
La campagne des municipales bat son plein et les promesses des hommes et femmes politiques fusent à merveille. On en voit de toutes les couleurs jusqu’au wifi gratuit dans les rues. Comme le dit le proverbe, les promesses des politiques n’engagent que ceux qui les reçoivent. Dans le cas du parti Irada de Moncef Marzouki, ces promesses n’engageront que les aveugles et simples d’esprit.
Ainsi, comme on le voit dans cette photo interne prise le 2 mai à Sakiet Ezzit (Sfax) pour soutenir la liste locale, on voit les candidats autour de Imed Daïmi, secrétaire général d’Irada, devant le stand. Et on voit également devant leur stand un tas de détritus. Ni les candidats, ni Imed Daïmi, n’ont cru bon de déblayer, que ce soit pour la prise de photo ou tout simplement pour que le stand accueille ses visiteurs dans la propreté.
Le paradoxe est qu’un secrétaire général de parti incapable de nettoyer son propre environnement direct, a quand même le culot de promettre sans sourciller qu’il est capable de nettoyer toute la ville et la rendre propre ! Cela nous rappelle un peu leur campagne de 2014 où ils se sont autoproclamés les plus intègres et les plus propres avant d’être épinglés, ensuite, comme ceux qui ont fraudé le plus par l’Isie et la Cour des comptes.
R.B.H
Commentaires (7)
CommenterAprès tout ce n'est que promesses!!!
Menteurs et hypocrites !
Ils ne veulent que le pouvoir
Mais pour lui, pour eux , la rue est très propre.
Que voulez vous de plus. Y a pas de poubelles.
Zaama !!!
William fahem yefhem