Le mouvement Ennahdha a rendu public un communiqué, ce vendredi 19 juin 2020, à la suite de la réunion de son bureau exécutif, présidée par Rached Ghannouchi, faisant part de son mécontentement quant à certains propos tenus par le chef du gouvernement, Elyes Fakhfakh, lors de sa dernière interview sur la chaîne Attessia.
Ennahdha s’est dit convaincu de la nécessité d’élargir l’assise politique du pouvoir afin de pouvoir mettre en place les réformes nécessaires et faire face aux revendications de développement dans le cadre d’un large consensus national. Ainsi, le mouvement invite toutes les forces nationales à soutenir le gouvernement et lui accorder l’opportunité d’effectuer les réalisations et affronter les défis de réforme.
D’autre part, le mouvement islamiste a fait part de sa préoccupation de l’apparition d’une nouvelle vague épidémique de Covid-19, ce qui nécessite la vigilance de tous les Tunisiens et de toutes les parties intervenantes, mettant l’accent sur la nécessité de prendre toutes les mesures sanitaires préventives, notamment, avec la réouverture des frontières.
Rappelons que le chef du gouvernement, Elyes Fakhfakh a indiqué lors de sa dernière interview que Rached Ghannouchi est le président d’un parti de la coalition gouvernementale, ainsi il fait ce qu’il veut dans et pour son parti. « On évaluera la coalition gouvernementale quand elle présentera ses décrets, quand son programme sera présenté. J’ai une coalition votée par 129 députés et je n’ai pas besoin de plus. Toutes les familles politiques sont représentées dans le gouvernement et c’est cela le consensus. Je ne vois pas pourquoi je changerai d’avis et élargirait la coalition gouvernementale et le retrait de confiance m’importe peu. Je porte un projet pour un pays qui croule sous les dettes, dont les acteurs économiques sont en stress permanent. Le gouvernement n’a pas encore échoué et il sera élargi quand il échouera », avait déclaré le chef du gouvernement.
S.H
Un cynisme sans limites.
Allah ouhad Abir ma kifha had :))))
Ou vous acceptez ce que je vous dis ou je casse tout...c'est l'anarchie la plus totale dans ce pays qui stagne grâce à seul homme en la personne de R.G.
Ce gouvernement, comme ceux qui sont passés avant n'ont pas réussi à réformer le pays tant que ce parti n'est pas dissout de la scène politique du pays. Pour le faire il faut que le Président K.S prenne une décision urgente pour dissoudre cette assemblée remplie de bon à rien.
Nous vivons constamment sous la menace de ce mouvement et aux désirs de ce grincheux qui fait la pluie et le beau temps comme bon lui semble.
La Tunisie est devenue un petit jeu entre ces mains et plus personne n'a la parole.
Il faut les faire dégagé au plus vite car le temps presse, maintenant que la Turquie se trouve à nos portes, alors bonjour les dégâts.
Fakhfakh ne dispose d'aucun atout, le seul qu'il avait c'etait le pourcentage de légitimité que jouit son mentor le président KS.
Or, Il s'est avéré (Comme par hasard en ce timing) que les élection présidentielle ont été truqués, et cette déclaration a été rendue publique officiellement par FB ! Qui est FB ? Que finance FB ? Quel relation il y a entre FB et l'association TIKA la turque à Istanbul et à Denver ? (On a une filiale de la TIKA juste à côté de l'hôtel Maison Blanche à l'avenue Med V à Tunis), ce qui a discrédité cette légitimité du président, qui en réalité, a été propulsé par les islamiste qu'on l'admet ou pas.
Fakhfakh s'il ne cède pas à la secte, il est politiquement mort, et tout sera mis sur son dos, après tout, c'est le gouvernement de KS, il n'est pas de la secte (C'est l'argument de la secte), or tout le monde sait que céder à la secte c'est de la traitrise, ne pas céder c'est le blocage et voir la confrontation dans la rue.
Voyez-vous, le choix est très limité chez Fakhfakh (Par conséquent le président KS), contrairement pour la secte, en plus, elle a démontré aux Tunisiens qu'elle maitrise la sécurité de l'état et qu'elle déteint une grande partie la police.
La plupart de ce peuple a été appauvrit exprès, ils veulent faire manger leurs enfants, ils ne pensent pas à la politique ... Que veut dire démocratie lorsqu'on a le ventre creux ?
Sauf que ce peuple sera giflé bientôt par une nouvelle réalité, même manger sera presque un défi pour lui chaque jour.
Salutations.
Elle veut imposer a Fakfakh, pour le moment son allie et protege Qalb Tounes afin d en faire du gournement de Fakfakh le sien. Pauvre Ennahda avec un incorruptible president qui ne se laisse pas mic maquer et qui n aime pas les combines a la Ennahda, avec un Fakfakh qui n est pas un Youssef Chahed et qui ne croit pas qu un parti maffieux dans le gouvernement est la methode la plus efficace pour lutter contre la corruption, et le risque de nouvelles elections qui marginaliseront totalement Ennahda, tout cela fait souffrir la pauvre Ennahda..
Allez-y donc, Monsieur le Chef du Gouvernement : les citoyens libres sont avec vous ! Bravo !!!
Ennahdha ressort le dossier de la justice transitionnelle, et réclame des dédommagements aux prisonniers politiques spécialement ceux de 1990 à 2010, c'est la 2ème génération, de Ghannouchi, pourquoi en ce timing ?
Ghannouchi a besoin de cette génération pour le soutenir et lui attribuer un nouveau mandat, contre des dédommagements, qui paiera ? Comme d'habitude 'LIBHIM LIKSAYER' le peuple.
Ya Touensa, vous n'avez rien vu encore, vous allez bavez lil3ankouch, restez FRAIJYA et vous en aurez pour votre nonchalance et votre passivité. Mazzel Mazzel.
Fachfach n'a aucun député à l'assemblée propriétaire du fameux score 0,0 à l'election ,S'il n'est pas un looser on est aveugle.Minorité électorale.
KS un nul, le summum de nullité dans n'importe domaine .Minorité de chez minorité devenu par accident une majorité.
pauvre Tunisie.
et que les mécontents ce retire du pouvoir , ou au moins ils la ferme ,
Renvoyé dans les cordes, il maintient son point de vue et continue à prôner un élargissement de la coalition.
Si Fakhfakh tient bon, et se maintient à la tête du gouvernement, il aura réussi à rompre ce cycle infernal qui n'a d'autre objectif que de maintenir l'emprise des islamistes sur toutes les institutions du pays.
'? suivre.
en d'autres termes c'est comme si il va placer encore des serviteurs des khwanjias au gouvernement et finalement celui le gagnant et sa secte.
ennahdha est préoccupé par une possible nouvelle vague de covid -19 oubliant que son ministre de la santé est le seul qui gère ce dossier avec ses cadres et le conseil scientifique .
NON, la Tunisie (comme tous les autres pays) n'a pas besoin de consensus à partir du moment où le chef du gouvernement dispose d'une majorité stable qui le soutient.
Dans toutes les démocraties, il y une majorité et une opposition ! Et le consensus peut devenir rapidement l'ennemi du progrès et de la démocratie.