans le cadre de l’affaire dite de complot contre la sûreté de l’État.

Ils dénoncent 22 mois de détention sans procès équitable rejetant catégorique de l'utilisation du système judiciaire comme moyen de liquider les opposants politiques et de supprimer les libertés publiques.

Le sit-in vise également à exiger la libération immédiate et inconditionnelle de tous les détenus politiques, à mettre fin aux procès à motivation politique et à souligner la nécessité de respecter l'indépendance du pouvoir judiciaire et de garantir les droits de l'Homme.

Il intervient alors que se tient aujourd’hui l’audience en cassation des accusés dans l’affaire de complot contre la sûreté de l’État.

 

M.B.Z 

24/12/2024 | 14:29
1 min
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Commentaires
Bruno
La vérité
a posté le 24-12-2024 à 18:00
Pourquoi s'obstiner et affirmer que ce sont des prisonniers politiques? Est-ceux qui ont été arrêtés en Allemagne pour complot contre l'état sont des prisonniers politiques? Eh bien non, ce sont des terroristes et seront jugés en tant que tel.
Abir
Dis moi qui te fréquente, je te dirais qui tu es
a posté le 24-12-2024 à 16:29
Le fait que que vous ne pouviez pas vous soustraire d'une bande criminelle comme les membres d'enahda, vous ne pouvez pas être des victimes et le pays ne mérite pas des telles personnes , ils se connaîtront
The Mirror
No One is Above Law
a posté le 24-12-2024 à 15:39
Et oui, dans la Tunisie d'aujourd'hui on ne peut plus foutre le bordel dans le pays sans rendre compte à la justice.

Deuxième point: depuis le 14 janvier 2011, on n'empoisonne plus les gens pour leurs opinions. Cela veut dire qu'aujourd'hui, il y'a zéro prisonniers politiques dans les prisons tunisiennes.
Cela veut dire aussi, que tous les prisonniers d'aujourd'hui ont commis quelque chose, d'où leur emprisonnement.

Descendre dans la rue pour essayer de libérer ces prisonniers, cela relève du banditisme social.