
La chambre correctionnelle spécialisée dans les affaires de corruption financière près du Tribunal de première instance de Tunis a condamné, vendredi 21 février 2025, l’homme d’affaires Samir Jaieb à une peine de cinq ans et un mois de prison. Cette condamnation, apprend Business News de sources judiciaires, fait suite à des infractions liées à la possession illégale de devises étrangères et à l’ouverture de comptes bancaires à l’étranger sans autorisation de la Banque centrale.
En octobre 2024, la chambre des mises en accusation spécialisée avait émis un mandat de dépôt à son encontre pour des accusations de blanchiment d’argent et de corruption administrative dans l’acquisition de biens confisqués.
Dans la même affaire, des mandats de dépôt ont également été émis contre six autres accusés : Hakim Hammami, ancien directeur général de la police judiciaire à El Gorjani, Makram Jlassi, ancien conseiller de la ministre de la Justice, ainsi que Mohamed Ouersighni, Najmeddine Ben Ali, Zied Jouini et Noura Nasri. Trois autres accusés, à savoir Wafa Daikhi, Sami Abdelghani et Chokri El Ouaer, ont été déférés en état de liberté.
Il convient de noter que les biens de Samir Jaieb, ainsi que ses avoirs financiers et bancaires et les actions commerciales enregistrées à son nom, ont été gelés. Le transfert de propriété de ses biens immobiliers a également été suspendu.
Voici pour nos lecteurs le droit de réponse de M. Jaieb via son avocat Me Fakher Gafsi :
Affaire Samir Jaieb : son avocat dénonce une campagne de désinformation
S.H
D'ailleurs a voir de près, les noms des personnes et des sociétés impliqués on comprendrait tres vites, les subterfuges et les montages qui y sont effectues: ventes de terrains a des societes, contre remuneration en nature (réalisation de travaux d'infrastructures'?'), ou réalisations de travaux d'infrastructure contre
Remunerations en terrains. Zero apport en devises etrangeres.
Un système de poupées russes, sans aucun transfert de fonds de l'étranger, alors que le projet est cense être considéré comme étant un Investissement Direct étranger IDE, contraignant l'état Tunisien, a travers une convention d'investissement signee en 2008 ou 2009, a lui fournir toute l'infrastructure extérieure nécessaire, en routes, '?lectricité Haute Tension ( l'equivalent d'une centrale électrique), Eau potable, Gaz de ville, Assainissement, Telecommunications'?', jusqu'a la limite du terrain du Projet, a titre tout a fait gratuit.
L'état Tunisien est oblige de subir le renchérissement du cout de ces infrastructure année après année, ( en près de quinze années, ces couts ont été multiplies au moins par 3 fois- l'estimation actuelle est de l'ordre de 800 Millions de Dinars Tunisien) et de suivre le rythme de ces prestigidateurs, passes maitre dans l'art de jouer avec les bonnets - chachiette hadha ala ras hadha, comme on dit chez nous- et le cours de leurs disputes et litiges internes (rien qu'a voir les affaires en justices réciproques, entre les différents intervenants, on a le tournis).
Le seul apport en numeraire, est celui des quelques Clients, pigeon qui se sont fait avoir par cette équipe de '?'., et qui se retrouvent depuis plus de deux années avec des soit disant villas sur un Golf, sans le Golf bien entendu, sans gaz de ville, avec des installations provisoires schuntees sur les installations du chantier,
Et le modele continue, ils s'efforcent de continuer a faire tourner, sous infusion cette edifice précaire, au grand Dam du pays, jusqu'a ce qu'ils s'écroulent un a un, et leurs manigances soient mise a jour.
Ce jour la, beaucoup de langues vont se délier.
Ce n'est que le debut.
Les hommes d'affaires tunisiens sont à 95% corrompus et verreux...
Donc tu veux les faire passer pour des innocents, des victimes alors que ce sont ces têtes de vipère qui ont commencé depuis l'ere ben ali à répandre la corruption ,la magouille, la tricherie, et les détournements, et je n'oubli les hommes politiques surtout ceux deux 2011-2021 ainsi que des juges ,hauts fonctionnaires, journalistes,......etc.


