Wa lillahi fi khalkhi choon (Allah, pour ses créations, a des affaires) ... Mais, sincèrement j'ai m'amusé avec la chanson par la voix de Wadii Essafi :)

Cette femme transpire l'ignorance, la servitude, et l'hypocrisie. Elle ne croit pas un mot de ce qu'elle chante, elle cherche à plaire et à fructifier son ignominie et son indignité.....On peut juste lui pardonner, car elle n'est pas la seule dans notre pays qui use de ce procédé pour glaner des faveurs.

Du temps de Bourguiba,les programmes de ce qui était alors l'unique chaîne de radio,débutaient par des citations du coran suivies immédiatement par des chants à la gloire de Bourguiba.Sous Ben Ali,quand celui-ci se déplaçait à Sousse pour le carnaval ,les rues de la ville étaient pavoisées,barrées d'un nombre incalculable de banderoles payées, y compris par des sociétés privées vantant les mérites de Zaba.Aujourd'hui ,nous y revoilà.On change pour que rien ne change.La prétendue révolution n'est autre qu'un rétropédalage.La troupe change,le scénario est identique.A croire que la flagornerie nous est consubstantielle,intimement inscrite dans notre ADN.Spectacle infiniment affligeant d'un peuple infantilisé.

J'ai cherché en ligne la définition du mot foyer, et une seule définition a réussi à interpeller.
Foyer : Espace ouvert aménagé dans une maison pour y faire du feu. Donc, autour de ce feu, chacun de nous est libre de chanter, chacun de nous est libre de danser, chacun de nous est libre de se « streptiser ». Car chacun de NOUS est libre de faire ce qu'il veut tant qu'il est autour de son feu, et tant qu'il est saïd (heureux).
Ps : à tous me amis de Business News : pour oublier les jours néfastes dont notre pauvre Tunisie est en train de souffrir , il y a du vin Blanc Khangat, il faut le savourer et tu vas oublier tout...

Je ne pense pas que KS apprécie ce genre de louange .ON NE CONNAIT PAS ENCORE KS MAIS L HOMME NE SEMBLE PAS ENCLIN A DHARBIN AL BANDIR.CA C EST DEPASSE HEUREUSEMENT QUE LA NOUVELLE GENERATION N AURA PAS A SUBIR CE QUE NOUS AVONS SUBI ET PLUSIEURS CHANTEURS DE CETTE EPOQUE SE PAVANENT ENCORE SUR LES PLATEAUX DE TELE .BN RESPECTEZ LE PRESIDENT ET '?VITEZ DE RELAYER CE GENRE DE CONNERIE

Cupidité et lèche. A part les bourdes répétitives, je ne vois pas ce qu'il a apporté de plus au pays pour mériter un tel " tbendir".

ils s'approprient les '?uvres des autres pour dénaturer nos grands artistes et nos belles chansons éternelles

Il parait que les gueux et autres incultes ont fait 1 merdolution pour la dignité, la Karama, l'honneur et tout et tout surtout remplacer la dictature de Zaba et les Trabelsia!!!!!
Et aujourd'hui vous êtes bien parti pour vous installer 1 autre celle de Kais!!!!!
Si c'est tout ce que vous voulez:
Pourquoi avoir viré, dépensé les milliards qu'il a laissés
Les bijoux, voitures et surtout les chaussures et les montres....
Et toutes ces richesses sont parties ou volées par qui?
Incultes de chez Kais et autres incultes:
Vous voulez 1 nouvelle Dictature, alors servez vous parce que dans 3 mois vous n'aurez plus de Gt et vous crèverez la gueule ouverte car vous n'aurez plus rien à becqueter à part le plancher des vaches et encore si l'herbe n'a pas été broutée!!
Vous êtes sur la pente douce et vous essayez de vous tenir en équilibre et vous criez:
Echaab Youridou glisser , mais où et quelle direction?
Echaabou youriiiiiiiiiiid 1 dictature, alors merde alors 1 dictature pourquoi faire?
Pour vous tuer tout simplement!!!!
Alors belle mort et prenez votre mal en patience: le virus arrivera bientôt dans vos contrées très propres!!

tu vois ,ceci me rappelle des pleureuses juives à BAB KARTAGENNE ,à rappeler que les pleureuses juives et arabes tunisiennes ont toujours le même rythme et les même paroles .tout en commençant par :
HAH CHOUMI HAH GELLI AALA TOUNES EL GHALIA KIFECH WALLA ILLI INAWAH RADDOUH IGHANNI .
TFOUH .TFOUH OU NZID TFOUH . très bientot KS sera auréolé par ces imbéciles décervelés .

C'est ce genre de laudateurs (laudatrices pour le cas présent) qui pervertit les hauts responsables, des fois malgré eux, les laudateurs mus par quelques idées derrière la tête et les responsables bercés - voire emportés - par quelques illusions.