Sacrilege!
Au lieu de continuer a deislamiser le peuple tunisien et promouvoir
l effondrement de toute les valeurs ethiques, morales et civiques islamiques, ce ministre reactionnaire
(et musulman en plus!) ose rappeller aux tunisiens que leur religion condamne fermement la corruption, qui prospere grace au nihilisme collectif dit modernite que les regimes de Bourguiba, de Ben Ali et de leurs oligarchies ont impose au peuple tunisien.

" Le ministre s'exprimait en marge d'une visite effectuée à Kairouan où a eu lieu la 51e conférence internationale du Mouled sous le thème de la réforme" sic. Une "conférence internationale" Quelles sont les individus et les organisations étrangers qui participent à cette " conférence " gammée ? Est-ce que la fameuse "Union internationale des savants musulmans", qui jouit d'un bureau à Tunis et chère au coeur d'Abir Moussi est de la fête ? Si oui, Abir Moussi serait peut être tentée d'assister à ce raout. Mais malheureusement il y manquera deux astres filants de cette haute Union, rached ghannouchi, en taule...et le quasi prophète, fondateur de cette Union internationale des savants musulmans, mort et mordicus, une énorme perte pour les fachos islamistes... KS va-t-il assister à cette palabre? sinon, la boudant, va-t-il limoger son sinistre des affures religieuses...qui parlait probablement sans les directives obligatoires de son président ? On verra.
P.S. Bourguiba avait déjà usé de l'immiscion de ses directives dans les prêches des imams lors de la prière du vendredi... J'ai entendu parler d'un de ces imams comme professeur d' "instruction civile et religieuse" au lycée. Il était aussi professeur prestigieux à l'Université islamique de Kairouan. Il était un fervent disciple de Seyed Kotb, le frère musulman bien connu dont il a condamné en classe l'exécution par Nasser... Ainsi va l'immonde !

La preuve que le ministre dit n'importe quoi.
Ce ministère coûte cher à l'Etat et ne produit rien de constructif ou moderne. Il ne sert qu'à payer l'eau et l'électricité des mosquées avec l'argent du peuple.

Il pense qu'avec la religion, et des discours moralistes, il règlerait le problème.
N'importe quoi.

Meskina Tounès, elle est gérée avec des idées rétrogrades et datant d'un autre âge.

Car seul l'application de la loi pourrait dissuader les corrupteurs et les corrompus.

S'il fallait compter sur la fois, ça saurait. Vous êtes vraiment nul Mr le ministre.
De plus vous n'en tirez pas la leçon de vos prédécesseurs islamistes.

La religion a la carte. Juste quand cela les arranges. Quel hypocrisie.
On a pas besoin d'avoir de notion de religion pour savoir que la corruption est un problème.
Après les ikhwan on a maintenant les Sufis. Fantastique.
Y en a marre.

Je me rappelle que je suis le 1er a commenter cet article, pourquoi nest il pas publier ?
Pousser de dure que se n'est pas serieux

B.N : Merci de rédiger vos commentaires en français

Excellente, votre réaction, BN !

Et merci
Mais il fallait le mentionné sur votre cite

Dans un pays où le tunisien pense que la contrebande n est qu un commerce. Il faudrait peut être que quelqu un leur explique qu il n est pas normal de faire de la contra , de ne pas payer les impôts ; de s'inventer des ghanima etc....

pour ton commentaire.
J'ajoute qu'il faudrait supprimer ce ministère qui ne sert à rien, et rattacher tous les cultes au ministère de l'intérieur sans désigner un Secrétaire d'Etat.

D'abord, regarder les hommes agir et se demander s'il le faut une divinité pour les aider à mieux vivre ensemble.
Il y aurait un préalable, ce serait celui de savoir si les hommes sont capables de se conduire en humains.
Humain serait, à minima, voir en l'autre son semblable et le traiter, traiter avec lui à égale dignité.
Comme cela n'est pas acquis comme allant de soi, comme une évidence, une norme à quoi consentiraient tous et tout le monde, les hommes auraient décrété qu'il leur fallait une figure, un personnage, une divinité ou plusieurs capables de les y aider.
Or, même sous le patronage d'un Dieu tout-puissant, un monarque absolu, ils peinent à y parvenir.
Parfois, à cause ou s'appuyant sur cette garantie, ils agiraient en contradiction, opposition à cette régulation qu'ils ont inventée.
Il se pourrait que les hommes seraient bien mieux tenus hors cette garantie, et au nom de leur seule responsabilité.
Convoquer chacun en être responsable pourrait mieux garantir un minima de paix, de normalité dans leurs relations.
Ce serait possiblement plus performatif de les tenir par des lois, de tourner leur attention vers ce qui a lieu dans le concret de leur agir. Les charger de dispenser leur puissance à rechercher ce qui les porte vers leurs intérêts immédiats sous le signe de règles et de principes traduits dans des textes qui arbitrent les dissensions, les conflits.
Ils semblent l'avoir tenté, et bien des philosophes, des moralistes y ont consacré leur existence et mis à disposition de leurs contemporains des textes bien articulés, sources et références pour les générations à venir.
Tout cet édifice ne parvient pas, loin s'en faut, de faire de cette espèce des animaux sociaux conformes aux desseins de Dieu et de ses meilleures créatures.
Ce serait une des causes des succès rencontrés par les prédicateurs, les hommes de religion.
Les hommes adorent se raconter des histoires.
Et parmi eux, les plus adroits, les futés et les prosateurs ont établi leur réputation.
Ils tiennent leur monde par les mots.
On peut noter que ce faisant, ils parviennent à inoculer des maux redoutables.
C'est en partie, dans cette bataille que se joue le différend.
Des mots, des maux.
Dieu n'a pas besoin de ses ouailles.
Il est réputé incarner la complétude.
Et comme les bipèdes sont exactement l'inverse, inachevés et fort limités en tout, ils ont besoin de lui.
Enfin, pas tous.
Si possible.
Alirs, séparer la religion....