Le conseiller diplomatique auprès de la présidence de la République, Walid Hajjem, est revenu, dans la soirée de vendredi 9 juin 2023, sur les négociations avec le Fonds monétaire international (FMI). Il a affirmé que le président de la République, Kaïs Saïed, n’était pas contre les négociations avec le FMI, mais refuserait tout diktat étranger quel qu’il soit et quelle qu’en soit la source.
« Pour ce qui est de la situation économique, sociale et financière du pays, les choix seront nationaux qui prennent en considération les circonstances socio-économiques et la paix sociale. Le maintien de la paix sociale est une ligne rouge pour le président de la République », a-t-il déclaré dans une intervention téléphonique dans l’émission Rendez-vous 9 sur la chaîne Attassia.
« Le président de la République a été clair à plusieurs reprises. Il n’est pas contre le principe des négociations avec le FMI, mais il s’est opposé au fait que cet accord repose sur des conditions ou des diktats qui touchent à la paix sociale en Tunisie », a-t-il ajouté au micro de Malek Baccari.
Commentant les nouvelles autour de la prochaine visite de la présidente du Conseil italien, Giorgia Meloni, prévue dimanche, Walid Hajjem a noté que ces visites étaient une preuve de la nouvelle dynamique dans les relations entre la Tunisie et l’Union européenne.
Lors de sa visite mardi 6 juin, Giorgia Meloni a affirmé le soutien de l’Italie pour que la Tunisie puisse parvenir à une conclusion positive dans ses négociations avec le FMI pour l’obtention d’un accord sur un financement de 1,9 milliard de dollars. La Première ministre italienne doit revenir en Tunisie dimanche accompagnée de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et du Premier ministre des Pays-Bas, Mark Rutte.
N.J.
Pire encore les fantoches recrutés dans les sociétés "imaginaires" de soit-disant "jardinage', reclament en toute audace, ces jours-ci les salaires qu'ils ont pris l'habitude de percevoir sans contrepartie ni travail, mais par gâterie et donnant-donnant (flagrante corruption ) des voies de vote et polpulsme pour nahdha.
Le fmi n'est pas aussi dupe et inconscient de la gravité de cette octroi de cirque qui ne sert nullement au développement économique de la Tunisie sauf pour satisfaire les caprices de nahdha.
Pauvre Tunisie et pauvre mentalitevsaugrenue de cette nahdha malicieuse et malveillante.
1 : le prix du pain sera triplé
2: le prix d'un kg de semoule sera triplé , je sais que les riches ne mangent pas beaucoup de pain, sur leurs tables, ils ont l'entrée, le plat principal, le dessert, plusieurs sortes de fruits, mais les pauvres ils ont un plat de couscous, où bien chakchouka avec du pain point à la ligne, je m'adresse aux islamistes et aux traîtres quand une famille est composée de 6 où huit personnes, il faut combien de pain où de baguettes
Alors, en lisant Walid Hajjam : Qu' X n'est pas contre les négociations avec le FMI, je me suis dit voilà 1 pigeon pour me faire couper la tignasse "gratis et halal ?"
Mais, en pensant bien, ce genre de cas ça n'arrive qu'en Tunisie où les "cafa ettes" sont partout et mêmes travaillent gratuitement et sont les meilleurs dans le monde :
Pour te vendre 1 singe et se foutre de ta gueu.. pour l'avoir acheter !!!
C'est Tunisien vous savez, le Tunisien te vend l'invendable et te fait payer le + haut prix pour 1 futal "griffé" et c'est la maladie du Tune post-Merdo ce qu'en Espagne en désigne par:
Il est l'or mon senior ( La Folie des grandeurs (L de Funèbres tune que c'était l'heure de faire ma sistes))...
Je vous avoue que je bien parti en rédigeant ce com, mais la vieillesse m'a rappelé que c'était l'heure de faire ma sieste et d'arrêter de délirer et que j'étais fou déjà !!!
Bref, je suis que vous allez me pardonner ce délire à cause de votre charité Arabo-Judéo-Chrétienne en ayant pitié d'1 vieux "gaga" qui ne sait plus ce qu'il fait ?
Je vous rassure qu'à 80 ans, je ne fais pas sur moi et que je suis plus jeune que le dernier jeune vieux qui vit en Tunisie....
çà saurait, voyons !!
Or de tous temps et en tous lieux, c'est le prêteur qui fixe les règles d'octroi, pas le débiteur.
Et Saied, malgré sa grande gueule, est incapable de l'essentiel: moderniser les administrations, débarrasser le pays de la corruption et relancer une économie saine basée sur le secteur privé et un secteur public compétitif .
Ses seules solutions sont les ersatz de sociétés agricoles communautaires du Sud, du vent.
Au final, il faudra bien revoir ses lignes rouges, et travailler.
Mais ce mot, travailler, est un blasphème pour lui!
Mme Meloni essaie d'éviter une guerre civile entre les ressortissants du Sud de la Méditerranée, et les autochtones. Ce n'est pas pour la semaine prochaine, mais sous dix ans ce sera inévitable si rien ne change...