
Le président de la République, Kaïs Saïed, a présidé ce mardi 22 septembre 2020, la clôture de la 38ème session du colloque annuel des chefs de missions diplomatiques, permanentes et consulaires.
Il a profité de son auditoire pour rappeler que la Tunisie n’a qu’un seul président et qu'une seule diplomatie, évoquant de nombreux dépassements et abus observés ces dernières années et soulignant qu’un diplomate doit être au service de l'État et non au service d’une partie dans une coalition ou une alliance.
« Malheureusement, ces derniers mois, et sans vouloir entrer dans les détails, le travail au niveau extérieur n'obéissait pas aux orientations réelles de l'Etat, mais on a tenté d'avorter plusieurs initiatives. La diplomatie a été divisée pour obéir aux équilibres qui prévalent au niveau intérieur ». Il a ajouté, par ailleurs : « Celui qui cherche une légitimité à l'étranger, n'a aucune légitimité dans son pays. Il est comme celui qui vole dans le domicile de son père ».
Dans un discours prononcé à cette occasion, le chef de l'Etat a rappelé l'histoire de la diplomatie tunisienne depuis l'indépendance, appelant à tirer profit des institutions créées et de les développer.
Le président a également félicité les diplomates concernés par le mouvement diplomatique et consulaire, indiquant qu'ils sont tenus d’élever le travail diplomatique au statut de croyance pour servir, protéger et défendre la nation. Il a souligné leur rôle dans la mise en place d'une diplomatie active et efficace qui garantirait le soutien des efforts nationaux pour réaliser les intérêts suprêmes de la Tunisie, en plus de servir des causes justes, parmi lesquelles, et au premier plan, la cause palestinienne.
Kaïs Saïed a appelé à éloigner la Tunisie de la politique des axes et de l’alignement, tout en veillant à ce que le pays adhère pleinement à sa souveraineté, et a souligné l’importance de la stabilité dans le pays pour se faire entendre à l’étranger, et la nécessité de fonder la politique en général et la politique étrangère sur la souveraineté populaire et les exigences de la majorité.
Kaïs Saïed a aussi parlé de la présidence tunisienne de la Ligue arabe, déplorant l'échec de l'organisation du sommet arabe. Il a également indiqué que la Tunisie est prête à organiser le sommet de la francophonie l'année prochaine, et d’ajouter : « nous traitons avec les langues sans complexes et sans compromettre notre indépendance ».
Le président de la République a décoré, à la fin de la cérémonie, un certain nombre de diplomates.
M.B.Z
Le President Kais Said doit inviter tous les amabassadeurs 'etrangere a Tunis a Karthage et LIVE
l'Allemagne la GB ,et l'USA .Israel -qatar -Turquie ils appuient massivement Rached Ghannouchi meme leurs Medias quand -ils parlent au sujets tunisiens Toujours le background les fotos de Rached Ghannouchi en cravatte
LES AMBASSADES TN - TRANSIT POUR LES BLANCHISSEURS DE CHARIA & DOLLAR ,
B.N : Merci d'avoir attiré notre attention
Sauf chez nous avec cette misérable avidité de pouvoir, héritée des colonisateurs et des deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali réunis.
Le président de la République Kaïs Saïed, oublie qu'il est un nouveau-né dans la politique internationale. Il oublie aussi que la politique internationale, se repose au moins à 90% sur les relations personnelles. Ce n'est pas pour rien que le nouveau premier ministre Hichem Mechichi, se trouve dans l'obligation de faire appel à des Azlèms du défunt dictateur déchu Ben Ali, comme Tawfik Baccar et Mongi Safran. Il ne veut essentiellement que profiter de leurs connaissances personnelles. Lui, le natif de 1974.
Donc, que chaque politicien tunisien ayant rempli son carnet d'adresses, par l'âge et par l'usure des temps, utilise ses relations personnelles pour le bien de la Tunisie, qu'est-ce que cela pourrait-il diminuer de la valeur du président Kaïs Saïed?
Est-ce qu'il y a un autre politicien tunisien, qui prétend ou qui pourrait être un autre président de la République tunisienne, en dehors de lui ou est-ce que, c'est la folie des grandeurs et du complexe d'infériorité du défunt dictateur déchu Bourguiba, qui l'emportent sur le simple Universitaire Kaïs Saïed!!!
Bourguiba a interdit de prononcer le titre de "président" (Raïs), à quiconque autre que lui. Il ordonna qu'on ajoute la fonction aux autres "petits présidents", comme "Raïs al-mahkama" ou "Raïs al-baladiya", etc.
Serions-nous déjà là avec Kaïs Saïed !!!

