
Le Département d'État américain, a annoncé, mercredi 20 septembre 2023, dans un communiqué publié sur son site officiel, la tenue de consultations informelles axées sur la « promotion du consensus politique nécessaire à la réussite des élections libyennes ». En plus du représentant spécial du secrétaire général des Nations unies pour la Libye, Abdoulaye Bathily, plusieurs pays ont participé à ses consultations : l'Algérie, l'Égypte, la France, l'Allemagne, l'Italie, le Maroc, le Qatar, la Turquie, les Émirats arabes unis, le Royaume-Uni, et les États-Unis.
Cependant, la Tunisie n’est citée nulle part. Il semblerait donc qu’elle n’ait pas été représentée lors de ces consultations informelles sur le soutien au processus politique libyen en marge de l'Assemblée générale des Nations unies. Bien que directement concernée par le développement de la situation en Libye et du processus politique dans ce pays voisin, la Tunisie n’a pas participé à cette réunion. Pourtant, le ministre des Affaires étrangères, Nabil Ammar était présent à la 78ème session de l’Assemblée Générale des Nations Unies à New York.
D’après le communiqué du Département d’État, les participants ont exprimé leur solidarité avec le peuple libyen à la suite des inondations dévastatrices dans l'est de la Libye et ont noté l'urgence d'une coordination renforcée entre les parties libyennes et internationales afin de garantir une réponse humanitaire efficace et transparente.
Dans ses remarques au groupe, la secrétaire adjointe Barbara Leaf a souligné « la nécessité d'un engagement international renouvelé pour faire avancer le processus politique mené par les Nations unies, notamment pour encourager la finalisation du projet de loi électorale et pour soutenir les efforts du représentant spécial Bathily pour réunir les principales parties prenantes libyennes afin de galvaniser le processus électoral par le biais d'un accord politique ».
S.H
Elle est beaucoup grande par son Histoire, ses valeurs, son peuple que les états petroliers désertiques qui nous entourent.
Le gouvernement americain n est que leur instrument et leur pantin, d ou la non invitation ridicule de la Tunisie a ces discussions informelles. Les liens des peuples freres tunisiens et libyens sont trop solides pour que les americains et leur roitelets du Golfe puissent imposer toute solution qui menaceraient les interets de la Tunisie et de
l Algerie. Tous ce que les americains font au Maghreb n a qu un seul but : imposer l acceptation de l occupation et du genocide du peuple palestinien par l entite criminelle sioniste juive. Apres que le roi du Maroc, contre la volonte du vaillant peuple marocain a fait du Maroc une base de
l entite criminelle sioniste, les americains veulent coute que coute imposer a
l Algerie et a la Tunisie, la normalisation des deux pays avec l entite sioniste. Leur tentative d y reussir avec la complicite du premier ministre lybien Debiaba a ete mise en
deroute par le peuple lybien, il continuent de harasser la Tunisie, en esperant le remplacement de Kaeies Saeid par un traitre tunisien qui vendra volontiers la cause du peuple palestinien. Tous les agissement des americains actuels et futurs au Maghreb doivent etres percues a partir de ce contexte.
En perdant notre indépendance vis-à-vis de l'Algérie et devenant ainsi une grande Wilaya algérienne, la Tunisie n'a plus voix au chapitre dans les grandes questions geostrategiques même si cela concerne notre voisin.
La Tunisie a déjà du mal a se gouverner elle même et les tensions politiques poussent notre propre pays dans l'incertitude.
Ils est donc normal sur ce soit des pays stables politiquement qui puisse échanger des idées.
La Tunisie n'est pas le centre du monde comme beaucoup pourrait le penser.
Occupons-nous de sortir de ce sable mouvant dans lequel nous sommes tombés. J'ai l'impression que plus on agit et plus on s'enfonce


