
À la suite de la fixation de la date de la présidentielle et l’ouverture de la course aux parrainages, le mouvement Ennahdha a tenu, dans la soirée de mercredi à jeudi 11 juillet 2024, à éclaircir certains points. Il en a profité pour rappeler qu’il ne va pas présenter de candidat pour des raisons qu’il a expliquées ultérieurement, bien qu’il ait le droit de le faire.
Le parti politique a précisé qu’il défendait le droit de tous les citoyens réunissant les conditions requises à se présenter à cette course et à recevoir la confiance des électeurs. Le mouvement a souligné, dans ce cadre, qu’il n’avait aucun engagement envers un candidat en particulier, surtout qu’il ne connaît pas encore la liste finale des candidats. Il a réitéré son engagement avec le Front de salut, comme cadre politique de militantisme œuvrant à un retour au processus démocratique.
Ennahdha s’est adressé, dans un communiqué signé par son secrétaire général Ajmi Lourimi, à ses bases, à ses partisans et à l'opinion publique nationale, indiquant qu'il ne donne pas de consigne pour collecter des parrainages pour un candidat précis, homme ou femme.
En même temps, il confirme que les militants d'Ennahdha, comme les autres Tunisiens, sont appelés à exercer leur citoyenneté, et celui de choisir parmi les candidats, hommes et femmes, qui adhèrent à la voie démocratique. « Si la pluralité ne garantit pas la liberté de candidature, de choisir et la crédibilité des résultats, alors elle est inutile et ne contribuera ni au changement ni à la résolution de la crise du pays », lit-on dans ce même document.
Le mouvement a, en outre, spécifié que sa position sur l’élection présidentielle, dont le premier tour est prévu le 6 octobre 2024, n'a pas changé, et que la décision finale quant à sa participation ou au boycott n'a pas encore été décidée.
« Nous prendrons cette décision au moment opportun après consultation et coordination avec la direction du Front de salut national et toutes ses composantes », a affirmé le communiqué, en soulignant que cette élection est un acquis national et constitutionnel qui le préoccupe, et il exige la garantie des conditions et des normes démocratiques pour sa tenue.
« Nous affirmons que ces élections ne peuvent être véritablement démocratiques, équitables, transparentes et compétitives qu'en purifiant le climat politique, en garantissant l'égalité des chances, en libérant les détenus politiques, en levant les restrictions sur l'activité des partis politiques et en garantissant la liberté d'expression, de candidature et de choix », a conclu Ennahdha.
I.N.
Va chier ailleurs, car moi, je suis ton Maître l'Arabe musulman. Essaie de me démentir au lieu d'attendre de moi que je mente comme les "Mghdhoubi alayhi" de ton espèce.
Va installer un robinet d'eau courante à côté de la chasse d'eau de ton WC, au lieu de venir baratiner tes torchons de mensonges et de haine maladive contre ma religion musulmane, qui ne t'appartient en rien du tout.
Allah yèhlik ass-hab el-charr.
les groins continuent d'être mis sur les pis du pays
et les moins sur le tapis à travers tout un pays . . .
A quand mettre enfin les soins sur les vies ?
NON A LA MASKARADE DU PARJURE POUTSCHIK EN DERELIKTION PESTILENTIELLE !
LIBERTE ET SOLIDARITE AUX PRESIDENTIABLES DETENU.E.S POLITIQUES COMME D OPINIONS SANS E.KS.CEPTIONS !
Allez Nahdha, du courage. Présentez un bon candidat commun comme Ahmed-Néjib Chebbi ou un autre candidat de sa qualité et de sa sympathie. Pas un moustachu ni un barbu. Pas une pomme noirâtre. Pas un visage de faux-jeton. Pas un débile de pacifisme religieux exagéré comme Rached Ghannouchi. Présentez un Tunisien «Beldi» et vous verrez la réussite qui vous sera léguée par la majorité des électeurs tunisiens.
Allah yostir Tounes.
Le mariage politique entre Chebbi avec sa clique et nahdha n'est nullement un mariage contre nature, il procède en plein d'une même nature, celle de la course au pouvoir pour des intérêts partisans et personnels et non pour l'intérêt général de 12 millions de Tunisiens. Sur ce plan, ils font comme tous leurs prédécesseurs, depuis Bourguiba. On connait la suite. Et on sait pourquoi.
Sauf erreur de ma part, il semble sud Ennahdha dit une chose et son contraire même dans cet article puisqu aussi bien il y est rapporté tout un discours général dont la conclusion est le refus.
En.même temps, comme dit l'autre, on y lit que la décision sera prise au "moment opportun".
En réalité, il s'agit d'un énième communiqué reprenant les formules éculées et principes tout en semant le doute faisant mine de laisser croire à l'importance et le rôle du dit mouvement déjà mort.
Ces communiqués d'outre-tombe ressemblent plus à l'écho suscité par les relais disponibles qu'à un éventuel sursaut et encore moins à une résurrection.
Les miracles n'ont lieu qu'une fois, c'est ce qui leur conféré valeur et poids.
A moins que faute de résurrection tant espérée, on annonce une parousie.
Encore un emprunt délictueux, car nulle littérature locale ne prêche une annoncd si prometteuse.
La Figure du Sauveur, comme le reste, est un.mythe d'exception.
Il n'est pas interdit, à la lecture de cette petite annonce, d'y voir un chant du cygne.

